Un peu d'Héroic fantasy...

Voici, le "prologue" de mon histoire qui est du genre fantasy. elle est un peu longue donc, je la publierai morceau par morceau. Dans celui la, il y a pas mal de mystère, donc, j'espère que ça ne vous refroidira pas pour lire la suite. Toutes les critiques sont les bienvenues car je débute! Et j'espère progresser grâce à vous!

Bonne lecture!!

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Prologue

Dans une forêt sombre où on distinguait mal le jour de la nuit, une lumière vive apparût. Bientôt, des bruits de pas se firent entendre et la silhouette d’un homme s’aidant d’un bâton, pris forme. Il était grand, devait avoir dans la trentaine et était habillé d’étrange façon. Il semblait marcher avec peine mais, malgré sa faiblesse apparente, il tenait fortement un paquet dans le creux de son bras, comme si… il était la dernière chose qui lui restait au monde. Il jetait constamment des regards en arrière et son visage était tendu par l’angoisse et la fatigue.
« Non, c’est impossible, se murmurait-il à lui-même, personne n’a pu nous suivre… »
Comme un déclic, cette pensée le fit tomber à genou.
« Oui, personne… C’est enfin terminé… »
Tout d’un coup, les souvenirs des horreurs de ces derniers jours refirent surface. Des images de flammes, de champs drapés de cadavres, des cris de terreur le submergèrent… Un pleur le ramena à la réalité. Son regard se posa sur le paquet qu’il tenait et le visage d’un enfant se découvrit. Sans s’en rendre compte, il l’avait trop serré contre lui lors de son égarement. Le regard étonné de l’enfant le rappela à l’ordre. Il savait qu’il devait continuer…
« Oui… »
Il n’était pas seul dans l’histoire même s’il avait tout perdu et qu’il se retrouvait dans ces terres étrangères. Il lui restait au moins elle car elle aussi avait tout perdu et elle était le dernier espoir. Ce lien les unirait à jamais. Il se devait de la protéger. Il se remit donc en marche, plus motivé que jamais.
Au fur et à mesure qu’il avançait, du bruit se fit entendre. Au bout d’un moment, il arriva à distinguer de la lumière et les bruits se transformèrent en musique, rire et autres éclats de voix. Sans comprendre, ses larmes se mirent à couler sans qu’il ne puisse les arrêter. Cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas entendu tant de joie dans les voix.
« Ce cauchemar est enfin terminé… »
Soudain, le bébé se mit à pleurer. Pris de panique, l’homme, se mis à courir dans tous les sens tout en essayant de calmer l’enfant, ce qui était parfaitement incompatible. Quand un rire se fit entendre. Sur ses gardes, il se retourna rapidement à l’affut de tout danger.
« Par tout les démons ! » S’étonna-t-il
En effet, une femme habillée très… légèrement, était adossée à un arbre. Elle fumait une cigarette et le regardait d’un air amusé.
« Ce n’est pas comme ça que vous allez y arriver ! C’est simple, soit votre monstre a faim soit, il s’est laissé allé ! »
Elle clôtura sa phrase par un éclat de rire.
« Présentez-vous ! », s’énerva-t-il
« Je m’appelle Nadine, mais tout le monde m’appelle Nana ici. Venez avec moi, j’habite à deux pas » Elle se retourna vers lui « Et vous, avez-vous un nom, bel étranger? »
Pouvait-il avoir confiance ? Même s’il n’était plus sur ses terres natales, il devait se montrer prudent.
« Mon nom n’a pas d’importance, appelez-moi comme il vous plaira, répondit-il avec méfiance.
- alors, ça sera Pedro ! Et elle éclata de rire de nouveau. En avant Pedro ! Nous allons nous occuper de ce monstre et d’un peu de vous, tiens. Ca ne vous fera pas de mal ! »


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Désolée, je voulais qu'il soit en mode "justifié", mais moi, pas savoir comment faire.
Merci de m'aider dans ma progression!

Désolée, pour les fautes d'orthographes dans la présentation, me suis tellement énervée pour pouvoir mettre ce poste (problème de connexion), j'ai du recommencé 5 fois grrrrrrrrrr!!

"Pris de panique, l’homme, pris de panique"
pas de panique , faut pas paniquer sinon c'est la panique !!!
;D

Bon globalement comme ça, je tique sur deux-trois détails: déjà celui relevé par Pil; ensuite la cigarette (je sais pas, mes préjugés me disent que y'a jamais de cigarettes dans les trucs de fantasy... La cigarette c'est trop humain, trop réaliste. 'Fin bref.); puis les phrases sont un peu trop saccadés, un peu hachées. Exemple: "Pris de panique, l’homme, pris de panique, se mis à courir dans tous les sens tout en essayant de calmer l’enfant, ce qui était parfaitement incompatible. Quand un rire se fit entendre. Sur ses gardes, il se retourna rapidement à l’affut de tout danger."
Un peu trop saccadé, il faudrait peut-être doser les points et mêler à tout ça plus de points virgule, de points de suspension, de deux-points, enfin bref, tout l'attirail de ponctuation.


