Les paperasses de Menthe
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Les paperasses de Menthe
Je sais pas trop s'il faut faire un topique pour chaque histoire/poème ou un topique par membre...
Donc dans le doute je me fais un topique à mon nom, et puis j'aviserai d'après ce qu'on me dira.
Voilà une nouvelle que j'ai écrite heu... Je sais plus trop quand, mais c'était dans l'année 2007. Je me suis très largement inspirée de l'écrivain Louis-Ferdinand Céline pour l'ambiance générale du texte et pour le langage employé, et je lui ai même piqué une expression entière.
Je sais que l'histoire est pleine de petits défauts; en fait je l'ai écrite d'une traite (un soir d'inspiration) et je l'ai rangée direct après l'avoir écrite... Puis quand je l'ai ressortie, je me suis rendu compte qu'il y avait plein de petits détails qui collaient pas avec l'histoire et qui la rendaient incompréhensible. Mais comme j'ai pas trop envie de tout reprendre, j'ai juste corrigé les petits problèmes, ce qui fait qu'il est possible qu'on se perde un peu dans l'histoire. Bref, bonne lecture quand même, et hésitez pas, aiguisez vos critiques
NB: Désolée pour la mise en page toute destroy, j'arrive pas à faire un truc correct qui ressemble pas à un gros pavé de lettres agglutinées entre elles >_<
NB2: Le lecteur prendra la peine de remplacer*couillon* par les mots qui y correspondent et qui sont un peu plus grossiers, mais qui sont là pour assurer l'ambiance du texte ^^'
J’avais pas revu Ferdinand depuis une semaine: la guerre nous avait séparés. Mais la distance nous empêchait pas de répéter tout le temps nos gestes mécaniques et de foutre la pagaille en pointant droit devant nous ces fusils qui, d’après certains, poussent grâce à la chaleur humaine.
C’est obscène, un fusil pointé; on dirait un sexe en érection. C’est pas toujours le mâle dominant qui l’emporte dans ce genre de cas, mais quand même, faut pas trop se faire remarquer quand on est un petit gabarit.
Ferdinand, par exemple, il en faisait partie, des petits gabarits. C’était un intellectuel, Ferdinand. Y lisait tout le temps. Y disait qu’il apprenait la vie dans les livres. Faut croire que la guerre fait pas partie de la vie: quand je l’ai revu après cette semaine en solitaire, il était transporté dans un vieux brancard tout rongé.
Au début, j’ai pas compris: il avait rien. Les infirmières l’ont emporté, j’ai pas eu le temps de lui parler. J’ai été rappelé au front, cette nuit-là, et encore une fois les Boches ont pas été performants: je suis revenu vivant.
Vivant, oui, mais comme un *couillon*: j’avais nulle part où aller, y’avait rien à bouffer, et j’avais envie de pisser. Alors je suis allé dans l’hôpital. Je voulais revoir Ferdinand.
Au moment où j’arrivais, j’ai entendu un coup de feu. Des cris, et des infirmières qui se sont mises à courir. Elles sont repassées devant moi avec un brancard plein de sang. A l’intérieur, c’était Ferdinand.
Le brancard est revenu deux heures plus tard. Je suis allé dans la chambre où Ferdinand était parqué avec une vingtaine d’autres soldats estropiés. Il avait un gros bandage sur tout le haut du torse. Là où il y avait le cœur.
Il était dans les vapes, alors je suis allé demander aux infirmières ce qui s’était passé. Elles m’ont répondu qu’il avait reçu une balle au niveau du cœur, mais que l’affaire était bizarre: elles avaient pas retrouvé la balle, et le cœur lui-même avait pas été touché. Y’avait juste un trou dans la peau. De part en part, comme ça. Et la balle s’était volatilisée.
Moi, j’avais vu tellement de trucs inhumains pendant la guerre, que j’ai pas réagi plus que ça. C’était juste une incompréhension de plus sur le stand des devinettes immondes.
