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Re: portrait
v2 a écrit: et les pieds de cochon !.
J'avais pas aborder la forme des membres, faut pas mettre la charrue avant les lapins.
Rackaël- Thor
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Re: portrait
c'était en chanson qu'il fallait le voir.. les genoux cagneux et les pieds de cochon.. tu connais pas ?
Re: portrait
alors comme c'est moi qui t'embete depuis plusieurs jours..
george !! son buste est trop petit, ca donne l'impression d'une grosse tete..
pour l'espace entre le nez et la bouche.. il est aussi sur george ? je te demande car je le regarde rarement et là ca donne une impression de trop grand..
george !! son buste est trop petit, ca donne l'impression d'une grosse tete..
pour l'espace entre le nez et la bouche.. il est aussi sur george ? je te demande car je le regarde rarement et là ca donne une impression de trop grand..
Re: portrait
Bon, je me lance dans une critique (à noter que je ne suis pas une pro)
Je trouve le visage trop tassé, ce qui lui donne un air joufflue. Son sourcil droit est plus épais alors que sur ton portrait il est plus fin. Son oreille droite est plus large que sur l’original mais je pense que cela vient du fait que le portrait est tassé. La démarcation buste/tête, n’est pas marquée, ce qui donne une impression de masse.
Voilà pour mes observations, mais ce n’est que mon avis et vue que je ne suis pas une pro…
Hors mis ça, j’aime beaucoup le dessin dans son ensemble et je le trouve très ressemblant !
Bravo.
Je trouve le visage trop tassé, ce qui lui donne un air joufflue. Son sourcil droit est plus épais alors que sur ton portrait il est plus fin. Son oreille droite est plus large que sur l’original mais je pense que cela vient du fait que le portrait est tassé. La démarcation buste/tête, n’est pas marquée, ce qui donne une impression de masse.
Voilà pour mes observations, mais ce n’est que mon avis et vue que je ne suis pas une pro…
Hors mis ça, j’aime beaucoup le dessin dans son ensemble et je le trouve très ressemblant !
Bravo.
Re: portrait
ouais, en fait sur ton modèle, il a le visage un peu plus long regardes bien.
Sinon, côté création, on dirait qu'il a la tête trop enfoncée dans les épaules, le pull souffre de manque de détail.
Pour le positif, ben c'est lui quoi !! on le reconnait sans problème. Le fond me paraissait un peu agressif au premier coup d'œil, mais finalement il me plait bien.
Petit conseil du jour: N'hésites pas à faire des mèches rebelles, épis en vrac ou cheveux en pagailles pour donner du volume à ton dessin.
Sinon, côté création, on dirait qu'il a la tête trop enfoncée dans les épaules, le pull souffre de manque de détail.
Pour le positif, ben c'est lui quoi !! on le reconnait sans problème. Le fond me paraissait un peu agressif au premier coup d'œil, mais finalement il me plait bien.
Petit conseil du jour: N'hésites pas à faire des mèches rebelles, épis en vrac ou cheveux en pagailles pour donner du volume à ton dessin.
Rackaël- Thor
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Re: portrait
d'accord avec ce qui a été dit sur le visage
par contre fait attention à la compo : sur l'original la figure occupe beaucoup plus d'espace, ce qui lui évite d'être "perdue" sur la feuille
de plus, elle est bien dans l'angle : le parti pris de l'angle est clair. dans ton dessin, ce même parti pris est plus hésitant, pas franc et du coup l'effet est un peu raté : on ne sait pas si tu l'as fait exprès ou pas
et l'air de rien l'écriture en bas à son importance : elle équilibre les teintes. a mon sens tu devrais rajouter un détail en bas pur équilibrer tes teintes aussi
mais a part toutes ces pitites critiques, je suis bluffée sur la ressemblance !!
par contre fait attention à la compo : sur l'original la figure occupe beaucoup plus d'espace, ce qui lui évite d'être "perdue" sur la feuille
de plus, elle est bien dans l'angle : le parti pris de l'angle est clair. dans ton dessin, ce même parti pris est plus hésitant, pas franc et du coup l'effet est un peu raté : on ne sait pas si tu l'as fait exprès ou pas
et l'air de rien l'écriture en bas à son importance : elle équilibre les teintes. a mon sens tu devrais rajouter un détail en bas pur équilibrer tes teintes aussi
mais a part toutes ces pitites critiques, je suis bluffée sur la ressemblance !!