Ah et puis j'ai une question: le prénom Nana, c'est en référence au roman d'Emile Zola?

D'ailleurs en passant, "Sur ses gardes il se retourna rapidement à l'affût de tout danger" ça fait une redondance aussi.

Menthe a écrit:Ah et puis j'ai une question: le prénom Nana, c'est en référence au roman d'Emile Zola?

et Nadine, c'est rapport à la grenadine ?
;D

Gnagnagna >_<

Rien à rajouter sur ce qui a été dit précédemment. Vivement la suite ....

Oh le modo a deux balles !

Merci à tous ;)! La cigarette a tout à fait sa place ici, vous le saurez plus tard. Le "pris de panique" en doublet était une erreur de frappe. Pas du tout un effet de style xD. Promis, j'essaierai de rendre la lecture plus fluide.
Quant à Nana, je trouvais le surnom sexy et il s'accordait avec le perso. Rien à voir avec Emile Zola ;)!! Je vous ai dit!! Ce n'est pas de la grande litterature :)! Juste un moyen de faire passer mon trop plein d'imagination ;). Grace à vos critiques, je l'améliore et je le mets sur mon blog. Vous me direz ce que vous en pensez. Sinon... Vous me conseillez de le publier tous les combien?

s’aidant d’un bâton : s'aidant a quoi ?
champs drapés de cadavres : drapé fait bizarre

perso la cigarette ça m'a fait rire, je l'ai pris comme un truc décalé, comme chez Pratchett ... Pedro m'a fait le meme effet

sinon j'aime beaucoup, vivement la suite :)

S'aidant à marcher. Pour "drapé", c'est l'image que j'en avait dans la tête. C'est ce qui m'est venu desuite ^^.

moi j'aime bien le drapé...j'ai trouvé l'image forte !
tu nous en colles une partie par semaine ?

Merci pour toutes vos critiques, j'en prend bonne note et je vous dirai quand je le publierai sur mon blog. Je pense que je vais mettre un morceau tout les 2 jours car selon moi, c'est suffisant pour avoir le temps de mettre des comms et me donner vos avis. D'ailleurs puisqu'on parle du loup :