Je suis retourné voir Ferdinand. Il avait ouvert les yeux. Il m’a reconnu tout de suite. Louis, qu’il m’a dit, ça me fait plaisir de te revoir! Il s’est relevé sur son lit et m’a pris dans ses bras. Je me suis reculé. Je lui ai fait remarquer qu’il devrait pas gesticuler comme ça, qu’il était blessé, après tout, et qu’il devait sûrement avoir mal.
Non, j’ai pas mal, qu’il répond. C’est que de la peau, le principal est pas atteint.
Comment tu le sais? je lui demande. Les infirmières sont pas rentrées dans la chambre depuis que t’es revenu de l’accident. Elles ont pas pu te le dire.
Il a répondu que c’était pas la première fois que ça lui arrivait. Mais quand je lui ai demandé les détails, il a pas répondu. J’ai pensé qu’il était fatigué, alors je suis parti. J’ai vadrouillé toute la journée un peu n’importe où, mais jamais vraiment quelque part. J’étais comme un fantôme, je hantais l’endroit avec ma tête de déterré et mes vêtements crottés.
A la tombé de la nuit, j’ai été rappelé au front, encore, toujours. Les fusils des Allemands m’ont loupé, encore, toujours. Je suis rentré au petit matin, encore, toujours. Je suis allé jusqu’à l’hôpital pour parler avec Ferdinand.
Je suis rentré dans sa chambre. Il avait l’air d’aller très bien, le salaud, pendant que je jouais à cache-cache avec des balles d’acier tous les soirs.
Mais au moment où je m’approchais de son lit, un gros coup de feu est brusquement parti. J’ai eu le temps de voir une balle qui montait en flèche et qui allait s’enfoncer dans le plafond de la chambre. Juste au-dessus du lit de Ferdinand.
Y criait, Ferdinand. Y’avait un trou sanglant dans le bandage de son torse. Les infirmières sont venues le récupérer en vitesse. Y criait comme un pourceau, c’était dégueulasse.
Moi, je suis resté dans la chambre, à regarder le plafond. Y’avait sept petites balles grises fichées dedans. Une des sept était celle qui venait de partir, quand Ferdinand avait crié. Et une autre, j’ai pensé qu’elle datait d’hier, quand j’avais entendu le coup de feu en arrivant dans l’hôpital.
Ferdinand est revenu. Il avait un bandage tout neuf sur le torse. Il divaguait un peu, j’ai pas voulu le déranger. Je l’ai laissé se reposer. Je suis allé voir les infirmières, elles m’ont répété la même histoire que la dernière fois: la balle avait disparu.
Je savais où elle était, moi, la balle. Mais j’ai préféré rien dire. Je voulais demander à Ferdinand, d’abord. Alors, je suis retourné dans sa chambre. Il était réveillé. Il regardait le plafond.
Les balles viennent de toi, je lui ai dit. Il m’a répondu qu’il savait, mais qu’il faisait pas exprès. Que c’était pas lui qui tirait. Et qui c’est qui tire, alors? je lui demande. Je te dis que c’est pas moi, qu’il répond, un peu agacé. Ca va, ça va, je lui dis, arrête de t’affoler.
Il m’a regardé avec ses grands yeux tout boursouflés.
« C’est pas moi, c’est mon cœur »
Ton cœur? je répète, ahuri. C’est ton cœur qui tire des balles?
Oui, qu’il répond.
Puis il ajoute : « Chaque soir depuis que je suis dans cet hôpital. Chaque soir, au moment où je suis censé partir au front. C’est comme si mon cœur était devenu mécanique et qu’il avait enregistré à l’avance le moment où il doit se transformer en fusil de guerre. Et juste à ce moment-là, il met en joue et il tire. Il s’imagine peut-être que je suis sur le champ de bataille et qu’il a réussi à dézinguer un type d’en face. En fait, tout ce qu’il dézingue ici, c’est le plafond. »
Ferdinand se tourne sur son matelas crevé et soupire.