Re: portrait
j'ai bien pris note des remarques et c'est vrai qu'il a le visage bien plus long (et autres petits soucis cités) , niveau compo j'ai un peu de mal beulette mais j'y travaille . j'ai un dessin en cours à noter qu'il n'est pas fini (alors v2 attend que je l'ai fini pour me briser en 2 )
Re: portrait
Mhh c'est sarah jessica parker? je suis pas sur de reconnaitre la :p
En tout cas y a un truc qui me gene dans les proportions mais je sais pas quoi exactement
(désolé^^)
Il a l'air réussi :p
En tout cas y a un truc qui me gene dans les proportions mais je sais pas quoi exactement
(désolé^^)
Il a l'air réussi :p
Alex-noX- Guerrier Sanguinaire
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Date d'inscription : 02/09/2007
Re: portrait
je crois que le souci vient du fait que la taille est haute et les hanches absentes, donc on a l'impression que la tête est trop grosse .....
attention à la rigidité aussi ....
et d'accord avec pilou, la compo est jolie :D
je crois que c'est le plus dur la compo en fait, parce que c'est ça qui fait que ton dessin renvoie l'ambiance que tu veux y mettre et que ton perso est mis en valeur
mais vu les portraits que tu arrives a faire, avec un peu de boulot tu devrais y arriver sans souci !!
attention à la rigidité aussi ....
et d'accord avec pilou, la compo est jolie :D
je crois que c'est le plus dur la compo en fait, parce que c'est ça qui fait que ton dessin renvoie l'ambiance que tu veux y mettre et que ton perso est mis en valeur
mais vu les portraits que tu arrives a faire, avec un peu de boulot tu devrais y arriver sans souci !!
Re: portrait
la clé c'est l'harmonie...ça tient a peu de choses...des fois un trait te fout tout en l'air...c'est comme un numero d'équilibriste...faut pas s'vautrer !
j't'ai déjà parlé du nombre d'or ?
j't'ai déjà parlé du nombre d'or ?
Re: portrait
Sab, tu t'attaques à des postures monstrueusement difficile et en prime... sans construction de squelette !! Pas glop !
Pour le coup, elle est trop tassée, il faut arrondir un peu son dos ( vu la posture), tu as placé son cou sur son épaule gauche. Pour le reste des proportions, il faut voir une fois que tu auras mis son tronc à la bonne longueur.
Pour le coup, elle est trop tassée, il faut arrondir un peu son dos ( vu la posture), tu as placé son cou sur son épaule gauche. Pour le reste des proportions, il faut voir une fois que tu auras mis son tronc à la bonne longueur.
Rackaël- Thor
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Re: portrait
alex : c'est whitney houston (mais elle change tout le temps de tête donc pas évident de la reconnaître )
pil : je sais pas ce que c'est le nombre d'or (mais alors aucune idée même), j'attend tes explications
beulette : merci pour les encouragements
rack : j'adore me compliquer la vie , je vais arrondir le dos
pil : je sais pas ce que c'est le nombre d'or (mais alors aucune idée même), j'attend tes explications
beulette : merci pour les encouragements
rack : j'adore me compliquer la vie , je vais arrondir le dos
Re: portrait
Petit cours de philosophie mathématique :
Le nombre d'or dans l'art : mythe ou réalité ?
Les débuts du nombre d’or
Le parthénon et la divine proportion Euclide l'appelle la proportion de moyenne et extrême raison. On peut considérer que les Pythagoriciens en font indirectement un symbole de leur secte en prenant pour emblème la figure géométrique qui lui est associée : le pentacle. Léonard de Pise le retrouve dans les suites qui portent son nom. Le moine mathématicien italien Luca Pacioli lui consacre un livre intitulé De divina proportione rédigé en 1498 avec la collaboration de Léonard de Vinci pour les figures. Johannes Kepler dit de lui
« La géométrie a deux grands trésors : l'un est le théorème de Pythagore ; l'autre la division d'un segment en moyenne et extrême raison. Le premier, nous pouvons le comparer à une mesure de l'or ; le second nous pouvons l'appeler un précieux bijou. »
La "découverte" de sa présence presque parfaite dans le Parthénon construit par Phidias fait qu'on lui attribue la lettre φ comme nom. Cette proportion souvent considérée comme esthétique est étudiée ensuite par Charles Henry et Georges Seurat. Une exposition, "la section d'or", lui est consacrée en 1912.
