Ceci est une prévisualisation d'un thème de Hitskin.com
Installer le thème • Retourner sur la fiche du thème
Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
+5
v2
beulette
L'errant
Rackaël
Mélusine
9 participants
Page 1 sur 6
Page 1 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
28septembre2004...
"Lettre à vous
Ne m’en veillez pas, de partir comme ça
Mais j’ai grand besoin, qu’on me tienne la main
Surtout craignez rien, car je reviens dès demain
C’est le cœur lourd et les poings serrés
Que je vous regarde sans me retourner
Et les yeux fermés je peux m’imaginer être aimée
Voilà un an déjà que je ne suis plus là
Et je vous revois m’attendant ce temps là.
Vous avez le cœur lourd, et les poings serrés car vous m’aimiez tant
Veillez m’excuser, de m’être ainsi allée
Mais j’avais grand besoin, que l’on me tienne la main
Aujourd’hui me voilà, depuis un an déjà, je suis si seule
À l’aube de ma plume je vous écris ces mots
À l’encre de mes larmes je vous envois mes mots
Mais je vous aimais tant, je ne le savais pas pardonnez-moi
Et c’est le cœur serré que je pense à vous
Vous m’attendiez ce temps là sans que je pense à vous
Et maintenant voilà, je veux me retourner, je suis figée
Je n’ose plus y croire mais je veux y croire
Juste une fois vous voir sans aucun désespoir
Que je vous ai causé car je vous ai lâchement abandonné
Je vous attends sagement sur mon nuage blanc
Je vous vois souriant avec un cœur d’enfant
Et nous nous en irons au-delà de nos mots vers l’espoir
Vers l’espoir."
Ce texte a un double titre: le second: "Chant d'après mort"
(non! le suicide ne fait pas partie de mes projets! ;) )
"Lettre à vous
Ne m’en veillez pas, de partir comme ça
Mais j’ai grand besoin, qu’on me tienne la main
Surtout craignez rien, car je reviens dès demain
C’est le cœur lourd et les poings serrés
Que je vous regarde sans me retourner
Et les yeux fermés je peux m’imaginer être aimée
Voilà un an déjà que je ne suis plus là
Et je vous revois m’attendant ce temps là.
Vous avez le cœur lourd, et les poings serrés car vous m’aimiez tant
Veillez m’excuser, de m’être ainsi allée
Mais j’avais grand besoin, que l’on me tienne la main
Aujourd’hui me voilà, depuis un an déjà, je suis si seule
À l’aube de ma plume je vous écris ces mots
À l’encre de mes larmes je vous envois mes mots
Mais je vous aimais tant, je ne le savais pas pardonnez-moi
Et c’est le cœur serré que je pense à vous
Vous m’attendiez ce temps là sans que je pense à vous
Et maintenant voilà, je veux me retourner, je suis figée
Je n’ose plus y croire mais je veux y croire
Juste une fois vous voir sans aucun désespoir
Que je vous ai causé car je vous ai lâchement abandonné
Je vous attends sagement sur mon nuage blanc
Je vous vois souriant avec un cœur d’enfant
Et nous nous en irons au-delà de nos mots vers l’espoir
Vers l’espoir."
Ce texte a un double titre: le second: "Chant d'après mort"
(non! le suicide ne fait pas partie de mes projets! ;) )
Dernière édition par le Sam 10 Fév 2007, 01:21, édité 1 fois
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Voilà Rack, tu as la preuve que j'ai perdu l'univers disney! ;)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
J'ai eu ma période ou j'écrivais presque chaque soir... sur le moment je me disais: ouai.. pas mal...
Avec le recul... je trouve ça limite "nul"... :)
Avec le recul... je trouve ça limite "nul"... :)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
7novembre2004
"Croqueuse d’homme
C’est une croqueuse d’homme un rien rêveuse,
Elle croque du regard et ne laisse rien au hasard ;
Elle regarde sous ses cheveux ces êtres merveilleux,
Qui font battre sont cœur et l’emplissent de bonheur ;
Elle croque sans « S » un être de son espèce,
Elle n’a pas un grand roi mais un être de choix ;
Elle couve du regard pour combler les retards,
Elle croque du sourire quelqu’un qui la fait rire ;
Croqueuse sans croquer, c’est elle qui est croquée,
Magicienne sans pouvoir elle attend de le voir ;
Pour lui lancer un sort afin qu’il l’aime sans remord,
Pour le prendre contre son cœur et qu’ils connaissent le bonheur."
"Croqueuse d’homme
C’est une croqueuse d’homme un rien rêveuse,
Elle croque du regard et ne laisse rien au hasard ;
Elle regarde sous ses cheveux ces êtres merveilleux,
Qui font battre sont cœur et l’emplissent de bonheur ;
Elle croque sans « S » un être de son espèce,
Elle n’a pas un grand roi mais un être de choix ;
Elle couve du regard pour combler les retards,
Elle croque du sourire quelqu’un qui la fait rire ;
Croqueuse sans croquer, c’est elle qui est croquée,
Magicienne sans pouvoir elle attend de le voir ;
Pour lui lancer un sort afin qu’il l’aime sans remord,
Pour le prendre contre son cœur et qu’ils connaissent le bonheur."
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Celui là, j'y suis très attachée... grande sentimentale! ;) c'était un msg perso... et maintenant que ça a dépassé le stade du poème pour laisser place à la réalité... je l'aime encore plus! :)
Pour vous il ne veut peut être absolument rien dire... mais pour moi, il représente bcp! C'est ça aussi qui fait le plaisir d'un texte... de soi, ou d'un autre... ce qu'il nous dit...
Pour vous il ne veut peut être absolument rien dire... mais pour moi, il représente bcp! C'est ça aussi qui fait le plaisir d'un texte... de soi, ou d'un autre... ce qu'il nous dit...
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
5octobre2004
"L’homme
Il fait si froid dans son cœur
Le feu qui y brûle s’est éteint.
Le vent soufflait, et l’homme passait,
Le vent soufflait sa flamme s’est éteinte.
Il passait et repassait
Cherchant une belle dame
A prendre par le bras
Mais il ne la trouvait pas
Il a perdu tout espoir
Quand un autre le bouscula
Et il ne s’excusa
Même pas.
C’est à ce moment là,
qu’il s’aperçu malgré lui
Que l’homme est tristement noir
Et qu’il ne connaît pas l’espoir.
Sa flamme s’est éteinte ce soir là,
Il ne voyait plus rien au-delà
Il ne vivait plus bien
Il n’avait plus envie de rien
Elle avait froid dans sa vie
Elle avait froid dans son cœur
Portant à sa bouche ses doigts gelés
Elle se réchauffait comme elle pouvait
Le feu qui brûle dans son cœur
Est bien plus fort chaque jour.
Elle connaît encore l’espoir
Et se bat contre le désespoir.
