Lettres codées
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Lettres codées
Le principe des textes que je posterai ici est simple : il y a le texte tel qu'on le lit, et il y a le texte qu'il cache grâce à un code.
Le premier : (je me fais la main)
Le texte caché (attention y a du calembour à tout va !) :
Le premier : (je me fais la main)
titre : En connaissance de la vie.
Je suis très seul dans une chambre
sans mur, et vivant, c’est l’é-
tat superflu que je m’attribue
par du « faire » à piè-
tre rendement. Je bouge alors
je vis, hein, en faire trop
nuit à la santé quand on est dans le
vide, un vide constitué de
tout l’air des étoiles soufflant la
pierre à mes pieds, jus-
te posés au milieu du monde. L’âge
que par dessus ma tête
on lance, rebondit loin devant
et tout autour de moi. C’est un pied
lassé qui s’avance vers l’avant,
je dois tomber, c’est les maîtres du jeu qui l’ont écrit dans mes
bras, dans mes veines ce dur
destin de solitude est inscrit.
Si seulement la vie m’é-
tait plus conciliante, je n’aurais
pas la conscience qui reste-
rait figée sur ce désir gravé
profondément en moi d’en
réchapper. Rencontrer quelqu’un,
c’est trop cher ?
Je veux changer, je peux, prom-
i j’ai la volonté re-
quise pour m’investir dans la vie. Je ne
mens pas, loin de là,
et je sens que déjà amoureux je
tombe, de dieu mon pet re-
muera les narines, qu’importe si je me le met
à dos, petit if insi-
gnifiant, pédant, injuste. Dieu c’est tout ça
réuni ! Na.
Il faut croire en lui, le vénérer ? Na-
vrant. Je ne l’ai jamais appr-
is, et je ne me demande pas pour autant
« où vais-je ? » Les tués par deux
de ses doigts ont finalement eu à
voir la réponse à la vie. Et
moi je dis que je préfère être myope
que connaître la vérité
inutile. Avec tout ce qu’on voit sur terre d’amoureux
et d’anges heureux on comprend
qu’on n’a rien à envier au ciel où l’on va
bien trop vite ! Notre tord
est qu’on néglige l’inintérêt pour vivre
d’avoir compris la vie. On se
met à prier du vent au lieu de se
retrouver tout fait dans la
réalité parmi les gens, et en profiter le
pied redressé et le faire ron-
dement sans rechigner sous l’effort.
J’ai toute volonté de vivre.
Deux ans ont passé. Mon long coma
m’a quitté.
Je suis très seul dans une chambre
sans mur, et vivant, c’est l’é-
tat superflu que je m’attribue
par du « faire » à piè-
tre rendement. Je bouge alors
je vis, hein, en faire trop
nuit à la santé quand on est dans le
vide, un vide constitué de
tout l’air des étoiles soufflant la
pierre à mes pieds, jus-
te posés au milieu du monde. L’âge
que par dessus ma tête
on lance, rebondit loin devant
et tout autour de moi. C’est un pied
lassé qui s’avance vers l’avant,
je dois tomber, c’est les maîtres du jeu qui l’ont écrit dans mes
bras, dans mes veines ce dur
destin de solitude est inscrit.
Si seulement la vie m’é-
tait plus conciliante, je n’aurais
pas la conscience qui reste-
rait figée sur ce désir gravé
profondément en moi d’en
réchapper. Rencontrer quelqu’un,
c’est trop cher ?
Je veux changer, je peux, prom-
i j’ai la volonté re-
quise pour m’investir dans la vie. Je ne
mens pas, loin de là,
et je sens que déjà amoureux je
tombe, de dieu mon pet re-
muera les narines, qu’importe si je me le met
à dos, petit if insi-
gnifiant, pédant, injuste. Dieu c’est tout ça
réuni ! Na.
Il faut croire en lui, le vénérer ? Na-
vrant. Je ne l’ai jamais appr-
is, et je ne me demande pas pour autant
« où vais-je ? » Les tués par deux
de ses doigts ont finalement eu à
voir la réponse à la vie. Et
moi je dis que je préfère être myope
que connaître la vérité
inutile. Avec tout ce qu’on voit sur terre d’amoureux
et d’anges heureux on comprend
qu’on n’a rien à envier au ciel où l’on va
bien trop vite ! Notre tord
est qu’on néglige l’inintérêt pour vivre
d’avoir compris la vie. On se
met à prier du vent au lieu de se
retrouver tout fait dans la
réalité parmi les gens, et en profiter le
pied redressé et le faire ron-
dement sans rechigner sous l’effort.
J’ai toute volonté de vivre.
Deux ans ont passé. Mon long coma
m’a quitté.
Le texte caché (attention y a du calembour à tout va !) :
- Spoiler:
- S’emmurer vivant, scellé par du fer au pied, je vis un enfer trop vide, un vide constitué de pierre à mes pieds jusque par dessus ma tête et tout autour de moi. C’est un piège, doit-on baisser les bras ? Dans mes veines se durçit seulement la vie, mais pas la conscience qui reste profondément en moi dans cette roche érigée là volontairement pas loin de la tombe de dieu, mon père adoptif. Ainsi réuni. Navrant. Je ne l’ai jamais approuvé. Je l’ai tué par devoir. La réponse à la vie est que connaître la vérité est dangereux. On comprend bien trop vite notre tord d’avoir compris la vie. On se trouve étouffé dans la pierre dressée et le fer rongé. Toute volonté de vivre m’a quitté.
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