La phrase d'après

[v2]

Gl0um voici fait juste pour toi !!

Le jeu de la phrase d'après comme le jeu du mot d'après.. Utilisez des mots en rapport avec la phrase précédente Et créez une suite de texte ( les articles, pronom etc.. ne sont pas valables)

Ps : Je souligne les mots repris dans la phrase précédente en rouge.. essayez de faire pareil.

Gl0um ouvre le bal avec sa première phrase !!

[gl0um]

Il était difficile pour Raymond, jeune nécromancien fraîchement diplomé de l'école des arts et des cycles de magie noire, de ne pas songer au beau cadavre plein de promesses que deviendrait ( bientôt! ) la belle et vigoureuse Mathilde.

[v2]

oh mon salaud !

Mathilde qui petite fillotte de Gutemberg, n'inventa pas les lettres et l'imprimerie mais l'art de créer un cadavre exquis aux yeux de Raymond le psychopathe nécromancien...

[gl0um]

d'ailleurs c'est la seule chose qu'elle inventa : elle était femme de ménage depuis 1 mois chez ce monsieur raymond aux yeux incisifs et étranges, et ne se doutait pas de la terrible et rocambolesque aventure qui allait être la sienne.
:?:

[huntingseb]

C'est lors qu'un etrange individu vetu de noir sonne a la porte.

[Captain Meuff]

Bien le bonjour, je me présente, huntingseb, bandit de grand chemin, je viens prendre tout ce que vous possédez, votre résistance serait futile, mon complice attend dehors.

[v2]

Votre Complice mais n'est ce pas un jogging que vous portez là ? Je ne suis que Mathilde, femme de ménage et non en ménage. Monsieur Raymond s'est absenté. Puis je lui laisser un mot de votre venu, ou lui rendrez vous, vous même de cette arrogance de bandits sans chemin. Je crois qu'une résistance a sauté dans votre petit boyau qui empli votre tête. Je ne vous retiens pas..

La pluie tombe en cette nuit illuminé d'éclairs et réveillée de puissants grondements.


Ps : Je souligne les mots repris dans la phrase précédente en rouge.. essayez de faire pareil.

[Captain Meuff]

D' arrogance il n' est point question, et de quelconque boyau non plus, à moins que vous ne souhaitiez, que je répande les votres sur le parquet brillant que vous avez frotté.
Donnez moi sans tarder, vos espèces, vos bijoux, tout ce qui en cette demeure peut se monnayer dans l' heure. Je vous conseille vivement, de ne point me faire attendre ou je me verrais contraint, d' oter le coeur palpitant qui loge dans ce charmant corps.

[gl0um]

prenez donc déjà ce seau et ce balai... en pleine face ! hurla mathilde, et ce coup de pied en prime dans vos parties tendres petit bandit sans avenir ! je ne suis pas la pauvre jouvencelle que vous croyez !!!
il est vrai que du haut de ses 117 kilos, mathilde n'était pas exactement c' qu'on peut appeler un poids plume.
on comprend dès lors que le complice prit son jogging à son cou.
et durant sa fuite, mr raymond ( vous l'aviez bien sûr tous deviné! ) jura contre cet incompétant d'assassin qu'il avait recruté à bas prix mais à un certain prix quand meme !
rien ne se passait comme prévu avec cette ménagère... déjà un mois qu'elle était là, bien vaillante, quand les autres ne passaient le cap de la semaine.

[v2]

Mr Raymond, très rancunié, ne laissait pas passer ce genre de situation. Une fois la porte fermée il s'approcha de l'assassin qui gisait au sol, il le saisie et chuchota dans son oreille son mécontentement et lui jura sa peau.. contre celle qu'il ne pu lui donner. ceci se terminant par cela, il enfonca le crane du bandit dans le sol, lui cassant ainsi le nez.


L'assassin se relevait comme il put, et pris ses jambes à son coup, Raymond entrait dans la maison :

-Mathilde ! qu'avez vous fait ?? ces traces de boue sur mon parquet !
-Mais ce sont ces assassins qui voulaient vos bijoux de famille !
-Ne cherchez pas d'excuses ! Je vous paie une fortune pour ceci, un sol ravagé ! et allez vite me ramasser ce balai et ce seau que je ne saurai voir.

La rage monte en Mathilde, mais Raymond, lui, ne se contient quasiment plus.. Il boit son Whisky afin d'étancher sa soif de meurtre.

[gl0um]

(( en fait t'as pas compris ce que j'avais écrit )
> le fuyard et complice qui se tenait dans l'ombre est raymond. l'assassin est déjà ko par les bons soins de mathilde...
enfin, laisse tomber les mots à reprendre : c'est déjà assez compliqué de continuer l'histoire pour ne pas se prendre la tête avec des détails comme ça... )
bref tu nous reponds ta phrase dans la continuité ?

[v2]

J'ai édité mon message pour coller au tiens..

PS : Attention la règle a changée !! Ne reprenons plus des mots de la phrase précédente MAIS faisons une suite de texte qui colle bien et accroche le lecteur !!!