La contribution de Ghyka
Vers 1930, le Roumain Matila Ghyka voit le nombre d'or partout : les spirales des coquillages, la disposition des feuilles des plantes, le nombre de pétales… mais aussi l'architecture ou la peinture. C'est lui qui popularise cette notion que les rectangles construits à partir du nombre d'or sont attrayants visuellement. Ghyka trouve en effet des approximations de φ par exemple dans des tableaux comme la Joconde.
Des travaux critiqués
Ses mesures seraient approximatives. Il semble qu’il ne trouve qu’environ 1,6.
Ses résultats sont trop souvent complexes. Selon ses détracteurs, il faut décortiquer dans tous les sens un portrait pour y trouver lesdites valeurs. Selon ses partisans, le nombre de ses découvertes dans une seule œuvre excuse la difficulté que l’on peut avoir à les retrouver.
Certains poussent le raisonnement jusqu’à dire que ses résultats n’ont rien à voir avec une décomposition normale d’un tableau ou d’un monument.
L'exemple du Parthénon, très populaire, serait ainsi biaisé : pour obtenir un vrai rectangle d'or, on ne prend pas la façade, mais la façade plus quelques marches pour avoir la bonne hauteur et donc le bon rapport ! De plus, pour les mesures effectuées avec le chapiteau, les détracteurs soulignent le fait que celui-ci étant écroulé, on n’en connaît pas la hauteur originale, ce à quoi les partisans répondent que prolonger sur un plan les droites formées par les morceaux restants suffit.
L’exemple de la Grande Pyramide se baserait sur un récit d’Hérodote (d'après l'abbé Moreux), mais quand on examine le texte en question on se rend compte qu'il ne comporte aucun détail mathématique de ce genre.
Le personnage de Saint-Jérôme est-il judicieusement encadré par un rectangle d’or ?L’exemple également assez répandu de Saint-Jérôme (détail du tableau éponyme de Léonard de Vinci) ne prouverait rien : le personnage est si mal encadré par le rectangle d’or (noté ici en bleu) que son bras droit n’y est pas inclus entièrement, prouvant ainsi malgré ses partisans que le nombre d’or n'a pas été utilisé par le peintre. Les partisans considèrent au contraire que la partie majeure du corps est bien enserrée dans le rectangle et que le bras compte bien moins que la masse formée par le corps accroupi.
Nous pourrions ainsi multiplier les exemples, avec arguments et contre-arguments à l’appui.
Ghyka travaillait sur des copies en noir et blanc des œuvres. Or un tableau, un monument, c'est bien plus qu'une construction géométrique. Ce sont des couleurs, des matières… L'attrait des spectateurs pour telle œuvre a probablement d’autres explications que l'existence prouvée ou non de rapports géométriques.
Au-delà de la méthode
Le lecteur est alors en droit de se demander ce qu’il adviendrait si les résultats étaient exacts et se rapportaient à des découpages cohérents et reconnus des œuvres étudiées. Plusieurs pistes tendent à montrer que cela ne prouverait rien quand même.
Une des études statistiques les plus connues est celle du philosophe allemand Gustav Fechner, réalisée en 1876. Il se base sur des formes élémentaires et recherche dans les croix du commerce (bijoux) ou religieuses (crucifix et croix tombales) les proportions les plus courantes. Il en présente à un grand nombre de personnes plusieurs modèles et leur demande de choisir celle qui à leurs yeux est la plus esthétique. La croix considérée comme la plus esthétique est celle de Saint-André.
La seconde expérience réalisée par Fechner porte sur différents rectangles. Sa procédure consiste à présenter à un sujet une série de dix rectangles dont les rapports hauteur/largeur varient entre 1 et 0,4. Le sujet doit ensuite choisir la figure qui lui paraît la plus esthétique. Environ 76 % des choix sont centrés sur des rectangles dont les rapports sont 0,57 ; 0,62 et 0,67. Les autres figures reçoivent moins de 10 % chacune.
Ces considérations ne peuvent donner une réponse absolue quant à la présence du nombre d’or en esthétique. Mais les résultats obtenus vont néanmoins dans le sens de la "divine proportion". Malgré cela, les choix de Fechner sont relativement limités et l’ordre de présentation des rectangles joue un rôle important sur le choix des sondés.
