oh que oui !!!! mais tu as un réel talent pour les mots je trouve ....

j'ai vu .... merci pour le compliment

En voilà un qui a aussi flashé sur le Fauteuil... c'est aussi à travers lui que j'ai succombé au charme des dessins de Dame Beulette! ;)
Mais attention jeune homme.... si tu commendes tes faire-part chez elle, je ss avant toi sur la liste! ;)

Ah ouais...... le fauteuil..... celui ou qu'à une fille avec une patte de poulet!!
Laisse moi quelques jours L'Errant pour le concour..... je participe!

ben c'est a croire que tout le monde aime le poulet : )

youpiiiiii! rack va écrire !!!!

nan c'est pas fait exprès .... et c'est rack qui a commencé a délirer sur la patte de poulet lol

Exactement!

pffff ... dis le rack que tu étais vexé devant l'ombrage et la lumière !!!!

J'ai pas oublié hein? laissez moi jusqu'à la fin des fêtes pour cloturerle concours siouplé!!

pas de limite de temps.. laissons les esprits travailler en paix.. ne les stressons pas.. tu as tout le temps qu'il te faut..

LUMIERE

« Ne pleures pas p’tit gars, je dois partir maintenant ! »
Il observait ce petit bonhomme qui le regardait avec tristesse. Il n’était pas son fils, mais c’était tout comme.
C’est au cours d’une de ces « mise en scène pour le grand départ » qu’il l’avait croisé recroquevillé sur lui-même, dans un recoin où nul ne lui portait attention. Il avait finalement trouvé une échappatoire à ce génocide qu’on faisait subir à son peuple …… survivre par les yeux de ce petit bonhomme.
« J’aimerai tellement venir avec toi tu sais, j’ai beaucoup peur quand je suis tout seul, et après je vais beaucoup pleuré.
- Tu sais bien qu’ils ne font partir que « les mâles adultes » comme ils disent, je ne peux pas t’emmener avec moi.
- S’il te plait, je serais sage tu sais.
Cette conversation lui tordait les entrailles, il ne pouvait décemment pas lui dire que la prochaine simulation serait certainement la dernière. Il l’avait compris car d’habitude, ils les faisaient rentrer dans cette fosse avec leurs vêtements, enchevêtrés les uns sur les autres. Et quand l’humiliation de la situation apportait assez de satisfaction à leurs geôliers, ils les faisaient ressortir en file indienne. Cette fois-ci, c’était différent, on leur avait sommé de se dévêtir avant de descendre.
« Ecoutes fiston, écoute moi bien », le petit bonhomme se tenait là, dressé fièrement devant lui, écoutant les derniers conseils de celui qui lui était si cher, « Caches-toi, ne sors que quand tu n’as pas le choix, et surtout, évites cette maudite fosse, elle ne nous apporte que le malheur d’un grand départ sans jamais de retour ».
Il terminait tout juste sa phase que déjà il se faisait emporter par le flot humain qui avançait vers cette sordide destinée.
Il tenta de crier un dernier « Adieu » à ce fragile petit être, mais un de ses gardiens le rappela vite à l’ordre : « Hé, hé, hé, tu lui as dis à ton fiston que c’est le prochain sur la liste ? »
La colère monta en lui, mais comme les autres fois, il ne dit rien, que pouvait-il y faire, certains peuples naissent opprimés.
Son maton rajouta : »
- Je te demanderai bien de me raconter ce qu’il y a dans la lumière au bout du tunnel, mais j’ai bien peur que tu ne puisses jamais m’en reparler. »
Ce fût les derniers mots qu’il entendît de sa part.
Ils étaient tous nus comme des vers, entassés sans état d’âmes dans cette fosse. Dans la pénombre, il entendait chuchoter les craintes des autres, qui commençaient déjà à être écrasés à ne plus pouvoir respirer. Il perdît peu à peu sa lucidité, il avait du mal à analyser combien ils pouvaient être là- dedans…… Des centaines….. Des milliers….. Peut-être plus !
La pression devenait de plus en plus insupportable, lorsqu’elle cessa complètement. Il eu soudain la sensation d’être attiré à toute vitesse dans un long tunnel sombre. Il ne discernait qu’un petit point lumineux au loin, qui grandissait au fur et à mesure qu’il avançait. La lumière grandissante clignotait étrangement à intervalles réguliers. Il regarda autour de lui et s’aperçut qu’il n’était pas seul à remonter ce tunnel interminable. Tout près de lui, accompagnant son ascension, un de ses semblables lui dit avec un sourire d’encouragement :
« Tu te souviens hein ? Le premier qui rentre dans l’ovule a gagné !!! ».