« Le pire, c’est que je m’habitue à la douleur. Tous les soirs ma peau se troue, et j’ai même plus mal. Je crie pour que les infirmières s’imaginent pas que j’ai les nerfs nécrosés et qu’elles aillent chercher un diagnostic sévère. Mais j’ai plus de peau, plus de cicatrice, plus rien. Juste un canon de fusil, froid comme le métal à la place du coeur. »
Il tourne la tête vers moi avec des yeux désolés, puis regarde de nouveau le mur sale en face.
« Je suis plus rien. »
Je l’envie. Mon cœur, à moi, est un trouillard, un *couillon* de lapin qui bondit derrière la ridicule grille des côtes. Mais j’essaye quand même de dire quelque chose.
« T’es toujours un soldat »
Il se retourne même pas vers moi pour me répondre. J’entends à peine sa voix.
« Mais non. C’est mon cœur, le soldat »
La nuit tombe. Je dois repartir au front, encore, toujours.
Je hais les Boches, parce qu’ils sont même pas foutus de me trouer la peau.
Je sors de la chambre. Je sens mon cœur qui s’emballe d’angoisse dans ma poitrine.
Cette fois, j’ai pas envie que les Boches me loupent.
Donc dans le doute je me fais un topique à mon nom, et puis j'aviserai d'après ce qu'on me dira.
Voilà une nouvelle que j'ai écrite heu... Je sais plus trop quand, mais c'était dans l'année 2007. Je me suis très largement inspirée de l'écrivain Louis-Ferdinand Céline pour l'ambiance générale du texte et pour le langage employé, et je lui ai même piqué une expression entière.
Je sais que l'histoire est pleine de petits défauts; en fait je l'ai écrite d'une traite (un soir d'inspiration) et je l'ai rangée direct après l'avoir écrite... Puis quand je l'ai ressortie, je me suis rendu compte qu'il y avait plein de petits détails qui collaient pas avec l'histoire et qui la rendaient incompréhensible. Mais comme j'ai pas trop envie de tout reprendre, j'ai juste corrigé les petits problèmes, ce qui fait qu'il est possible qu'on se perde un peu dans l'histoire. Bref, bonne lecture quand même, et hésitez pas, aiguisez vos critiques
NB: Désolée pour la mise en page toute destroy, j'arrive pas à faire un truc correct qui ressemble pas à un gros pavé de lettres agglutinées entre elles >_<
NB2: Le lecteur prendra la peine de remplacer*couillon* par les mots qui y correspondent et qui sont un peu plus grossiers, mais qui sont là pour assurer l'ambiance du texte ^^'
Le Soldat d’acier
J’avais pas revu Ferdinand depuis une semaine: la guerre nous avait séparés. Mais la distance nous empêchait pas de répéter tout le temps nos gestes mécaniques et de foutre la pagaille en pointant droit devant nous ces fusils qui, d’après certains, poussent grâce à la chaleur humaine.
C’est obscène, un fusil pointé; on dirait un sexe en érection. C’est pas toujours le mâle dominant qui l’emporte dans ce genre de cas, mais quand même, faut pas trop se faire remarquer quand on est un petit gabarit.
Ferdinand, par exemple, il en faisait partie, des petits gabarits. C’était un intellectuel, Ferdinand. Y lisait tout le temps. Y disait qu’il apprenait la vie dans les livres. Faut croire que la guerre fait pas partie de la vie: quand je l’ai revu après cette semaine en solitaire, il était transporté dans un vieux brancard tout rongé.
Au début, j’ai pas compris: il avait rien. Les infirmières l’ont emporté, j’ai pas eu le temps de lui parler. J’ai été rappelé au front, cette nuit-là, et encore une fois les Boches ont pas été performants: je suis revenu vivant.
Vivant, oui, mais comme un *couillon*: j’avais nulle part où aller, y’avait rien à bouffer, et j’avais envie de pisser. Alors je suis allé dans l’hôpital. Je voulais revoir Ferdinand.
Au moment où j’arrivais, j’ai entendu un coup de feu. Des cris, et des infirmières qui se sont mises à courir. Elles sont repassées devant moi avec un brancard plein de sang. A l’intérieur, c’était Ferdinand.