Un test réalisé par George Markowsky met en œuvre 48 rectangles de proportions différentes (entre 0,4 et 2,5). La hauteur de ces figures est fixe, seule la largeur varie. Les rectangles sont tout d’abord présentés sous forme de matrice 6×8 et organisés de manière aléatoire. Il en ressort que la plupart des gens sont incapables de trouver le rectangle d’or dans ces conditions. Les figures sont ensuite ordonnées selon leur largeur dans l’ordre croissant. Il se trouve que dans cette configuration, les choix sont relativement différents par rapport au cas précédent. Dans cette expérience, le rectangle le plus souvent nominé est celui dont le rapport est de 1,83. Ce test semble prouver que le rectangle d’or n’est pas celui qui nous paraît le plus esthétique.
Autres contributions
Le mathématicien H.E. Huntley publie en 1970 The Divine Proportion. A Study in Mathematical Beauty où il expose toutes les situations où l'on peut rencontrer le nombre d'or. Il semble parfaitement fasciné par ce nombre, même quand il manipule ses pures propriétés algébriques et trigonométriques, d'une manière un peu embrouillée d'ailleurs car il conserve à la fois , son inverse, la seconde racine de l'équation de base et .
En 1995, l'historienne d'art Marguerite Neveux démonte toutes les études précédentes qui prenaient parti pour le nombre d'or, dans son ouvrage Nombre d'or - radiographie d'un mythe, fruit de 10 ans de recherches.
Rudolf Wittkower est également de son avis, et dit notamment qu'« il est probablement exact de dire qu'aucun architecte de la Renaissance n'a usé des proportions irrationnelles ». Pierre Gros dans ses études sur Vitruve montre du reste que ce dernier se sert très peu des nombres irrationnels, et uniquement de . Il ne faut pas oublier que pour les Pythagoriciens la découverte de l'existence des nombres irrationnels fut un choc, parce que toute leur théorie de l'adéquation du monde aux nombres entiers ou aux rapports de tels nombres volait en éclats. Cette méfiance s'est semble-t-il perpétuée jusqu'à la Renaissance.
Enfin, on ne compte plus les revues, magazines, livres, sites personnels… parus pour réaffirmer la véracité du mythe, et dans une moindre mesure, ceux édités pour en étudier l’authenticité d’un point de vue bien plus critique. Il reste à noter que bien souvent, l’argumentation des sources trop peu sérieuses est trop mince et affirme par exemple couramment sans démonstration que le nombre d’or a été trouvé dans un temple de la mer des Bahamas, dans la Grande Pyramide, dans les cathédrales, dans les tableaux de Léonard de Vinci.
Bref, l'utilisation consciente ou inconsciente dans l’art du nombre d'or reste un sujet hautement polémique.
Nombre d'or et architecture
Le nombre d'or dans un tracé régulateurQuoi qu'on puisse penser de l'intérêt réel du nombre d'or en tant que tel en matière d'esthétique, il est clair qu'un consensus entre les architectes sur une proportion ou une autre — et donc pourquoi pas celle-là — ne pouvait que donner à un ensemble de bâtiments ayant des concepteurs différents un début d'harmonie commune. En ce sens, son rôle principal aurait concerné des questions d'urbanisme plus que d'architecture.
Toutefois, l'intérêt architectural de ce nombre est, que si vous ajoutez, ou bien soustrayez, un carré à un rectangle au nombre d'or, vous retrouvez un rectangle au nombre d'or, ce qui simplifie le travail pour composer une façade suivant des tracés régulateurs. De plus, cette relation complémentaire entre le carré et le rectangle d'or donne une impression de grande stabilité visuelle. Cependant, Marguerite Neveux rejette de tels hypothétiques tracés régulateurs.
L'architecte et urbaniste Le Corbusier lui consacre un essai en créant le Modulor. Il baptise ainsi ce système qu'il rêve de substituer au système métrique et qu'il utilisera dorénavant dans tous ses projets, comme la Cité radieuse de Marseille. C'est de très loin l'utilisation la plus clairement établie du nombre d'or, puisque Le Corbusier en a parlé sans ambiguïté.
Nombre d'or dans la nature
Certains affirment observer le nombre d'or dans l'implantation des feuilles sur la tige des plantes, ou des écailles dans la pomme de pin, ou d'une fleur de tournesol. La présence de la suite de Fibonacci pour ce type de croissance pourrait en effet expliquer ce phénomène.