Le vent soufflait dans la rue
Elle resserrait son manteau
Tentant de trouver quelqu’un
Pour lui tenir le bras.
Elle s’avança vers cet homme
Qui lui jeta un regard noir
C’est à ce moment là
Qu’elle s’aperçu tout bas
Que l’homme est noir
Et sans espoir"
"L’homme
Il fait si froid dans son cœur
Le feu qui y brûle s’est éteint.
Le vent soufflait, et l’homme passait,
Le vent soufflait sa flamme s’est éteinte.
Il passait et repassait
Cherchant une belle dame
A prendre par le bras
Mais il ne la trouvait pas
Il a perdu tout espoir
Quand un autre le bouscula
Et il ne s’excusa
Même pas.
C’est à ce moment là,
qu’il s’aperçu malgré lui
Que l’homme est tristement noir
Et qu’il ne connaît pas l’espoir.
Sa flamme s’est éteinte ce soir là,
Il ne voyait plus rien au-delà
Il ne vivait plus bien
Il n’avait plus envie de rien
Elle avait froid dans sa vie
Elle avait froid dans son cœur
Portant à sa bouche ses doigts gelés
Elle se réchauffait comme elle pouvait
Le feu qui brûle dans son cœur
Est bien plus fort chaque jour.
Elle connaît encore l’espoir
Et se bat contre le désespoir.
Le vent soufflait dans la rue
Elle resserrait son manteau
Tentant de trouver quelqu’un
Pour lui tenir le bras.
Elle s’avança vers cet homme
Qui lui jeta un regard noir
C’est à ce moment là
Qu’elle s’aperçu tout bas
Que l’homme est noir
Et sans espoir"
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Tu en veux encore Rack? ou c'est assez...? pas top hein! ;)
Et j'en ai encore! ;)
Et j'en ai encore! ;)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Vraiment, j'aime bcp.
Si avec le recul tu trouves ca nul, c'est qu'aujourd'hui tu peux faire encore mieux!
Si avec le recul tu trouves ca nul, c'est qu'aujourd'hui tu peux faire encore mieux!
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Bon, voici une ptite création d'il y plus d'un an... j'avais fait la connaissance d'un artiste en son genre... il créait des perso, figurines... et avait inventé un tout début d'histoire pour l'un deux...
J'ai poursuivi mais je ss pas satisfaite de mon travail...
Avis à vous: vos conseils pour améliorer sont les biens venus! et j'aimerais bien illustrer mon histoire, j'avais commencé ms.... vite arrêté...
"Le Rouge
Quelque part dans le Bois de la Vieille Araignée, près du vieux marronnier, s'étend une petite culture de champignons.
La lumière qui traverse les épais feuillages confère à leur robe mauve des reflets carmins qui semblent prévenir d'un danger pour quiconque s'apprêterait à les cueillir.
Et pourtant ils ne sont pas vénéneux, non le danger est ailleurs… caché dans les buissons alentours, deux yeux veillent patiemment… vêtu d'un pagne d'origine douteuse et armé d'un vieux gourdin orné d'un gros clou rouillé, on l'appelle "le Rouge".
Ce surnom, il le doit à son visage cramoisi, qu'ont croisé tous ceux qui se sont imprudemment approchés de son trésor. Nul ne sait si seule la colère est à l'origine de ces couleurs inhabituelles chez ses cousins peaux-vertes, ou si ses fameux champignons ont quelques effets secondaires…
Voilà plusieurs Lunes que le Rouge guète… son regard scrute les abords afin d’apercevoir le moindre signe de vie qui s’approcherait de son trésor le plus précieux.
Une légende parle des pouvoirs cachés de son trésor. Si l’on en croit l’histoire, encore plus vieille que les ancêtres de ses ancêtres, qui-conque mangerait un morceau du chapeau du champignon mauve ce verrait naître en lui le dont de clairvoyance ainsi que le dont de découvrir tous trésors cachés.
Selon cette même légende, le Rouge aurait découvert le champignon par accident lors d’une de ses balades nocturnes (car ne l’oublions pas, les peaux-vertes et ascendants sont sensibles à la lumière du jour).
Étant pris d’une faim dévorante, il aurait ramassé le champignon pour le goûter du bout des lèvres.
Et oui, croyez le ou non, mais les peaux-vertes et ascendants sont de délicats gourmets.
On raconte qu’à la première bouchée, le Rouge aurait eu une vision, et que depuis lors, il protège son bien.
Mais nul ne peut nous dire de quoi parlait le présage, et beaucoup doutent encore de la véracité de la légende.
Cet après-midi est l’un des plus frais que le bois ait jamais connu. L’air est sec et le vent se fait pinçant.
Il faut être soit fou, soit inconscient pour s’y aventurer. Le Rouge est le seul à prendre se risque, qui pour lui, n’en est pas vraiment un, car sa peau ne craint pas le froid, seulement le soleil.
La journée de garde est déjà bien entamée quand le Rouge entend des bruits de branches craquer sur le sol.
Il se faufile avec l’agilité silencieuse qui lui est propre, il regarde dans le moindre recoin, il grimpe au grand marronnier en tenant son gourdin de toutes ses forces pour n’avoir qu’à bondir sur l’intrus et à le tuer. (l’un des plats préférés des peaux-vertes et ascendants est « le petit fumet de fureteur » qu’ils préparent avec des baies sauvages et des feuilles de fougères fraîchement coupées)
Il grimpe, saute de branche en branche et s’arrête une fois au dessus du bruit. Il tend les oreilles et se laisse tomber dans un grand fracas, il arrive nez à nez avec un cerf retournant le sol avec ses sabots à la recherche de quelques pousses d’herbes tendre.
Furieux d’être ainsi dérangé, le rouge poursuit le cerf blanc avec rage. Il pousse des cris de colère, lui hurle les pires injures jamais prononcées dans le Bois de la Vieille Araignée, la poursuite s’éternise des heures. Le Rouge commence à se rendre compte qu’il n’est plus au centre même du Bois, mais qu’il est bien à sa lisière.
Pris de panique, il regagne son trésor en courant aussi vite que ses petites jambes le lui permettent.
L’odeur d’une présence le met en alerte. Il se cache dernière un tronc et passe sa tête…
Elle est étincelante, magique. Le Rouge se retrouve étourdi par le sentiment d’un « déjà vu ». Il en oublie tout sentiment de rage et de vengeance. Il n’a qu’une envie, aller la trouver afin de l’aider, quoi qu’elle lui demande.
La belle porte une robe composée d’un bustier de lin blanc ainsi que d’une jupe de pétales de roses parme tenues par une liane fine. À ses pieds, elle porte de fins souliers en écorces maintenus par d’autres lianes.
Elle est assise, et garde les yeux clos comme pour profiter du moindre bruit, de la moindre odeur que lui offre le Bois de la Vieille Araignée.