Le brancard est revenu deux heures plus tard. Je suis allé dans la chambre où Ferdinand était parqué avec une vingtaine d’autres soldats estropiés. Il avait un gros bandage sur tout le haut du torse. Là où il y avait le cœur.
Il était dans les vapes, alors je suis allé demander aux infirmières ce qui s’était passé. Elles m’ont répondu qu’il avait reçu une balle au niveau du cœur, mais que l’affaire était bizarre: elles avaient pas retrouvé la balle, et le cœur lui-même avait pas été touché. Y’avait juste un trou dans la peau. De part en part, comme ça. Et la balle s’était volatilisée.
Moi, j’avais vu tellement de trucs inhumains pendant la guerre, que j’ai pas réagi plus que ça. C’était juste une incompréhension de plus sur le stand des devinettes immondes.
Je suis retourné voir Ferdinand. Il avait ouvert les yeux. Il m’a reconnu tout de suite. Louis, qu’il m’a dit, ça me fait plaisir de te revoir! Il s’est relevé sur son lit et m’a pris dans ses bras. Je me suis reculé. Je lui ai fait remarquer qu’il devrait pas gesticuler comme ça, qu’il était blessé, après tout, et qu’il devait sûrement avoir mal.
Non, j’ai pas mal, qu’il répond. C’est que de la peau, le principal est pas atteint.
Comment tu le sais? je lui demande. Les infirmières sont pas rentrées dans la chambre depuis que t’es revenu de l’accident. Elles ont pas pu te le dire.
Il a répondu que c’était pas la première fois que ça lui arrivait. Mais quand je lui ai demandé les détails, il a pas répondu. J’ai pensé qu’il était fatigué, alors je suis parti. J’ai vadrouillé toute la journée un peu n’importe où, mais jamais vraiment quelque part. J’étais comme un fantôme, je hantais l’endroit avec ma tête de déterré et mes vêtements crottés.
A la tombé de la nuit, j’ai été rappelé au front, encore, toujours. Les fusils des Allemands m’ont loupé, encore, toujours. Je suis rentré au petit matin, encore, toujours. Je suis allé jusqu’à l’hôpital pour parler avec Ferdinand.
Je suis rentré dans sa chambre. Il avait l’air d’aller très bien, le salaud, pendant que je jouais à cache-cache avec des balles d’acier tous les soirs.
Mais au moment où je m’approchais de son lit, un gros coup de feu est brusquement parti. J’ai eu le temps de voir une balle qui montait en flèche et qui allait s’enfoncer dans le plafond de la chambre. Juste au-dessus du lit de Ferdinand.
Y criait, Ferdinand. Y’avait un trou sanglant dans le bandage de son torse. Les infirmières sont venues le récupérer en vitesse. Y criait comme un pourceau, c’était dégueulasse.
Moi, je suis resté dans la chambre, à regarder le plafond. Y’avait sept petites balles grises fichées dedans. Une des sept était celle qui venait de partir, quand Ferdinand avait crié. Et une autre, j’ai pensé qu’elle datait d’hier, quand j’avais entendu le coup de feu en arrivant dans l’hôpital.
Ferdinand est revenu. Il avait un bandage tout neuf sur le torse. Il divaguait un peu, j’ai pas voulu le déranger. Je l’ai laissé se reposer. Je suis allé voir les infirmières, elles m’ont répété la même histoire que la dernière fois: la balle avait disparu.
Je savais où elle était, moi, la balle. Mais j’ai préféré rien dire. Je voulais demander à Ferdinand, d’abord. Alors, je suis retourné dans sa chambre. Il était réveillé. Il regardait le plafond.
Les balles viennent de toi, je lui ai dit. Il m’a répondu qu’il savait, mais qu’il faisait pas exprès. Que c’était pas lui qui tirait. Et qui c’est qui tire, alors? je lui demande. Je te dis que c’est pas moi, qu’il répond, un peu agacé. Ca va, ça va, je lui dis, arrête de t’affoler.
Il m’a regardé avec ses grands yeux tout boursouflés.
« C’est pas moi, c’est mon cœur »
Ton cœur? je répète, ahuri. C’est ton cœur qui tire des balles?
