Voici le sujet de ce premier concours de lettres :



laissez votre imagination vous dépasser..

restrictions :

15 lignes maxi pour ce sujet

orthographe indispensable (veuillez vous relire avant de poster votre texte)

bon courage

je pense bien participer.

n'oubli pas de poster !!

et les autres ?? personne ne se tente à l'écriture ?? ne laissez pas un administrateur gagner par forfait !! allez mettez vous à vos claviers !!!!!

Je participerai surement au prochain sujet mais celui ne m'inspire rien

le prochain va être plus dur !! c'est moi qui lance le prochain sujet.. essaye de faire celui là ca sera un bon exercice pour le suivant..

Ok je vais voir ce que je fais !!!

Euh petit rappel.. Le concours se terminait le 01 septembre 2006.. personne n'a posté..

Pensez vous poster, et je reconduit le concours pendant quelques jours ou dois-je clore ce concours ?

v2R, attend un peu, je vais essayez de faire un truc, mais c'est pas marrant si personne participe, mais bon, tant pis...Je me lance!

je vais le tenter aussi
decale la date de cloture


a 2 on est sur d'etre sur le podium :D

ok concours lancé pour un temps indéterminé..

au palmarès :

depaz,
chewbacca,
winterG,
5top

qui vient les faire souffrir ? au plus vous êtes à concourir, au plus ils auront du mal à se hisser sur le podium..

bon je sais pas où foutre mon scénar, et je viens de me rendre compte que j'ai largement dépasser les 15 lignes, mais bon je le refait pas...
J'attend de savoir où le poster avant de le mettre.

ici à la suite c'est bien non ? au pire on le déplacera après ...

Mi-ange mi-démon


Un homme traverse un parc sombre, il rentre chez lui. Il pense à toutes les femmes mariées qu’il a conquise, il en est fier, trente-deux, trente-deux en trois ans, tout ça au nez et à la barbe de sa femme, et des nombreux maris de ses amantes. Il sort justement d’un rencard, très sportif, la nuit est déjà bien avancée, et le parc est totalement vide, les arbres dessinent des ombres terrifiantes à la lueur blafarde des lampadaires, tout est silencieux. L’homme avance insouciant, encore dans l’euphorie de l’acte. Entre les arbres, une forme sombre suit le promeneur inconscient. Alors que l’homme passe dans une allée particulièrement peu rassurante, une voix se fait entendre derrière lui, la voix d’un homme furieux, tremblante de rage :
« Arrêtes-toi enfoiré ! » L’homme se retourne, doucement, stoppé dans son élan, toutes les histoires de cadavres retrouvés dans des parcs identiques, défigurés, abusés sexuellement. Cette idée le fit frissonner, il n’était pas prêt à mourir, surtout pas comme ça…
L’homme qu’il vit n’avait pas l’air bien vieux, et sa tête lui disait vaguement quelque chose, il l’avait déjà vu. L’agresseur en lui-même n’était pas très effrayant, par contre le neuf millimètres qu’il pointait sur l’était autrement plus. L’agresseur parla d’une voix qu’il essayait, en vain, de garder posée :
-Tu ne me reconnais pas ?
-Non, répondit simplement l’homme, tétanisé par l’arme.
-Tu devrais pourtant, tu as sûrement dû me voir sur les photos qui se trouvaient sur la table de chevet de ma femme, pendant que tu te la tapais !
Et l’homme se souvint, l’année précédente, il se rappelais très bien le moment où il était entré dans la chambre de cette femme, partout des photos de son mari avec elle ou seul, ça l’avait un peu déstabilisé pendant l’acte, croiser le regard d’un autre homme quand on fait l’amour est une sensation désagréable. Le cocu continua :
-Pour ton information, après ton passage, elle a divorcé, emportant non seulement mes gosses, mais aussi tout mon fric, j’ai plus rien. La seule chose qui m’a fait tenir, c’est ma volonté de te retrouver et de te buter, t’es le salaud qui a ruiné ma vie !
-Ecoutez, je suis sincèrement désolé, si j’avais su que ça aurait ces conséquences, je n’aurais jamais approché votre femme ! Mais pitié, ne me tuer pas pour ça, j’ai une famille moi aussi, des enfants, une femme. Ils ont besoin de moi !
-Et moi alors ? J’en ai rien à foutre de tes mômes et de ta grognasse ! Elle apprendra ton décès dans le journal de demain, si on te retrouve assez tôt… Maintenant prépares-toi à mourir !
L’homme ferme les yeux, il se recroqueville prêt à encaisser le choc de la balle… Il entend le coup de feu, et attend l’impact… Qui ne vient pas ! Alors, doucement, il ouvre les yeux, et là, à quelques mètres, le corps de l’agresseur gît dans une marre de sang, il tient toujours son arme à feu dans une main. Alors de l’ombre sort un deuxième homme, un peu plus grand, plus fatigué physiquement aussi, et plus vieux de quelques années. L’homme se sent de nouveau respirer, il interpelle son sauveur :
-Merci pour tout monsieur ! Vous m’avez sauvé la vie !
L’homme armé regarde le cadavre, il pense à voix haute :
-Pauvre garçon, il avait choisit la mauvaise nuit…
-Pardon ? S’exclame la victime.
-Mon histoire n’est pas vraiment différente de la sienne, et j’avais également décidé de tuer celui pour qui ma femme s’est suicidée… Dit l’autre à son interlocuteur.
-Euh… C’est une blague ? dit l’homme, hésitant.
-Mon visage ne te rappelle rien ? Dit le tueur, en pointant son arme vers l’amant.

Et alors, l'homme se souvint…


bon ben voilà, comme dit plus haut ça fait largemant plus que quinze lignes, mais j'étais inspiré, et je trouve que ça peut rentrer dans la thématique, enfin c'est mon avis personnel...

très bien ! j'avais fait un texte quasi identique mais pas sur le cocufiage.. surtout sur le meurtre..

Désolé v2R, promis j'ai pas copié, mais moi ça m'a quasiment fait tilt quand j'ai lu le titre, alors forcément j'aillais pas mettre autre choses...

waaaa! j'adore!
c'etait vraiment une bonne idée comme fin! la on s'attend vraiment a ce que tout les maris arrivent les uns apres les autres! c'est top!
bravo!

je déclare chewbacca vainqueur du concours texte..