« Alors le Rouge… ou étais-tu ? Je t’attends depuis la tombée du soleil. Ne prends pas cet air surpris voyons ! Tu savais que j’allais venir. Viens, nous avons à parler. »
Le Rouge laisse tomber son gourdin derrière le tronc et s’avance vers la demoiselle.
« Voilà, prends place à côté de moi et prends bien attention à ce que je vais te dire »
La conversation dure toute la nuit, le soleil commence à se lever et la visiteuse annonce son départ.
« Attendez… vous avez oublié de me dire comment vous vous appeliez ! »
« Mais tu le sais déjà ! Tu l’as donc oublié ? Et bien, je vais te le rappeler ! Je me nomme Pétunia »
Deux jours ont passé… deux jours et une nuit. À l’aube de la deuxième nuit et du troisième jour, les oiseaux arrivent de plus en plus nombreux, les écureuils osent enfin entrer dans le Bois et les cerfs blancs se rassemblent autour du trésor du Rouge.
Ce matin, les champignons ont pris une couleur plus éclatante que jamais. Un grand danger se prépare.
Pétunia arrive tôt, elle porte un manteau d’un brun sombre à capuche. À ses pieds, elle porte de fins sabots. Elle tend à son ami un manteau semblable au sien, ainsi qu’une paire de sabots, mais le Rouge refuse de les mettre en expliquant que ceux-ci le ralentiraient s’ils devaient prendre la fuite.
Le conseil de guerre commence avec l’arrivée des grands cerfs blancs.
Maintenant que tout est décidé, il ne reste plus qu’à attendre.
Un écureuil arrive à grande course pour prévenir le groupe qu’Ils arrivent. Tous se redressent et se parent de leurs armes.
Les oiseaux volent de plus en plus haut dans le ciel, ce qui, pour le Bois de la Vieille Araignée, est annonciateur de grandes pertes …
Au loin, un groupe de trois personnes se rapproche dangereusement. L’homme du milieu mesure au moins 1m60, ce qui est très grand par rapport au Rouge qui ne mesure que 90 cm. Cet homme est habillé d’une tunique beige, bordée d’or au col et aux manches. Il a à son dos un arc et des flèches dans leur étui. L’homme de gauche est d’une taille semblable, quoi que légèrement plus petit, il est vêtu d’une tunique verte avec de fines coutures jaunes pâles, à sa ceinture est attachée une fine épée taillée dans un métal noble. Le troisième homme quant à lui est simplement vêtu d’un pantalon brun clair et d’une chemise de coton verte foncée. Un chien de grande taille, certainement un Langue-Longue les accompagnes et est tenu en laisse par le troisième homme.
Quand Ils sont assez proches pour être entendu, le plus grand prend la parole : « Salut à vous Nobles Défenseurs des Terres Sombre du Bois de la Vieille Araignée. Nous venons vous voir en amis ! Et non en ennemis, c’est pour cela que je vous demande de baisser vos armes »
« Salut à vous visiteurs ! Vos belles paroles prononcées pour endormir notre confiance ne nous laisse pas dupe ! Nous connaissons vos plans et allons nous battre jusqu’au bout ! Nous avons de notre côté 147 animaux, 147 animaux qui se battront eux aussi jusqu’au bout ! »
Le Rouge brandit alors son gourdin en faisant bien attention de diriger le clou rouillé vers l’homme. Pétunia l’arrête et lui conseille alors d’écouter celui qui semble être le chef du trio.
« Voilà, si nous venons demander votre clémence c’est parce que notre royaume, non loin d’ici, se voit confronté à un réel problème. Le jeune prince Dragone souffre d’un mal des plus étranges, et nuls remèdes n’existent par chez nous pour le soigner. Son père, le roi, et sa mère, la reine, souffrent énormément, et vous supplient d’utiliser la plante qui, selon les légendes, donne le don de clair-voyance, nous comptons sur vous pour utiliser cette plante et vous dire quel breuvage utiliser pour le soigner. »
Pétunia prend alors la parole :
« Nobles visiteurs, nous comprenons fort bien votre désarroi, mais vous devez, vous aussi, comprendre que rien ne nous garantis la sincérité de vos paroles. Je vous demande alors une demi-journée. Revenez avant la tombée de la nuit, et alors là, seulement, nous vous donnerons notre décision, mais pas avant ! »
L’homme d’apparence paysanne laisse alors s’échapper une larme de tristesse, qu’il essuie de la main, ignorant qu’il a été vu. Pétunia s’avance vers lui et lui prend l’épaule.
« Comme vous devez être triste pour votre enfant. La perte d’un être cher est la pire des choses qui peut arriver. Nous ne sommes pas des monstres, nous avons un cœur, même l’être le plus improbable vous comprend (là, elle ne parle pas du Rouge, mais du simple verre de terre) quelle plus belle garantie pouvions nous avoir de vous que la larme du père qui pleur son enfant ?
Nous attendions votre visite qui nous avait été annoncée il y a bien des Lunes. Voilà bien longtemps, mon ami le Rouge a été informé de sa mission, défendre corps et âme l’instrument de guérison d’un futur roi. Ce qu’il fit, mieux que qui-conque. Maintenant, c’est mon tour de remplir ma mission. Je vous confie un morceau du chapeau du champignon. Placez-le sur le feu qui brûle dans la chambre de votre fils. Ouvrez grand les fenêtres et laissez entrer tout animal. Quand le dernier aura terminé sa garde, votre fils sera guéri, et je peux vous dire qu’il deviendra un grand roi ! »
Et arrive ce que Pétunia avait annoncé. Le roi met le champignon sur le feu, et ouvre grand les fenêtres de la chambre de son fils.
Un nombre que je ne saurais mentionner de chouette et autres animaux nocturnes entrent alors dans la chambre, et, un à un, veille sur l’enfant.
Deux mois, six jours et quelques heures plus tard, le jeune garçon habitue ses yeux à la lumière du soleil naissant.
Le prince est maintenant plus vigoureux, même s’il n’a pas encore repris toute sa force.
Nul ne sait de quoi il souffrait vraiment, et nul ne sait comment est arrivé le mal. Et nul ne le saura jamais
Quand on se balade dans le Bois de la Vieille Araignée, on peut encore entendre deux voix murmurer. On raconte que le Rouge et Pétunia se retrouvent encore à l’endroit ou ils se sont rencontrés, la toute première fois, quand le Rouge avait eu sa vision.
Mais nul ne les a revus, à part peut-être quelques animaux sauvages qu’ils auraient apprivoisé.
Fin."
J'ai poursuivi mais je ss pas satisfaite de mon travail...
Avis à vous: vos conseils pour améliorer sont les biens venus! et j'aimerais bien illustrer mon histoire, j'avais commencé ms.... vite arrêté...
"Le Rouge
Quelque part dans le Bois de la Vieille Araignée, près du vieux marronnier, s'étend une petite culture de champignons.
La lumière qui traverse les épais feuillages confère à leur robe mauve des reflets carmins qui semblent prévenir d'un danger pour quiconque s'apprêterait à les cueillir.