En revanche, contrairement à une croyance encore tenace, on ne la trouve absolument pas dans la coquille du nautile. En effet, si la spirale du nautile semble bien de forme logarithmique (ce qui se conçoit bien comme première approximation d'une croissance), le rapport est en revanche "seulement" de 1,3 ce qui est bien trop éloigné du nombre d'or. De plus, aucun raisonnement scientifique ne permet jusqu'à présent de prouver ou justifier la présence du nombre d'or.
Certains pensent le découvrir dans la spirale d'ADN, dans la forme d'un œuf, dans les quasi-cristaux … Vaste domaine de recherche.
Nombres d’or en astronomie
En astronomie, on appelle nombre d’or, le rang d’une année dans le cycle de Méton qui comporte 19 années et permet de faire coïncider à quelques heures près cycles lunaires et cycles solaires. Il existe alors 19 nombres d’or (de 1 à 19) et chaque année possède son nombre d’or. Mais ces nombres d’or n’ont aucun rapport avec le nombre φ étudié précédemment.
On le calcule ainsi :
diviser l’année par 19 (par exemple pour 2007, 2007 / 19 ≈ 105,6 que l’on tronque à 105) ;
prendre le reste de la division précédente (105 × 19 = 1995 au lieu de 2007, il reste donc 12 années) ;
ajouter 1 (12 + 1 = 13) : l’année 2007 a donc pour nombre d’or 13.
Cette règle restera valable tant que le cycle métonique de 19 ans (légèrement trop long d’un peu moins d’une heure et demie) ne sera pas corrigé pour tenir compte de l’avance de ce cycle de près d’un jour au bout d’un peu plus de 16 cycles (soit 310 ans selon les observations actuelles du cycle lunaire). Certains ont proposé de ne pas toucher à ce cycle métonique traditionnel ou au calcul du nombre d’or lui-même, mais d’introduire plutôt un autre cycle apportant les jours supplémentaires de correction des lunaisons à appliquer à un ensemble donné de 16 cycles ; d'autres défendent la modification de la formule du nombre d’or.
Voir aussi le calendrier lunaire perpétuel ou le calcul de la date de Pâques pour connaître son contexte.
Le Cycle de Méton, découvert par l'astronome du même nom, a été révélé en 453 av. J.-C. lors des Jeux Olympiques, et les Athéniens, conscients de l'importance d'une telle découverte pour améliorer le calendrier de l'époque, ont fait graver ce cycle en lettres d'or sur un temple dédié à Minerve. C'est de là que vient l'expression nombre d'or pour désigner le rang d'une année dans le cycle de Méton, et par extension, le cycle lui-même
source WIKIPEDIA : [url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_d'or[/url]
ça fait rêver non ?
un nombre qui déterminerait la beauté, l'harmonie....
je vous laisse méditer la dessus !
Le nombre d'or dans l'art : mythe ou réalité ?
Les débuts du nombre d’or
Le parthénon et la divine proportion Euclide l'appelle la proportion de moyenne et extrême raison. On peut considérer que les Pythagoriciens en font indirectement un symbole de leur secte en prenant pour emblème la figure géométrique qui lui est associée : le pentacle. Léonard de Pise le retrouve dans les suites qui portent son nom. Le moine mathématicien italien Luca Pacioli lui consacre un livre intitulé De divina proportione rédigé en 1498 avec la collaboration de Léonard de Vinci pour les figures. Johannes Kepler dit de lui
« La géométrie a deux grands trésors : l'un est le théorème de Pythagore ; l'autre la division d'un segment en moyenne et extrême raison. Le premier, nous pouvons le comparer à une mesure de l'or ; le second nous pouvons l'appeler un précieux bijou. »
La "découverte" de sa présence presque parfaite dans le Parthénon construit par Phidias fait qu'on lui attribue la lettre φ comme nom. Cette proportion souvent considérée comme esthétique est étudiée ensuite par Charles Henry et Georges Seurat. Une exposition, "la section d'or", lui est consacrée en 1912.
La contribution de Ghyka
Vers 1930, le Roumain Matila Ghyka voit le nombre d'or partout : les spirales des coquillages, la disposition des feuilles des plantes, le nombre de pétales… mais aussi l'architecture ou la peinture. C'est lui qui popularise cette notion que les rectangles construits à partir du nombre d'or sont attrayants visuellement. Ghyka trouve en effet des approximations de φ par exemple dans des tableaux comme la Joconde.