Heu... je suis nulle part! hem.... vraiment vraiment.. j'avais même oublié! sorry.... là ça va être juste non? il reste combien de temps? je bosse sur mon image de noel d'avant... dc...


Rack rack rack.... tssss... ;) j'adore! :D non mais.... encore un peu et j'avais la larme qui coullait.... lol. bien vu! bien tourné tout ça! bravo!

(moi ? écrire ? nan nan ...)

Bon, je viens de faire ça vite fait.... il doit y avoir quelques erreurs de textes, d'ortho etc.... veuillez m'en excuser... mais j'ai commencé et ... j'ai continué.... le thème me plait... enfin, la manière dont je l'ai interpreté! ;)

"Elle était là comme tous les matins.
Gracieuse au réveil, les bras tendus vers le ciel comme pour saluer cet astre qui brille sur nos terres.
Son retour avait été salué de tous, béni des plus vieux, fêté par les plus jeunes. Son voyage avait duré plus longtemps que prévu… six mois… six longs mois sans sa présence… sans la chaleur de son sourire, la douceur de ses caresses dans les cheveux des enfants.
Depuis sont plus jeune âge elle avait la vocation de rendre les gens du village heureux. Elle saluait chacun, embrassait chacune. Jouait avec les enfants, et leur faisait réciter leurs leçons.
Elle vivait tout en haut de la colline. Si haut que peu avaient pu s’y rendre.
Son absence avait laissé place à nombres désolations. La veille pensante du village était morte peu de temps après son départ. Trois mois pour être exacte. Les plus jeunes ne révisaient plus leurs leçons et ne savaient plus aider leurs parents à lire les mots envoyés par les maîtres des terres. Les plus belles fleurs avaient perdu leurs couleurs, et doucement perdaient leurs pétales.

Pourtant…. Quelqu’un parlait encore de son retour. Il était le seul, mais son cœur y croyait pour trente !
Lui, était berger. Amoureux de la belle depuis sa plus tendre enfance. Elle avait fait naître en lui les plus beaux rêves. Elle avait été présente à chacune de ses réussites. Elle avait partagé ses joies, et ses peines. Et il savait que même le jour de sa mort elle serait là, pour rendre un sourire à ses proches afin qu’ils ne soient pas malheureux. Elle resterait là, derrière la fenêtre, le regardant partir…. Sans un mot dire…. Elle lui enverrait son plus doux baiser en lui disant un dernier adieu.

Ils le savaient… un jour, elle repartirait… et plus tard reviendrait…. Elle ne tenait pas en place, c’était son plus gros défaut ! elle avait continuellement besoin de bouger, de danser, de chanter, de rencontrer de nouvelles têtes, de retrouver ses amis, de leur dire bonjour… ou adieu quand ceux-ci rejoignaient les cieux.
Elle savait qu’elle manquait aux gens, qu’ils étaient tristes sans elle, qu’ils avaient froid dans leur cœur. Mais elle avait une autre destinée, celle d’éclairer la terre entière, en donnant à chacun un peu de lumière…"


J'avais envie de mettre ça ds mon histoire commencée la semaine dernière entre Ciel et Terre. vs en pensez quoi? y a moyen hein!


Soyez indulgent! pitié!

(héhé...20 lignes sans compter! :P)

Je suis pas indulgent et j'ai pas de pitié, donc je vais livrer mes pensées comme elles viennent ( comme d'hab quoi!).
J'aime bien ton texte, fidèle à toi même.
J'aime bien ce nouveau concours "écrits".
J'aime bien la façon bien personnelle qu'a chacun de développer un texte avec un thème identique.
J'aime pas les quenelles!
J'aime pas la foule!
J'aime pas............

le retour de :smurf: grogon !!