Et pourtant ils ne sont pas vénéneux, non le danger est ailleurs… caché dans les buissons alentours, deux yeux veillent patiemment… vêtu d'un pagne d'origine douteuse et armé d'un vieux gourdin orné d'un gros clou rouillé, on l'appelle "le Rouge".
Ce surnom, il le doit à son visage cramoisi, qu'ont croisé tous ceux qui se sont imprudemment approchés de son trésor. Nul ne sait si seule la colère est à l'origine de ces couleurs inhabituelles chez ses cousins peaux-vertes, ou si ses fameux champignons ont quelques effets secondaires…
Voilà plusieurs Lunes que le Rouge guète… son regard scrute les abords afin d’apercevoir le moindre signe de vie qui s’approcherait de son trésor le plus précieux.
Une légende parle des pouvoirs cachés de son trésor. Si l’on en croit l’histoire, encore plus vieille que les ancêtres de ses ancêtres, qui-conque mangerait un morceau du chapeau du champignon mauve ce verrait naître en lui le dont de clairvoyance ainsi que le dont de découvrir tous trésors cachés.
Selon cette même légende, le Rouge aurait découvert le champignon par accident lors d’une de ses balades nocturnes (car ne l’oublions pas, les peaux-vertes et ascendants sont sensibles à la lumière du jour).
Étant pris d’une faim dévorante, il aurait ramassé le champignon pour le goûter du bout des lèvres.
Et oui, croyez le ou non, mais les peaux-vertes et ascendants sont de délicats gourmets.
On raconte qu’à la première bouchée, le Rouge aurait eu une vision, et que depuis lors, il protège son bien.
Mais nul ne peut nous dire de quoi parlait le présage, et beaucoup doutent encore de la véracité de la légende.
Cet après-midi est l’un des plus frais que le bois ait jamais connu. L’air est sec et le vent se fait pinçant.
Il faut être soit fou, soit inconscient pour s’y aventurer. Le Rouge est le seul à prendre se risque, qui pour lui, n’en est pas vraiment un, car sa peau ne craint pas le froid, seulement le soleil.
La journée de garde est déjà bien entamée quand le Rouge entend des bruits de branches craquer sur le sol.
Il se faufile avec l’agilité silencieuse qui lui est propre, il regarde dans le moindre recoin, il grimpe au grand marronnier en tenant son gourdin de toutes ses forces pour n’avoir qu’à bondir sur l’intrus et à le tuer. (l’un des plats préférés des peaux-vertes et ascendants est « le petit fumet de fureteur » qu’ils préparent avec des baies sauvages et des feuilles de fougères fraîchement coupées)
Il grimpe, saute de branche en branche et s’arrête une fois au dessus du bruit. Il tend les oreilles et se laisse tomber dans un grand fracas, il arrive nez à nez avec un cerf retournant le sol avec ses sabots à la recherche de quelques pousses d’herbes tendre.
Furieux d’être ainsi dérangé, le rouge poursuit le cerf blanc avec rage. Il pousse des cris de colère, lui hurle les pires injures jamais prononcées dans le Bois de la Vieille Araignée, la poursuite s’éternise des heures. Le Rouge commence à se rendre compte qu’il n’est plus au centre même du Bois, mais qu’il est bien à sa lisière.
Pris de panique, il regagne son trésor en courant aussi vite que ses petites jambes le lui permettent.
L’odeur d’une présence le met en alerte. Il se cache dernière un tronc et passe sa tête…
Elle est étincelante, magique. Le Rouge se retrouve étourdi par le sentiment d’un « déjà vu ». Il en oublie tout sentiment de rage et de vengeance. Il n’a qu’une envie, aller la trouver afin de l’aider, quoi qu’elle lui demande.
La belle porte une robe composée d’un bustier de lin blanc ainsi que d’une jupe de pétales de roses parme tenues par une liane fine. À ses pieds, elle porte de fins souliers en écorces maintenus par d’autres lianes.
Elle est assise, et garde les yeux clos comme pour profiter du moindre bruit, de la moindre odeur que lui offre le Bois de la Vieille Araignée.
« Alors le Rouge… ou étais-tu ? Je t’attends depuis la tombée du soleil. Ne prends pas cet air surpris voyons ! Tu savais que j’allais venir. Viens, nous avons à parler. »
Le Rouge laisse tomber son gourdin derrière le tronc et s’avance vers la demoiselle.
« Voilà, prends place à côté de moi et prends bien attention à ce que je vais te dire »
La conversation dure toute la nuit, le soleil commence à se lever et la visiteuse annonce son départ.
« Attendez… vous avez oublié de me dire comment vous vous appeliez ! »
« Mais tu le sais déjà ! Tu l’as donc oublié ? Et bien, je vais te le rappeler ! Je me nomme Pétunia »
Deux jours ont passé… deux jours et une nuit. À l’aube de la deuxième nuit et du troisième jour, les oiseaux arrivent de plus en plus nombreux, les écureuils osent enfin entrer dans le Bois et les cerfs blancs se rassemblent autour du trésor du Rouge.
Ce matin, les champignons ont pris une couleur plus éclatante que jamais. Un grand danger se prépare.
Pétunia arrive tôt, elle porte un manteau d’un brun sombre à capuche. À ses pieds, elle porte de fins sabots. Elle tend à son ami un manteau semblable au sien, ainsi qu’une paire de sabots, mais le Rouge refuse de les mettre en expliquant que ceux-ci le ralentiraient s’ils devaient prendre la fuite.
Le conseil de guerre commence avec l’arrivée des grands cerfs blancs.
Maintenant que tout est décidé, il ne reste plus qu’à attendre.
Un écureuil arrive à grande course pour prévenir le groupe qu’Ils arrivent. Tous se redressent et se parent de leurs armes.
Les oiseaux volent de plus en plus haut dans le ciel, ce qui, pour le Bois de la Vieille Araignée, est annonciateur de grandes pertes …
Au loin, un groupe de trois personnes se rapproche dangereusement. L’homme du milieu mesure au moins 1m60, ce qui est très grand par rapport au Rouge qui ne mesure que 90 cm. Cet homme est habillé d’une tunique beige, bordée d’or au col et aux manches. Il a à son dos un arc et des flèches dans leur étui. L’homme de gauche est d’une taille semblable, quoi que légèrement plus petit, il est vêtu d’une tunique verte avec de fines coutures jaunes pâles, à sa ceinture est attachée une fine épée taillée dans un métal noble. Le troisième homme quant à lui est simplement vêtu d’un pantalon brun clair et d’une chemise de coton verte foncée. Un chien de grande taille, certainement un Langue-Longue les accompagnes et est tenu en laisse par le troisième homme.