Oui, qu’il répond.
Puis il ajoute : « Chaque soir depuis que je suis dans cet hôpital. Chaque soir, au moment où je suis censé partir au front. C’est comme si mon cœur était devenu mécanique et qu’il avait enregistré à l’avance le moment où il doit se transformer en fusil de guerre. Et juste à ce moment-là, il met en joue et il tire. Il s’imagine peut-être que je suis sur le champ de bataille et qu’il a réussi à dézinguer un type d’en face. En fait, tout ce qu’il dézingue ici, c’est le plafond. »
Ferdinand se tourne sur son matelas crevé et soupire.
« Le pire, c’est que je m’habitue à la douleur. Tous les soirs ma peau se troue, et j’ai même plus mal. Je crie pour que les infirmières s’imaginent pas que j’ai les nerfs nécrosés et qu’elles aillent chercher un diagnostic sévère. Mais j’ai plus de peau, plus de cicatrice, plus rien. Juste un canon de fusil, froid comme le métal à la place du coeur. »
Il tourne la tête vers moi avec des yeux désolés, puis regarde de nouveau le mur sale en face.
« Je suis plus rien. »
Je l’envie. Mon cœur, à moi, est un trouillard, un *couillon* de lapin qui bondit derrière la ridicule grille des côtes. Mais j’essaye quand même de dire quelque chose.
« T’es toujours un soldat »
Il se retourne même pas vers moi pour me répondre. J’entends à peine sa voix.
« Mais non. C’est mon cœur, le soldat »
La nuit tombe. Je dois repartir au front, encore, toujours.
Je hais les Boches, parce qu’ils sont même pas foutus de me trouer la peau.
Je sors de la chambre. Je sens mon cœur qui s’emballe d’angoisse dans ma poitrine.
Cette fois, j’ai pas envie que les Boches me loupent.
Re: Les paperasses de Menthe
ben dis donc !!
alors dans l'ordre : un topic par personne si tu fais des nouvelles.
si tu écrits une longue histoires que tu poste par morceaux, tu peux ouvrir un topic que pour cette histoire, ça évite qu'on se mélange les pinceaux )
pour cette histoire :
* j'aime beaucoup beaucoup l'ambiance :)
* j'aime beaucoup la répétition "encore, toujours", et celle de "ferdinand" au début qui tourne a l'obsession
* le rythme est bon aussi, les "y lisait", "y disait" sont trop bons
le seul truc qui me gêne est " Y’avait juste un trou dans la peau. De part en part, comme ça. Et la balle s’était volatilisée " -> si le trou est de part en part, c'est normal de pas trouver la balle : elle est entéee d'un coté et sortie de l'autre ;)
une autre ! une autre !
(au passage je te passe villageois, et plus cyclope puisque tu écris)
alors dans l'ordre : un topic par personne si tu fais des nouvelles.
si tu écrits une longue histoires que tu poste par morceaux, tu peux ouvrir un topic que pour cette histoire, ça évite qu'on se mélange les pinceaux )
pour cette histoire :
* j'aime beaucoup beaucoup l'ambiance :)
* j'aime beaucoup la répétition "encore, toujours", et celle de "ferdinand" au début qui tourne a l'obsession
* le rythme est bon aussi, les "y lisait", "y disait" sont trop bons
le seul truc qui me gêne est " Y’avait juste un trou dans la peau. De part en part, comme ça. Et la balle s’était volatilisée " -> si le trou est de part en part, c'est normal de pas trouver la balle : elle est entéee d'un coté et sortie de l'autre ;)
une autre ! une autre !
(au passage je te passe villageois, et plus cyclope puisque tu écris)
Re: Les paperasses de Menthe
Beulette -> Oui, parce qu'en fait le "De part en part" est une référence à la peau, pas au corps...
En fait la balle a traversé juste la peau du torse, mais uniquement elle, elle n'a traversé ni le coeur, ni rien.
J'vais voir si je peux tourner la phrase autrement pour arranger le malentendu ^^
Merci pour ton commentaire!