Bonne lecture!
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Chapitre 1

Dix-huit ans ans après, dans une salle ronde ressemblant à un temple...
Un jeune homme se tenait debout au milieu d'un symbole qui semblait être une étoile inversée à cinq branches. Il était roux et ses longs cheveux étaient coiffés en natte. Il était vêtu d'un étrange costume noir et portait à sa taille un long sabre dans un fourreau rouge qui faisait presque la taille de ses jambes... Ses yeux étaient clos et une énorme tension se dégageait de lui.
Depuis la Grande Guerre, l'Empereur s'était enfermé dans une folie et était persuadé que le Magicien Eryon était toujours en vie. Selon lui, il avait profité de la confusion de la Dernière Bataille pour s'enfuir et s'exiler dans l'âme jumelle de Gaïa. Cependant, personne dans l'entourage de l'Empereur ne croyait à ces contes. Mais, sa paranoïa persista. Après des années de recherches dans la bibliothèque des quatre royaumes, on avait finalement découvert un manuscrit et il fallut plus de dix ans pour le traduire du langage des anciens. La formule en main, l'Empereur lui avait donc confié l'assassinat du magicien, à lui, un des membres du peuple mercenaire du Royaume du Feu connus pour n'avoir aucune pitié mais aussi pour leur loyauté envers l'Empereur.
Nito AL BARIC ouvrit les yeux et prononça la formule. Une lumière vive l'aveugla et quand elle disparut, la salle était vide.
Non loin de là, dans une roulotte... Un vieil homme se réveilla en sueur, ses cheveux blancs collés aux tempes.
« Pourquoi ce souvenir revenait-il à présent? ».
Ces vingt dernières années, il avait tout fait pour effacer cette partie de son passé et il avait plutôt bien réussi... Alors, pourquoi maintenant ? Depuis qu'il était réveillé, il pouvait sentir une énergie maléfique se répandre comme si une brèche avait été ouverte. Tout à coup, il fut attiré par une lumière venant du fond de la roulotte.
« Par tous les démons, Maria Saura! », Paniqua-t-il.
Il sauta du lit et fonça vers celui de Maria Saura. A sa vue, il s'arrêta net. Son corps flottait dans les airs et un jet de lumière semblait prendre racine dans son cœur et envelopper tout son corps. Cela dura un cours instant mais pour Pedro, cela avait été une éternité. Quand elle repris place dans son lit, elle ouvrit les yeux. Son visage se tourna vers celui de Pedro et malgré ses yeux aveugles, il pouvait lire son interrogation.
« Oncle pedro? Qu'est-ce qu'il se passe? », questionna-t-elle
« Tout va bien, Maria, rendors-toi... ». Elle ferma les yeux et se rendormit aussitôt.
« Pourquoi ? Je ne comprends plus rien... J'ai pourtant tout fait pour la protéger y compris annuler ses pouvoirs pour qu'on ne puisse pas la repérer... »
Pourtant, malgré tout cela, il avait éclos. Sans aucun doute, était-ce mauvais signe car seuls les dieux eux-même auraient pu passer outre le sort qu'il avait jeté. Mais, ils ne l'auraient pas fait s'ils n'avaient pas jugé la situation grave. Il embrassa le front de la jeune fille et quand il se releva, il se sentit vieux et faible. Aurait-il la force de la protéger comme jadis? Cependant, jamais il n'avait senti un pouvoir aussi puissant se dégager d'elle, même dans sa famille. Peut-être y avait-il de l'espoir. Tout à ses réflexions, Pedro regagna son lit. Sa femme, Nana, s'agita légèrement mais ne se réveilla pas. Il l'enviait d'avoir toujours eu ce sommeil paisible que rien ni personne ne pouvait troubler. Il mit du temps à s'endormir mais y arriva...
A quelques pas, dans une forêt familière... Une lumière vive apparut. Quand elle se dissipa, le mercenaire ferma les yeux et renifla l'air...
« Enfin... » dit-il en souriant
« L'Empereur n'était donc pas si fou que ça... Quelle énergie... »
Le rubis rouge qu'il portait autour du cou se mit à vibrer et des couinements se firent entendre.
« Tu peux sortir Dona. Il est temps d'aller se dégourdir les jambes ! »
Un trait lumineux rouge jaillit de son pendentif et un... dragon de la même couleur que la pierre en sortit. Il était petit, de la taille d'un chat et après quelques battements d'ailes, alla se poser sur l'épaule de son maître.
« A nous deux Eryon... »
Nito AL BARIC se mit en route, son dragon volant près de lui.

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Voila voila! Préparez vous, ça va chauffer ;)!

alors autant le prologue était clair, autant là c'est hyper confus...trop de personnages d'un coup, des tournures maladroites et des enchainements douteux...pour résumer: c'est confus !

Qu'est-ce que je dois modifier d'après toi? Bon, je réfléchis dessus et j'apporte des modifs (enfin, quand j'aurai le temps). Vous me direz ce que vous en pensez...

En attendant... Je vous mets toujours le chapitre 2 ^^... N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez!! Je mords pas, j'arrache juste la main (naaan, j'rigole ^^).


Chapitre 2

Sans savoir pourquoi, quand Maria Saura se réveilla, elle se sentit différente. Elle sourit et se leva. Bien que se fut son anniversaire et qu'elle rentrait aujourd'hui dans le monde des adultes, elle trouvait ridicule qu'on puisse se trouver différent pour ces raisons. Elle se moqua d'elle-même puis, passa le rideau. Elle sentit la présence de trois personnes. Pas difficile de deviner de qui il s'agissait...

« Bonjour !» dirent-ils en l'apercevant.
Son oncle se leva pour l'embrasser

« Bien dormi ? » demanda-t-il d'un air soucieux
Elle hocha la tête et alla embrasser Paul, son ami d'enfance et Nana, sa tante.
Maria s'assit à la table et commença à boire le café que cette dernière venait de lui mettre dans la main.

« Il ne faut pas trop la bousculer quand elle vient de se réveiller » leur rappela Pedro avec un clin d'œil.

« Toujours ravissante et de bonne humeur au réveil! » se moqua Paul
Maria bailla et s'étira avec la souplesse d'un chat. Ses long cheveux bruns attachés en chignon se défirent et tombèrent en cascade.

« Gnagnagna »

« Donnez-moi un couteau que j'en finisse avec ces fauteurs de trouble ! » s'exclama-t-elle en souriant
Tout le monde éclata de rire car la spécialité de Maria était le lancer de couteau. Un tour qui avait beaucoup de succès vu sa cécité. Cependant, elle s'entraînait depuis son plus jeune âge et aussi loin qu'elle pouvait remonter, elle avait toujours eu un couteau dans les mains. Le cirque était toute sa vie et son oncle lui avait promis qu'elle pourrait s'y consacrer à la seule condition qu'elle aie son bac. Mission accomplie.