Quand Ils sont assez proches pour être entendu, le plus grand prend la parole : « Salut à vous Nobles Défenseurs des Terres Sombre du Bois de la Vieille Araignée. Nous venons vous voir en amis ! Et non en ennemis, c’est pour cela que je vous demande de baisser vos armes »
« Salut à vous visiteurs ! Vos belles paroles prononcées pour endormir notre confiance ne nous laisse pas dupe ! Nous connaissons vos plans et allons nous battre jusqu’au bout ! Nous avons de notre côté 147 animaux, 147 animaux qui se battront eux aussi jusqu’au bout ! »
Le Rouge brandit alors son gourdin en faisant bien attention de diriger le clou rouillé vers l’homme. Pétunia l’arrête et lui conseille alors d’écouter celui qui semble être le chef du trio.
« Voilà, si nous venons demander votre clémence c’est parce que notre royaume, non loin d’ici, se voit confronté à un réel problème. Le jeune prince Dragone souffre d’un mal des plus étranges, et nuls remèdes n’existent par chez nous pour le soigner. Son père, le roi, et sa mère, la reine, souffrent énormément, et vous supplient d’utiliser la plante qui, selon les légendes, donne le don de clair-voyance, nous comptons sur vous pour utiliser cette plante et vous dire quel breuvage utiliser pour le soigner. »
Pétunia prend alors la parole :
« Nobles visiteurs, nous comprenons fort bien votre désarroi, mais vous devez, vous aussi, comprendre que rien ne nous garantis la sincérité de vos paroles. Je vous demande alors une demi-journée. Revenez avant la tombée de la nuit, et alors là, seulement, nous vous donnerons notre décision, mais pas avant ! »
L’homme d’apparence paysanne laisse alors s’échapper une larme de tristesse, qu’il essuie de la main, ignorant qu’il a été vu. Pétunia s’avance vers lui et lui prend l’épaule.
« Comme vous devez être triste pour votre enfant. La perte d’un être cher est la pire des choses qui peut arriver. Nous ne sommes pas des monstres, nous avons un cœur, même l’être le plus improbable vous comprend (là, elle ne parle pas du Rouge, mais du simple verre de terre) quelle plus belle garantie pouvions nous avoir de vous que la larme du père qui pleur son enfant ?
Nous attendions votre visite qui nous avait été annoncée il y a bien des Lunes. Voilà bien longtemps, mon ami le Rouge a été informé de sa mission, défendre corps et âme l’instrument de guérison d’un futur roi. Ce qu’il fit, mieux que qui-conque. Maintenant, c’est mon tour de remplir ma mission. Je vous confie un morceau du chapeau du champignon. Placez-le sur le feu qui brûle dans la chambre de votre fils. Ouvrez grand les fenêtres et laissez entrer tout animal. Quand le dernier aura terminé sa garde, votre fils sera guéri, et je peux vous dire qu’il deviendra un grand roi ! »
Et arrive ce que Pétunia avait annoncé. Le roi met le champignon sur le feu, et ouvre grand les fenêtres de la chambre de son fils.
Un nombre que je ne saurais mentionner de chouette et autres animaux nocturnes entrent alors dans la chambre, et, un à un, veille sur l’enfant.
Deux mois, six jours et quelques heures plus tard, le jeune garçon habitue ses yeux à la lumière du soleil naissant.
Le prince est maintenant plus vigoureux, même s’il n’a pas encore repris toute sa force.
Nul ne sait de quoi il souffrait vraiment, et nul ne sait comment est arrivé le mal. Et nul ne le saura jamais
Quand on se balade dans le Bois de la Vieille Araignée, on peut encore entendre deux voix murmurer. On raconte que le Rouge et Pétunia se retrouvent encore à l’endroit ou ils se sont rencontrés, la toute première fois, quand le Rouge avait eu sa vision.
Mais nul ne les a revus, à part peut-être quelques animaux sauvages qu’ils auraient apprivoisé.
Fin."
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
L'histoire en elle même est intéressante, la façon dont tu développe le thème du rouge est très bien.
Toutefois une transition maladroite alourdie le texte.
De ce qu'on lit, le rouge est un personnage mystérieux, qu'il ignore à son tour la femme est dérangeant. Il vaudrait peut-être mieux développer une complicité nait de leur vision ainsi qu'un mystère les entourant tout les deux.
En effet à la fin le rouge n'est pas un simple personnage dont on connait la fin mais une légende à demi oubliée.
Toutefois une transition maladroite alourdie le texte.
« Voilà, prends place à côté de moi et prends bien attention à ce que je vais te dire »
La conversation dure toute la nuit, le soleil commence à se lever et la visiteuse annonce son départ.
« Attendez… vous avez oublié de me dire comment vous vous appeliez ! »
« Mais tu le sais déjà ! Tu l’as donc oublié ? Et bien, je vais te le rappeler ! Je me nomme Pétunia »
De ce qu'on lit, le rouge est un personnage mystérieux, qu'il ignore à son tour la femme est dérangeant. Il vaudrait peut-être mieux développer une complicité nait de leur vision ainsi qu'un mystère les entourant tout les deux.
En effet à la fin le rouge n'est pas un simple personnage dont on connait la fin mais une légende à demi oubliée.
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
A l'occas (je ne sais pas qd... en 2007 à mon avis!;) je vais retravailler ça! je suis pas douée pour tout ca...ms j'essaie! c'est déjà mieux que rien! lol)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
pas mal !!
j'ai noté une parenthèse qui n'a peut être pas lieu d'être au 9ème paragraphe.
et une phrase pas très heureuse au 20ème paragraphe : "vétu d'une tunique", "habillé d'une tunique"
mais c'est vraiment chouette, continues !!
j'ai noté une parenthèse qui n'a peut être pas lieu d'être au 9ème paragraphe.
et une phrase pas très heureuse au 20ème paragraphe : "vétu d'une tunique", "habillé d'une tunique"
mais c'est vraiment chouette, continues !!
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Merci pour l'info!!!
Et pour les encouragements! ;)
J'espère ne pas oublier tout ça d'ici mes modifs! (bon, je vais vite changer cette histoire de tunique! lol)
Et pour les encouragements! ;)
J'espère ne pas oublier tout ça d'ici mes modifs! (bon, je vais vite changer cette histoire de tunique! lol)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
J'aime bien aussi! J'ai juste du mal avec les textes trop longs sur écran ( je sais pas vous), rien ne vaut ce bon vieux papier.
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Pour ça... je suis tout à fait d'accord avec toi!!!
Et ça fatigue énormément les yeux!!
Et ça fatigue énormément les yeux!!
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
ouf ! je suis donc pas la seule a avoir de la brume entre mes yeux et l'écran ...
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Moi je me balade un peu partout avec mon bouquin.
Alors c'est sur qu'un livre est plus pratique.
De plus la lumière des écrans est quelque peu agressive...
Alors c'est sur qu'un livre est plus pratique.
De plus la lumière des écrans est quelque peu agressive...
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Vieux de chez vieux... enfin, pas de très bonne qualité... il y a des fautes.... non corrigées... je sais....