Des travaux critiqués
Ses mesures seraient approximatives. Il semble qu’il ne trouve qu’environ 1,6.
Ses résultats sont trop souvent complexes. Selon ses détracteurs, il faut décortiquer dans tous les sens un portrait pour y trouver lesdites valeurs. Selon ses partisans, le nombre de ses découvertes dans une seule œuvre excuse la difficulté que l’on peut avoir à les retrouver.
Certains poussent le raisonnement jusqu’à dire que ses résultats n’ont rien à voir avec une décomposition normale d’un tableau ou d’un monument.
L'exemple du Parthénon, très populaire, serait ainsi biaisé : pour obtenir un vrai rectangle d'or, on ne prend pas la façade, mais la façade plus quelques marches pour avoir la bonne hauteur et donc le bon rapport ! De plus, pour les mesures effectuées avec le chapiteau, les détracteurs soulignent le fait que celui-ci étant écroulé, on n’en connaît pas la hauteur originale, ce à quoi les partisans répondent que prolonger sur un plan les droites formées par les morceaux restants suffit.
L’exemple de la Grande Pyramide se baserait sur un récit d’Hérodote (d'après l'abbé Moreux), mais quand on examine le texte en question on se rend compte qu'il ne comporte aucun détail mathématique de ce genre.
Le personnage de Saint-Jérôme est-il judicieusement encadré par un rectangle d’or ?L’exemple également assez répandu de Saint-Jérôme (détail du tableau éponyme de Léonard de Vinci) ne prouverait rien : le personnage est si mal encadré par le rectangle d’or (noté ici en bleu) que son bras droit n’y est pas inclus entièrement, prouvant ainsi malgré ses partisans que le nombre d’or n'a pas été utilisé par le peintre. Les partisans considèrent au contraire que la partie majeure du corps est bien enserrée dans le rectangle et que le bras compte bien moins que la masse formée par le corps accroupi.
Nous pourrions ainsi multiplier les exemples, avec arguments et contre-arguments à l’appui.
Ghyka travaillait sur des copies en noir et blanc des œuvres. Or un tableau, un monument, c'est bien plus qu'une construction géométrique. Ce sont des couleurs, des matières… L'attrait des spectateurs pour telle œuvre a probablement d’autres explications que l'existence prouvée ou non de rapports géométriques.
Au-delà de la méthode
Le lecteur est alors en droit de se demander ce qu’il adviendrait si les résultats étaient exacts et se rapportaient à des découpages cohérents et reconnus des œuvres étudiées. Plusieurs pistes tendent à montrer que cela ne prouverait rien quand même.
Une des études statistiques les plus connues est celle du philosophe allemand Gustav Fechner, réalisée en 1876. Il se base sur des formes élémentaires et recherche dans les croix du commerce (bijoux) ou religieuses (crucifix et croix tombales) les proportions les plus courantes. Il en présente à un grand nombre de personnes plusieurs modèles et leur demande de choisir celle qui à leurs yeux est la plus esthétique. La croix considérée comme la plus esthétique est celle de Saint-André.
La seconde expérience réalisée par Fechner porte sur différents rectangles. Sa procédure consiste à présenter à un sujet une série de dix rectangles dont les rapports hauteur/largeur varient entre 1 et 0,4. Le sujet doit ensuite choisir la figure qui lui paraît la plus esthétique. Environ 76 % des choix sont centrés sur des rectangles dont les rapports sont 0,57 ; 0,62 et 0,67. Les autres figures reçoivent moins de 10 % chacune.
Ces considérations ne peuvent donner une réponse absolue quant à la présence du nombre d’or en esthétique. Mais les résultats obtenus vont néanmoins dans le sens de la "divine proportion". Malgré cela, les choix de Fechner sont relativement limités et l’ordre de présentation des rectangles joue un rôle important sur le choix des sondés.
Un test réalisé par George Markowsky met en œuvre 48 rectangles de proportions différentes (entre 0,4 et 2,5). La hauteur de ces figures est fixe, seule la largeur varie. Les rectangles sont tout d’abord présentés sous forme de matrice 6×8 et organisés de manière aléatoire. Il en ressort que la plupart des gens sont incapables de trouver le rectangle d’or dans ces conditions. Les figures sont ensuite ordonnées selon leur largeur dans l’ordre croissant. Il se trouve que dans cette configuration, les choix sont relativement différents par rapport au cas précédent. Dans cette expérience, le rectangle le plus souvent nominé est celui dont le rapport est de 1,83. Ce test semble prouver que le rectangle d’or n’est pas celui qui nous paraît le plus esthétique.