En fait la balle a traversé juste la peau du torse, mais uniquement elle, elle n'a traversé ni le coeur, ni rien.
J'vais voir si je peux tourner la phrase autrement pour arranger le malentendu ^^
Merci pour ton commentaire!
Re: Les paperasses de Menthe
Waouuuu chapeau bas tres tres bien écrit on est en plein dedans j'adore BRAVO!!!!
(Attention quand meme il reste quelques fautes ;) )
(Attention quand meme il reste quelques fautes ;) )
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Adré -> Des fautes? Oukelson?
Je viens juste de relire vite fait, j'en ai trouvé qu'une ("A la tombé" au lieu de "A la tombée")
Mais j'ai peut-être loupé d'autres erreurs...
Merci pour le commentaire :-)
Je viens juste de relire vite fait, j'en ai trouvé qu'une ("A la tombé" au lieu de "A la tombée")
Mais j'ai peut-être loupé d'autres erreurs...
Merci pour le commentaire :-)
Re: Les paperasses de Menthe
Merci
J'vous préviens d'ailleurs que j'en ai très, très peu des comme ça (des nouvelles) et que mes autres textes sont 'achtement plus longs, donc je sais pas trop si je vais les publier, ça risque d'être chiant à lire :-/
On verra.
J'vous préviens d'ailleurs que j'en ai très, très peu des comme ça (des nouvelles) et que mes autres textes sont 'achtement plus longs, donc je sais pas trop si je vais les publier, ça risque d'être chiant à lire :-/
On verra.
Re: Les paperasses de Menthe
tu les découpes en petits bouts...tu postes en plusieurs fois...tu entretiens le suspens...
Re: Les paperasses de Menthe
Oui, je vais sûrement faire ça...
Ben je pars de ce pas découper tout ça en bouts ni trop longs ni trop courts, et puis je le poste demain.
Ben je pars de ce pas découper tout ça en bouts ni trop longs ni trop courts, et puis je le poste demain.
Re: Les paperasses de Menthe
Fautes, j'ai dit quelques, donc pas beaucoup quand même hein ... celle que tu cites et celle qui suit " la guerre nous avait séparés" ça s'accorde pas. Ensuite au niveau des fautes j'avoue que j'ai plus fait gaffe tellement je suis rentrée dans ton texte mais je jeterai un oeil si tu veux ;)
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
bein si ça s'accorde parce que "nous" est avant le verbe...enfin je crois...
Re: Les paperasses de Menthe
Euhhh nan c'est avoir et on accorde pas avec avoir sauf cas trés particulier ... enfin du coup tu me mets le doute là... :s un bescherelle VITEEEEEEEE
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Vérification faite....ça s'accorde pas :) ... oufff j'ai pas pris la honte.... :s
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Adré -> Oui mais le COD est devant l'auxiliaire, donc ça s'accorde, il me semble...
Comme: "Le garçon a mangé les pommes" (Ici le COD est après l'auxiliaire donc on n'accorde pas)
Alors que "Le garçon les a mangées" (Là le COD est avant l'auxiliaire, donc accord)
Il me semble donc qu'il faut bien accorder le "s" à séparés...
Comme: "Le garçon a mangé les pommes" (Ici le COD est après l'auxiliaire donc on n'accorde pas)
Alors que "Le garçon les a mangées" (Là le COD est avant l'auxiliaire, donc accord)
Il me semble donc qu'il faut bien accorder le "s" à séparés...
Re: Les paperasses de Menthe
Alors effectivement tu as raison Menthe autant pour moi, mais cela dit il a une faute quand meme parce que dans ce cas là ton participe s'accorde avec le COD désolée je suis d'humeur pénible :) , pour continuer d'etre pénible ce n'est pas un participe passé mais un plus que parfait si je ne m'abuse et dans ce cas là pas d'accord.
Cela dit merci j'ai remis dans ma tête une vieille régle de grammaire grace à toi :-/
(Pour info voilà ce que dit la régle : Le participe passé, lorsqu'il est précédé d'un COD s'accorde avec celui ci en genre et en nombre.)