"Petite Mandragore
Il était une fois, dans un petit village, une petite fille aux cheveux roux et aux yeux noisette. Elle s’appelait Mandragore.
Cette petite fille avait cinq ans et demi, et était dans la classe de Mademoiselle Iris, la plus gentille des institutrices. Mademoiselle Iris était la plus douce, celle qui savait raconter des histoires comme personne, et qui en plus, apportait du gâteau qu’elle avait fait chez elle pour ses élèves.
Mandragore avait un secret, le plus précieux et le plus doux.
Elle était amoureuse. Mais pas de n’importe quel garçon ! Il s’appelait Théodore, il avait six ans et vivait avec sa maman, Marie.
Marie était une maman étrange ! Elle venait à l’école tous les vendredis pour faire écouter une musique étrange aux élèves de Mademoiselle Iris. C’était du Yoga. Il fallait se coucher sur des tapis en mousse, fermer les yeux, tendre les bras vers le ciel, faire le bruit du vent, balancer ses bras, et faire bien d’autres choses, comme imiter un chat, un oiseau, c’était très comique !
Mandragore disait que, plus tard, elle voulait devenir comme Marie.
Théodore était le plus beau des petits garçons aux yeux de Mandragore, elle disait qu’il avait les plus beaux yeux bruns et les plus jolies lunettes rondes de tout le village. En fait, il avait les mêmes lunettes que Lulu, le papy de Mandragore.
Théodore était un petit garçon très intelligent, il savait compter jusqu’à 10 sans se tromper, et savait même écrire tous les prénoms de tous les élèves de la classe de Mademoiselle Iris. Théodore était le roi du dessin, et ce qu’il dessinait le mieux, c’était les coccinelles. Il connaissait plein de blague, et faisait toujours rire ses amis.
Mandragore ne lui avait jamais parlé, elle aurait aimé, mais n’osait pas.
« Tu es trop timide » lui disait Célia.
Célia était sa meilleure amie, et elle était toujours avec Mandragore, elle apportait des fraises de son jardin pour tout le monde, et des grenouilles aussi, ce qui plaisait moins à Mademoiselle Iris.
Non, Mademoiselle Iris n’avait pas peur des grenouilles, ce qui lui faisait peur, c’était de marcher dessus et de les blesser. Un jour, elle en avait trouvé une dans son jardin, elle était restée coincé entre deux bûches de bois, et avait mal à la pâte. Mademoiselle Iris l’avait mise dans une boîte à chaussures, et s’en était occupée une semaine durant.
Un jour, Célia et Mandragore ont suivi Théo dans la cours de récréation. Il jouait toujours avec Jeremy et Jonathan, et en jouant, il avait laissé tomber un papier de bonbons à la menthe. Mandragore s’était dépêchée d’aller le chercher pour le garder dans sa poche jusqu’au soir, pour le mettre dans sa boîte à secrets.
Dans sa boîtes, il y avait déjà une photo de classe (ou Théo était assit devant Mandragore, il avait mit son beau pull bleu qu’elle adorait, mais ça, il ne le savait pas), une paille en plastique, qu’il avait oublié de mettre à la poubelle lors d’une collation, et un peut de plasticine qu’il lui avait donné pendant l’atelier création.
Personne ne connaissait l’existence de cette boîte, même pas Célia. Et heureusemen,t autrement, elle aurait été fâchée contre Mandragore, car elle ne lui aurait pas tout dit ! Elle voyait bien que son amie aimait bien Théodore, mais elle ne savait pas qu’elle était vraiment amoureuse de lui.
Théo était l’ami de tout le monde, et tout le monde voulait être son ami. Mais un jour, un de ses amis a fait de la peine à Mandragore… car il racontait à tout le monde que Théo avait une amoureuse et qu’elle était en primaire. Manon,, elle avait sept ans, et Mandragore la trouvait très jolie, plus jolie qu’elle.
Un jour, elle les avait vu partir de l’école ensemble, ils se donnaient la main, comme les grands qui sont amoureux. La maman de Théo était venue à leur rencontre, et avait fait un bisou à Manon.
Mandragore était très triste, et elle enviait Manon, elle la trouvait méchante, et laide !
« Tu es trop jalouse » lui disait Célia.
« La jalousie, c’est quand on est amoureuse d’un garçon mais qu’il est amoureux d’une autre fille, et on ne veut pas qu’il l’aime » expliquait Célia. Mademoiselle Iris disait aussi « la jalousie, c’est quand on veut avoir quelque chose qu’un de vos amis a, mais que vous, vous n’avez pas . Être jaloux, c’est triste, cela peut faire pleurer, et des gens se disputent par jalousie.»
Quelques jours plus tard, Célia était malade, et Mandragore était toute seule en gymnastique, il fallait faire des groupes de deux…. Et comme Célia était absente, Mandragore avait décidé d’aller s’asseoir sur un banc, en attendant que quelqu’un vienne la chercher.
Et ce quelqu’un… c’était Théo. Il était venu lui demander si elle voulait bien faire équipe avec lui, et bien sur, elle avait dit oui !
Ils faisaient une bonne équipe ! Ils avaient gagné deux courses, car ils couraient très vite, et ne tombaient presque jamais.
Plus tard, ils continuaient à jouer ensemble dans la cours de récré. C’est lors de ces jeux que Mandragore a appris que Théo avait une grande sœur en primaire, Manon.
À partir de ce jour là, ils ne se sont plus quittés, ils étaient alors cinq, il y avait Célia, qui était restée la meilleure amie de Mandragore et qui ramenait toujours des grenouilles en classe, Jeremy qui adorait raconter des blagues et Jonathan qui aimait colorier, les meilleurs amis de Théo, et le plus rapide, Théo. Et bien sur Mandragore, qui avait les quatre meilleurs amis du monde.
Et sa boîte à secrets me demanderez-vous ? Et bien, elle l’avait toujours gardée bien secrète sous son lit. Mais ce qui avait changé, c’est qu’elle l’avait montrée à Théo, le jour ou ils étaient grands, des adultes, et ou Théo avait demandé à Mandragore si elle voulait bien se marier avec lui… mais ça… c’est une autre histoire…"
C'était un texte pour enfants... et oui... j'ai eu dans le passé l'envie d'écrire pour eux... mais...
"Petite Mandragore
Il était une fois, dans un petit village, une petite fille aux cheveux roux et aux yeux noisette. Elle s’appelait Mandragore.
Cette petite fille avait cinq ans et demi, et était dans la classe de Mademoiselle Iris, la plus gentille des institutrices. Mademoiselle Iris était la plus douce, celle qui savait raconter des histoires comme personne, et qui en plus, apportait du gâteau qu’elle avait fait chez elle pour ses élèves.
Mandragore avait un secret, le plus précieux et le plus doux.