Autres contributions
Le mathématicien H.E. Huntley publie en 1970 The Divine Proportion. A Study in Mathematical Beauty où il expose toutes les situations où l'on peut rencontrer le nombre d'or. Il semble parfaitement fasciné par ce nombre, même quand il manipule ses pures propriétés algébriques et trigonométriques, d'une manière un peu embrouillée d'ailleurs car il conserve à la fois , son inverse, la seconde racine de l'équation de base et .
En 1995, l'historienne d'art Marguerite Neveux démonte toutes les études précédentes qui prenaient parti pour le nombre d'or, dans son ouvrage Nombre d'or - radiographie d'un mythe, fruit de 10 ans de recherches.
Rudolf Wittkower est également de son avis, et dit notamment qu'« il est probablement exact de dire qu'aucun architecte de la Renaissance n'a usé des proportions irrationnelles ». Pierre Gros dans ses études sur Vitruve montre du reste que ce dernier se sert très peu des nombres irrationnels, et uniquement de . Il ne faut pas oublier que pour les Pythagoriciens la découverte de l'existence des nombres irrationnels fut un choc, parce que toute leur théorie de l'adéquation du monde aux nombres entiers ou aux rapports de tels nombres volait en éclats. Cette méfiance s'est semble-t-il perpétuée jusqu'à la Renaissance.
Enfin, on ne compte plus les revues, magazines, livres, sites personnels… parus pour réaffirmer la véracité du mythe, et dans une moindre mesure, ceux édités pour en étudier l’authenticité d’un point de vue bien plus critique. Il reste à noter que bien souvent, l’argumentation des sources trop peu sérieuses est trop mince et affirme par exemple couramment sans démonstration que le nombre d’or a été trouvé dans un temple de la mer des Bahamas, dans la Grande Pyramide, dans les cathédrales, dans les tableaux de Léonard de Vinci.
Bref, l'utilisation consciente ou inconsciente dans l’art du nombre d'or reste un sujet hautement polémique.
Nombre d'or et architecture
Le nombre d'or dans un tracé régulateurQuoi qu'on puisse penser de l'intérêt réel du nombre d'or en tant que tel en matière d'esthétique, il est clair qu'un consensus entre les architectes sur une proportion ou une autre — et donc pourquoi pas celle-là — ne pouvait que donner à un ensemble de bâtiments ayant des concepteurs différents un début d'harmonie commune. En ce sens, son rôle principal aurait concerné des questions d'urbanisme plus que d'architecture.
Toutefois, l'intérêt architectural de ce nombre est, que si vous ajoutez, ou bien soustrayez, un carré à un rectangle au nombre d'or, vous retrouvez un rectangle au nombre d'or, ce qui simplifie le travail pour composer une façade suivant des tracés régulateurs. De plus, cette relation complémentaire entre le carré et le rectangle d'or donne une impression de grande stabilité visuelle. Cependant, Marguerite Neveux rejette de tels hypothétiques tracés régulateurs.
L'architecte et urbaniste Le Corbusier lui consacre un essai en créant le Modulor. Il baptise ainsi ce système qu'il rêve de substituer au système métrique et qu'il utilisera dorénavant dans tous ses projets, comme la Cité radieuse de Marseille. C'est de très loin l'utilisation la plus clairement établie du nombre d'or, puisque Le Corbusier en a parlé sans ambiguïté.
Nombre d'or dans la nature
Certains affirment observer le nombre d'or dans l'implantation des feuilles sur la tige des plantes, ou des écailles dans la pomme de pin, ou d'une fleur de tournesol. La présence de la suite de Fibonacci pour ce type de croissance pourrait en effet expliquer ce phénomène.
En revanche, contrairement à une croyance encore tenace, on ne la trouve absolument pas dans la coquille du nautile. En effet, si la spirale du nautile semble bien de forme logarithmique (ce qui se conçoit bien comme première approximation d'une croissance), le rapport est en revanche "seulement" de 1,3 ce qui est bien trop éloigné du nombre d'or. De plus, aucun raisonnement scientifique ne permet jusqu'à présent de prouver ou justifier la présence du nombre d'or.
Certains pensent le découvrir dans la spirale d'ADN, dans la forme d'un œuf, dans les quasi-cristaux … Vaste domaine de recherche.