[Don Quic]

Mathilde qui en avait plus qu’assez de ce maudit parquet, montra à son employeur de quel bois elle se chauffait. Elle pris son manche à balais, en sapin massif bon marché et entrepris de faire taire ce vilain führer. Elle s’avança en colère et rancunière, bien décidée à mettre au sol ce méchant ennemi.
Raymond qui senti venir quelques fourberies venant de sa gouvernante qui voulait gouverner dans sa propre maison, sur son propre parquet. Il se retourna brusquement et mis maladroitement son pieds dans le sceau, le whisky lui avait fait perdre l’équilibre et avait précipité sa chute sur le parquet boueux.
Mathilde en voyant la scène lui cria :
_ Sot…
_ Oui merci Mathilde je ne suis pas bourré au point de ne pas voir sur quoi j’ai trébuché, encore un commentaire de ce genre et je vous envoi dans l’espace avec mon trébuchet.
_ Oh rage Oh désespoir n’êtes vous donc pas fatigué de tant de menaces ?

[gl0um]

si !
raymond était fatigué... exténué, éreinté !
comme un baobab en automne. comme une étagère trop frêle soutenant quelque enclume maudite....
il regagna sa chambre, amer, et contempla les 2 servantes zombies qui l'attendaient doudoureusement en pelant les raisins.
on était loin du compte ! pour entériner son doctorat, raymond devait absolument asservir une ville à l'aide d'une armée de morts-vivants dans l'année à venir. avec 2 pauvres servantes damnées et une grosse récalcitrante, ça savérait difficile ....

mathilde elle, n'avait pas sommeil ! elle rédigeait son rapport hebdomadaire à l'attention de .... :?:

[Don Quic]

*Mathilde tournant le dos à son patron, s'attabla un instant pour écrire son rapport hebdomadaire, elle écrivait sa lettre et lisait au fur et à mesure à voix haute*
A l'attention dU gouverneur,

Monsieur le gouverneur de Gouvernia Syndicalia (nom de la ville) je vous écris, comme chaque mois en ma qualité de gouvernante, pour vous témoignez des conditions de travail difficiles dans lesquelles j’exerce ma profession de servante.

*Notre nécromancien intervient immédiatement pour interrompre pareil inepties*

-Gouvernante, hurla-t-il, sachez pour votre gouverne que c’est moi qui gouverne.
-Cela fait beaucoup trop de gouvernants dans une si petite maison, ne trouvez-vous pas ?
-Mais n’est pas gouvernant qui veut ! petite sotte.
-Oh, mais moi je suis gouvernante et je n’ai jamais voulu l’être.
-Comme dit le proverbe rien ne sert d’être gouvernante si l’on est pas gouverneur.
-Et bien justement je lui écris chaque mois pour l’épouser et devenir,….gouvernante
-AHAH mais n’est ce point ce que vous êtes en cette maison. Par le sacre de Tyranicus le démon du troisième cercle vous êtes une sacrée marrante.
-Riez messire mais je ne resterai pas femme de ménage éternellement.
-Commencez donc par arrêter vos scènes de ménages dans ce cas.
-Cela en est trop, je m’en vais, je vous quitte…
-Me quitter, petite niaise écervelée vous ne le pouvez !
-Ah oui ? Et comment comptez-vous m’empêcher de disparaître. Par quelques tours de magies peut-être ? *rire*

[Adrenaline]

Bon voilà je relance un vieux topic, je modifie tres legerement les regles pour que tout le monde puisse participer.
Quelqu'un donne une phrase de départ, puis la personne suivante donne une phrase à son tour.....un peu comme le principe du cadrave exquis mais qui ne vous prendra pas plus de temps que n'importe lequel de vos post.
Pas d'impératif particulier sauf d'avoir une suite d'une phrase sur l'autre, même légère!!!!!!!

Voici pour la première phrase.....


"Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre."

[v2]

une bosse se dessinait sous la couette

[Mélusine]

Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelat d'eau pour trouver face à lui...

[vennusse]

"Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelat d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie......

[Mélusine]

Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement...

[vennusse]

"Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelat d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie.
Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement de vas et viens qui la rendait encore......

[Mélusine]

Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelat d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie.
Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement qui la rendait encore plus envoutante. Son souffle était tel la brise du matin caressant les feuilles du grand cerisier japonais...

[v2]

Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelas d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie.
Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement qui la rendait encore plus envoutante. Son souffle était tel la brise du matin caressant les feuilles du grand cerisier japonais... ses seins comme le mont Fuji était froid au bout et laissaient monter une excitation..

[2beliou]

Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelas d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie.
Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement qui la rendait encore plus envoutante. Son souffle était telle la brise du matin caressant les feuilles du grand cerisier japonais... ses seins comme le mont Fuji étaient froids au bout et laissaient monter une excitation....qui permettait d'envisager raisonnablement une prochaine éruption.....

[Adrenaline]

Jean Charles entra à pas feutrés dans la chambre, une bosse se dessinait sous la couette. Sentant la passion monter de plus en plus en lui, il se faufilat doucement sur le matelas d'eau pour trouver face à lui la belle Alexandra qui était endormie.
Son souffle faisait monter sa poitrine dans un léger mouvement qui la rendait encore plus envoutante. Son souffle était telle la brise du matin caressant les feuilles du grand cerisier japonais... ses seins comme le mont Fuji étaient froids au bout et laissaient monter une excitation qui permettait d'envisager raisonnablement une prochaine éruption....
Quand tout à coup, il sentit un objet frapper contre sa tête.

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