Elle était amoureuse. Mais pas de n’importe quel garçon ! Il s’appelait Théodore, il avait six ans et vivait avec sa maman, Marie.
Marie était une maman étrange ! Elle venait à l’école tous les vendredis pour faire écouter une musique étrange aux élèves de Mademoiselle Iris. C’était du Yoga. Il fallait se coucher sur des tapis en mousse, fermer les yeux, tendre les bras vers le ciel, faire le bruit du vent, balancer ses bras, et faire bien d’autres choses, comme imiter un chat, un oiseau, c’était très comique !
Mandragore disait que, plus tard, elle voulait devenir comme Marie.
Théodore était le plus beau des petits garçons aux yeux de Mandragore, elle disait qu’il avait les plus beaux yeux bruns et les plus jolies lunettes rondes de tout le village. En fait, il avait les mêmes lunettes que Lulu, le papy de Mandragore.
Théodore était un petit garçon très intelligent, il savait compter jusqu’à 10 sans se tromper, et savait même écrire tous les prénoms de tous les élèves de la classe de Mademoiselle Iris. Théodore était le roi du dessin, et ce qu’il dessinait le mieux, c’était les coccinelles. Il connaissait plein de blague, et faisait toujours rire ses amis.
Mandragore ne lui avait jamais parlé, elle aurait aimé, mais n’osait pas.
« Tu es trop timide » lui disait Célia.
Célia était sa meilleure amie, et elle était toujours avec Mandragore, elle apportait des fraises de son jardin pour tout le monde, et des grenouilles aussi, ce qui plaisait moins à Mademoiselle Iris.
Non, Mademoiselle Iris n’avait pas peur des grenouilles, ce qui lui faisait peur, c’était de marcher dessus et de les blesser. Un jour, elle en avait trouvé une dans son jardin, elle était restée coincé entre deux bûches de bois, et avait mal à la pâte. Mademoiselle Iris l’avait mise dans une boîte à chaussures, et s’en était occupée une semaine durant.
Un jour, Célia et Mandragore ont suivi Théo dans la cours de récréation. Il jouait toujours avec Jeremy et Jonathan, et en jouant, il avait laissé tomber un papier de bonbons à la menthe. Mandragore s’était dépêchée d’aller le chercher pour le garder dans sa poche jusqu’au soir, pour le mettre dans sa boîte à secrets.
Dans sa boîtes, il y avait déjà une photo de classe (ou Théo était assit devant Mandragore, il avait mit son beau pull bleu qu’elle adorait, mais ça, il ne le savait pas), une paille en plastique, qu’il avait oublié de mettre à la poubelle lors d’une collation, et un peut de plasticine qu’il lui avait donné pendant l’atelier création.
Personne ne connaissait l’existence de cette boîte, même pas Célia. Et heureusemen,t autrement, elle aurait été fâchée contre Mandragore, car elle ne lui aurait pas tout dit ! Elle voyait bien que son amie aimait bien Théodore, mais elle ne savait pas qu’elle était vraiment amoureuse de lui.
Théo était l’ami de tout le monde, et tout le monde voulait être son ami. Mais un jour, un de ses amis a fait de la peine à Mandragore… car il racontait à tout le monde que Théo avait une amoureuse et qu’elle était en primaire. Manon,, elle avait sept ans, et Mandragore la trouvait très jolie, plus jolie qu’elle.
Un jour, elle les avait vu partir de l’école ensemble, ils se donnaient la main, comme les grands qui sont amoureux. La maman de Théo était venue à leur rencontre, et avait fait un bisou à Manon.
Mandragore était très triste, et elle enviait Manon, elle la trouvait méchante, et laide !
« Tu es trop jalouse » lui disait Célia.
« La jalousie, c’est quand on est amoureuse d’un garçon mais qu’il est amoureux d’une autre fille, et on ne veut pas qu’il l’aime » expliquait Célia. Mademoiselle Iris disait aussi « la jalousie, c’est quand on veut avoir quelque chose qu’un de vos amis a, mais que vous, vous n’avez pas . Être jaloux, c’est triste, cela peut faire pleurer, et des gens se disputent par jalousie.»
Quelques jours plus tard, Célia était malade, et Mandragore était toute seule en gymnastique, il fallait faire des groupes de deux…. Et comme Célia était absente, Mandragore avait décidé d’aller s’asseoir sur un banc, en attendant que quelqu’un vienne la chercher.
Et ce quelqu’un… c’était Théo. Il était venu lui demander si elle voulait bien faire équipe avec lui, et bien sur, elle avait dit oui !
Ils faisaient une bonne équipe ! Ils avaient gagné deux courses, car ils couraient très vite, et ne tombaient presque jamais.
Plus tard, ils continuaient à jouer ensemble dans la cours de récré. C’est lors de ces jeux que Mandragore a appris que Théo avait une grande sœur en primaire, Manon.
À partir de ce jour là, ils ne se sont plus quittés, ils étaient alors cinq, il y avait Célia, qui était restée la meilleure amie de Mandragore et qui ramenait toujours des grenouilles en classe, Jeremy qui adorait raconter des blagues et Jonathan qui aimait colorier, les meilleurs amis de Théo, et le plus rapide, Théo. Et bien sur Mandragore, qui avait les quatre meilleurs amis du monde.
Et sa boîte à secrets me demanderez-vous ? Et bien, elle l’avait toujours gardée bien secrète sous son lit. Mais ce qui avait changé, c’est qu’elle l’avait montrée à Théo, le jour ou ils étaient grands, des adultes, et ou Théo avait demandé à Mandragore si elle voulait bien se marier avec lui… mais ça… c’est une autre histoire…"
C'était un texte pour enfants... et oui... j'ai eu dans le passé l'envie d'écrire pour eux... mais...
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Travail pour un exam, nous avions un temps délimité (je ne sais plus combien de temps...) et un critère: perso je devais commencer chaque phrase avec l'alphabet, de A à Z...
Voilà ce que ça donne!
"Amélie Coussin, qui es-tu ?
Bien des gens te connaissent, mais moi
Comment faire pour te connaître ?
Depuis 19 ans je te connais, mais depuis 10 ans je te croise
Et je ne te connais plus
Fuis-tu ton passé ? Fuis-tu un malheur ?
Goûte enfin à la vie comme tu en rêvais
Hier encore tu étais journaliste au « Times square » à Londres
Ici tu es une fille du pays ! Tu es calme et réservée
J’aimerais savoir si tu as toujours ton chalet caché dans les bois
Kenny nous parle encore de toi étant enfant, de ta générosité, de ton calme, de ton amitié sans limite et de ton enthousiasme
Leilla m’a raconté que tu rêvais, étant enfant, d’être peintre, que tu adorais la nature, je le savais déjà
Mais dis-moi, tu as tant changé, … pourquoi ?
Ne me cache rien ! Dis-moi ce que tu as vécu pour que tu sois si triste
Oh… je t’en prie… cela a-t-il un rapport avec ton amour perdu ?