Nombres d’or en astronomie
En astronomie, on appelle nombre d’or, le rang d’une année dans le cycle de Méton qui comporte 19 années et permet de faire coïncider à quelques heures près cycles lunaires et cycles solaires. Il existe alors 19 nombres d’or (de 1 à 19) et chaque année possède son nombre d’or. Mais ces nombres d’or n’ont aucun rapport avec le nombre φ étudié précédemment.
On le calcule ainsi :
diviser l’année par 19 (par exemple pour 2007, 2007 / 19 ≈ 105,6 que l’on tronque à 105) ;
prendre le reste de la division précédente (105 × 19 = 1995 au lieu de 2007, il reste donc 12 années) ;
ajouter 1 (12 + 1 = 13) : l’année 2007 a donc pour nombre d’or 13.
Cette règle restera valable tant que le cycle métonique de 19 ans (légèrement trop long d’un peu moins d’une heure et demie) ne sera pas corrigé pour tenir compte de l’avance de ce cycle de près d’un jour au bout d’un peu plus de 16 cycles (soit 310 ans selon les observations actuelles du cycle lunaire). Certains ont proposé de ne pas toucher à ce cycle métonique traditionnel ou au calcul du nombre d’or lui-même, mais d’introduire plutôt un autre cycle apportant les jours supplémentaires de correction des lunaisons à appliquer à un ensemble donné de 16 cycles ; d'autres défendent la modification de la formule du nombre d’or.
Voir aussi le calendrier lunaire perpétuel ou le calcul de la date de Pâques pour connaître son contexte.
Le Cycle de Méton, découvert par l'astronome du même nom, a été révélé en 453 av. J.-C. lors des Jeux Olympiques, et les Athéniens, conscients de l'importance d'une telle découverte pour améliorer le calendrier de l'époque, ont fait graver ce cycle en lettres d'or sur un temple dédié à Minerve. C'est de là que vient l'expression nombre d'or pour désigner le rang d'une année dans le cycle de Méton, et par extension, le cycle lui-même
source WIKIPEDIA : [url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_d'or[/url]
ça fait rêver non ?
un nombre qui déterminerait la beauté, l'harmonie....
je vous laisse méditer la dessus !
Re: portrait
je ne cherche pas à te couper en 2 sab c'est pas mon but.. je préfère te dire ce qui me choque, me perturbe etc*.. plutot que de te laisser dans l'erreur, ou d'avoir le regret de ne t'avoir rien dit..
Re: portrait
ben alors pilou, t'as mangé de l'encyclopédie ce week end ? je comprends mieux pourquoi t'as autant bu :D
(tu veux pas nous mettre tout ça dans les clles, de mon coté je fais des recherches sur l'équilibrage des compos ....)
(tu veux pas nous mettre tout ça dans les clles, de mon coté je fais des recherches sur l'équilibrage des compos ....)
Re: portrait
je ne crois pas qu'un nombre puisse définir la beauté , alors que la beauté elle-même est différente aux yeux de chacun et qu'elle n'a pas de critères particuliers mais bon je vais méditer
Re: portrait
merci aubemort je suis très profonde comme fille
mais je suis toujours entrain d'essayer de m'éditer
sinon j'ai essayé d'arranger un peu mon dernier post et voilà
mais je suis toujours entrain d'essayer de m'éditer
sinon j'ai essayé d'arranger un peu mon dernier post et voilà
Re: portrait
J'aime pas trop le fait d'avoir fait un fond uni
On dirait qu'il a une oréol autour d'elle et elle fait bien pâle au milieu de ce néant ^^ une dernière chose, l'avant-bras qui tient le chapeau est trop long et puis MON DIEU ! qu'est c'est qui est arrivé a son bras gauche ? elle est tombé d'un toit ou elle se l'ait fait broyer dans un accident ?! ou aloors elle est pas humaine et elle a 3 articulation XD c'est quoi l'os entre l'épaule et le bras ^^
On dirait qu'il a une oréol autour d'elle et elle fait bien pâle au milieu de ce néant ^^ une dernière chose, l'avant-bras qui tient le chapeau est trop long et puis MON DIEU ! qu'est c'est qui est arrivé a son bras gauche ? elle est tombé d'un toit ou elle se l'ait fait broyer dans un accident ?! ou aloors elle est pas humaine et elle a 3 articulation XD c'est quoi l'os entre l'épaule et le bras ^^
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