« Cadeau ! » entendit-elle Paul lui dire
Elle tendit le bras et sentit le papier sous ses doigts.

« Oh merci ! Je pensais que vous aviez oublié » dit-elle en le prenant.

« Offert par nous tous » l'informa son oncle
Elle n'arrêtait pas de le toucher pour essayer de savoir ce que c'était mais il était bien camouflé.

« T'as cas l'ouvrir si tu veux savoir ce que c'est ! » la taquina Paul
Elle hocha la tête et défit le papier. Quand elle en vint enfin à bout et qu'elle toucha l'objet, elle resta bouche bée.

« Mon violon ! Vous l'avez fait réparer !» s'exclama-t-elle une larme au coin de l'oeil. Elle le serra fort contre son cœur.

« Ça nous manquait de plus t'entendre jouer », dit Paul avec nostalgie.

« J'étais tellement concentrée sur le bac, que j'ai mis la musique de côté... »

« Bon anniversaire ma chérie », lui souhaita son oncle
Elle fit le tour de la table et embrassa tout le monde.

« Merci » dit-elle les larmes aux yeux.

« Remercie Paul, c'est lui qui en a eu l'idée. » Elle ne put s'empêcher de sourire à cette parole. En effet, Paul et elle s'étaient rencontrés à la maternelle et ne s'étaient plus quittés. Il était son meilleur ami et avait toujours été la pour la protéger contre la méchanceté des autres. Quand elle l'avait emmené pour la première fois au cirque, il avait rencontré son oncle et l'avait vu à l'œuvre. Depuis ce jour, il s'était jurer de devenir magicien. Ses parents n'avaient pas su résister contre cette passion mais surtout, ils ne l'avaient pas accepté tel qu'il était c'est-à-dire... différent. Dès l'âge de 16 ans, il fut donc 'adopté' par la famille de Maria.

« Allez, dépèche toi ! On doit s'entraîner pour le tour de ce soir ! », lui rappela-t-il en sortant de la roulotte.
Maria déposa son violon et se prépara en vitesse.

Quand elle le rejoignit, elle s'arrêta sur les marches en sentant sa surprise. Quand elle perçut la présence de l'autre homme à quelques pas, elle prit peur. Une énergie négative se dégageait de lui. Sans comprendre, elle sentit Paul s'écrouler. Elle cria et tenta de l'empêcher de tomber. Pedro et Nana, alertés par le cri de Maria accoururent. Quand soudain, ils virent Paul blessé dans les bras de Maria en larme. Le visage de Pedro se tourna en direction de l'auteur de crime et se déforma par la colère.

« Nooon ! Comment est-ce possible ? » cria-t-il

« Eryon, Eryon... Tu sais bien que rien est impossible sur Gaïa. On a tout simplement fini par trouver la formule », dit l'étranger

« Il s'appelle Pedro et pas Eryon ! » implora-t-elle le visage beigné par les larmes

« Eryon ? » murmura Nana, « Mon Dieu... Il a utilisé ton véritable nom. Est-ce donc... ?»

« Oui » la coupa-t-il

« Tu connais mon nom mais toi qui es-tu ? Un esclave du nouvel empereur ? »
Sous l'insulte, les traits de l'étranger se durcirent.

« Je m'appelle Nito AL BARIC, mercenaire et j'ai un contrat sur ta tête ! »

« Non... Ce n'est pas possible... Oncle Pedro, que se passe-t-il? », demanda Maria
Son oncle la fit taire d'un geste de la main.
Autour de la scène, des gens du cirque commençaient à s'attrouper et les regardaient d'un air étonné.

« C'est génant, il y a des fauteurs de troubles, je vais devoir faire un peu de ménage... » dit Nito AL BARIC en souriant,

« Dona ! », cria-t-il et le dragon sortit de sa pierre « Occupe toi d'eux ! » Après quelques couinements, une lumière illumina l'endroit et le dragon se transforma en un spécimen qui faisait trois fois la taille d'un homme en largeur et en longueur. La foule eut un hocquet de surprise et des cris se firent entendre. Le dragon semblait ronronner devant la vue de ces proies faciles qui couraient dans tous les sens. Quand la première flamme sortie, une lumière vive illumina de nouveau l'endroit.

« Assez ! »
Tous se tournèrent vers Pedro. Une boule lumineuse flottait au dessus de sa main.

« Ca suffit ! C'est moi que tu es venu chercher ! »