Cela dit merci j'ai remis dans ma tête une vieille régle de grammaire grace à toi :-/
(Pour info voilà ce que dit la régle : Le participe passé, lorsqu'il est précédé d'un COD s'accorde avec celui ci en genre et en nombre.)
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
ben moi j'aurais dit que ça s'accordait aussi ^^ sur la base du COD avant l'auxliaire (et fais gaffe je peux etre encore plus pénible que toi quand je m'y mets huhu)
Re: Les paperasses de Menthe
Le COD est avant l'auxiliaire certes mais s'il y a accord celui qui est fait n'est pas bon....pour la suite avec mon histoire de plus que parfait je ne trouve pas la regle exacte donc je ne m'avancerai pas plus....en attendant il y a une faute quand meme!!!
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Ben ça me chiffone cette histoire de COD, d'auxiliaires et de participes oO
De façon naturelle (c'est-à-dire sans réfléchir à telle ou telle loi grammaticale) j'aurais tendance à insister sur le fait qu'on écrit "La guerre nous avait séparés".
Mais je suis pas un Bescherelle ambulant ^^'
Du coup je sais pas...
Il existe pas un super-héros qui est super-fort en conjugaison, grammaire et orthographe? Genre Super-BernardPivot-Man?
De façon naturelle (c'est-à-dire sans réfléchir à telle ou telle loi grammaticale) j'aurais tendance à insister sur le fait qu'on écrit "La guerre nous avait séparés".
Mais je suis pas un Bescherelle ambulant ^^'
Du coup je sais pas...
Il existe pas un super-héros qui est super-fort en conjugaison, grammaire et orthographe? Genre Super-BernardPivot-Man?
Re: Les paperasses de Menthe
" la guerre nous avait séparés"
nous : COD masculin pluriel
si le COD est placé avant l'auxiliaire, la participe s'accorde en genre eten nombre
donc séparéS masculin pluriel :korn:
nous : COD masculin pluriel
si le COD est placé avant l'auxiliaire, la participe s'accorde en genre eten nombre
donc séparéS masculin pluriel :korn:
Re: Les paperasses de Menthe
T'as pas un de tes profs qui peut te confirmer ton orthographe dans cette phrase ??? Moi aussi ca me chiffonne parce que naturellement moi je l'accorde pas ça me choque :s
Beulette --> si tu veux...je trouve pas pour l'accord en plus que parfait....La regle que vous appliquez est celle du participe passé et ça ressemble pas à ca mais je suis trop fatiguée pour continuer de chercher....alors je capitule
Beulette --> si tu veux...je trouve pas pour l'accord en plus que parfait....La regle que vous appliquez est celle du participe passé et ça ressemble pas à ca mais je suis trop fatiguée pour continuer de chercher....alors je capitule
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Je demanderai à un prof vendredi, il saura certainement me répondre...
La grammaire ça pue -_-'
Quand je pense qu'en Terminale on nous demande de disserter sur "Avoir raison, est-ce être dans le vrai?" et qu'ensuite on passe des heures sur une question basique en français, c'est fou ^^'
La grammaire ça pue -_-'
Quand je pense qu'en Terminale on nous demande de disserter sur "Avoir raison, est-ce être dans le vrai?" et qu'ensuite on passe des heures sur une question basique en français, c'est fou ^^'
Re: Les paperasses de Menthe
huhu oui et attends d'avoir passé 30 ans et tu vas t'arracher les cheveux parce que t'auras tout oublié :s
Tu nous diras hein qu'on meurt pas idiotes :d
Tu nous diras hein qu'on meurt pas idiotes :d
Adrenaline- Boucs sacrés
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Re: Les paperasses de Menthe
Bon je vais me pendre, mais avant toutes mes excuses j'ai fini par trouver tout ce que je cherchais (j'ai pas beaucoup dormi soyez indulgent avec ma lenteur siouplait) et en effet ... pfff... chuis obligée de le dire ...pff ... bon donc Menthe a pas de faute et Beulette a raison et Pil aussi .... et je suis une tache .... adieu monde cruel 8)vgg
Adrenaline- Boucs sacrés
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