Peut-être est-ce à cause du déménagement de ton grand-père, il y a 8 ans ?
Qu’a t-il bien pu arriver pour que tous sois ainsi !
Redeviens celle de notre enfance !
Sois peintre ! Le journalisme ne t’épanouit pas !
Tu vois, j’avais aussi un rêve ! Mais depuis notre dispute il est brisé… notre dispute ? Est-ce ça ?
Unies nous étions ! Sans secret l’une pour l’autre
Voilà que maintenant, désunies nous sommes…
Winifred avait raison ! Tu ne m’as pas pardonné ma timidité qui a fait que je ne suis pas venue à ta fête
Xeres, mon oncle m’a dit qu’avec le temps, les rancœurs disparaissaient. Que dis-tu ? Tu ne m’en veux plus ? Tu croyais que c’était moi qui t’en voulais ?
Youmba ! Sotte ! Voyons, je ne t’en veux pas, pour moi, cela fait 19 ans que nous sommes amies. Devine où je veux aller…
Zénouba ! Notre cachette dans les bois ! Allons-y comme dans notre enfance !"
Il est vrai que c'est décousu par moment mais bon... ;) (ce texte a 2ans et demi, et n'a pas été retravaillé depuis... j'aurai du... ms bon... j'aurai du faire bcp de chose! ;))
Voilà ce que ça donne!
"Amélie Coussin, qui es-tu ?
Bien des gens te connaissent, mais moi
Comment faire pour te connaître ?
Depuis 19 ans je te connais, mais depuis 10 ans je te croise
Et je ne te connais plus
Fuis-tu ton passé ? Fuis-tu un malheur ?
Goûte enfin à la vie comme tu en rêvais
Hier encore tu étais journaliste au « Times square » à Londres
Ici tu es une fille du pays ! Tu es calme et réservée
J’aimerais savoir si tu as toujours ton chalet caché dans les bois
Kenny nous parle encore de toi étant enfant, de ta générosité, de ton calme, de ton amitié sans limite et de ton enthousiasme
Leilla m’a raconté que tu rêvais, étant enfant, d’être peintre, que tu adorais la nature, je le savais déjà
Mais dis-moi, tu as tant changé, … pourquoi ?
Ne me cache rien ! Dis-moi ce que tu as vécu pour que tu sois si triste
Oh… je t’en prie… cela a-t-il un rapport avec ton amour perdu ?
Peut-être est-ce à cause du déménagement de ton grand-père, il y a 8 ans ?
Qu’a t-il bien pu arriver pour que tous sois ainsi !
Redeviens celle de notre enfance !
Sois peintre ! Le journalisme ne t’épanouit pas !
Tu vois, j’avais aussi un rêve ! Mais depuis notre dispute il est brisé… notre dispute ? Est-ce ça ?
Unies nous étions ! Sans secret l’une pour l’autre
Voilà que maintenant, désunies nous sommes…
Winifred avait raison ! Tu ne m’as pas pardonné ma timidité qui a fait que je ne suis pas venue à ta fête
Xeres, mon oncle m’a dit qu’avec le temps, les rancœurs disparaissaient. Que dis-tu ? Tu ne m’en veux plus ? Tu croyais que c’était moi qui t’en voulais ?
Youmba ! Sotte ! Voyons, je ne t’en veux pas, pour moi, cela fait 19 ans que nous sommes amies. Devine où je veux aller…
Zénouba ! Notre cachette dans les bois ! Allons-y comme dans notre enfance !"
Il est vrai que c'est décousu par moment mais bon... ;) (ce texte a 2ans et demi, et n'a pas été retravaillé depuis... j'aurai du... ms bon... j'aurai du faire bcp de chose! ;))
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Texte du 21 septembre 2004
"Mon amour
Mon amour, je profite de ce jour d’équinoxe pour te dire combien tu m’as manquée durant toutes ces années.
Maintenant que je t’ai à mes côtés, je peux enfin te dire combien je t’ai aimée, avant même que tu ne sois née.
Il y a maintenant une quinzaine d’années, ton père et moi nous nous sommes aimés.
Aimés si fort que nous t’avons imaginée, belle comme le jour et douée.
Aujourd’hui te voilà devant moi, et je ressens une chaleur aù fond du cœur, une douceur à l’intérieur.
Celle de la fierté d’une mère qui voit s’épanouir devant elle une jeune femme, qui un jour ressentira au fond de son cœur la même douceur."
La fin est bizarre.... j'écoute vos conseils! (comme d'hab! ;) )
"Mon amour
Mon amour, je profite de ce jour d’équinoxe pour te dire combien tu m’as manquée durant toutes ces années.
Maintenant que je t’ai à mes côtés, je peux enfin te dire combien je t’ai aimée, avant même que tu ne sois née.
Il y a maintenant une quinzaine d’années, ton père et moi nous nous sommes aimés.
Aimés si fort que nous t’avons imaginée, belle comme le jour et douée.
Aujourd’hui te voilà devant moi, et je ressens une chaleur aù fond du cœur, une douceur à l’intérieur.
Celle de la fierté d’une mère qui voit s’épanouir devant elle une jeune femme, qui un jour ressentira au fond de son cœur la même douceur."
La fin est bizarre.... j'écoute vos conseils! (comme d'hab! ;) )
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
22 septembre 2004
"Amour
Voilà plusieurs années je me rêvais, je m’inventais un prince charmant inexistant.
Quelques années plus tard, je te rencontrais, devant moi tout puissant.
Je me suis alors aperçue que ce prince charmant n’était inventé qu’à moitié, tout cela en te voyant.
Tu es le plus complet des princes charmants et je me rêve princesse à tes côtés.
Je me mets à rêver d’une vie meilleure, pleine de bonheur depuis que je t’ai croisé.
Mais voilà que tu as déjà ta princesse et que je me retrouve sans mon prince à aimer.
Aujourd’hui je me rêve, je m’invente un prince charmant existant.
Mon prince charmant est maintenant complet, et je rêve d’un enfant. "
"Amour
Voilà plusieurs années je me rêvais, je m’inventais un prince charmant inexistant.
Quelques années plus tard, je te rencontrais, devant moi tout puissant.
Je me suis alors aperçue que ce prince charmant n’était inventé qu’à moitié, tout cela en te voyant.
Tu es le plus complet des princes charmants et je me rêve princesse à tes côtés.
Je me mets à rêver d’une vie meilleure, pleine de bonheur depuis que je t’ai croisé.
Mais voilà que tu as déjà ta princesse et que je me retrouve sans mon prince à aimer.
Aujourd’hui je me rêve, je m’invente un prince charmant existant.
Mon prince charmant est maintenant complet, et je rêve d’un enfant. "
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
20 octobre 2004
"Chemin de vie
Un amour éphémère qui fait naître un nouveau monde ;
Un espoir partagé gardé dans le même silence ;
Ce même espoir dont on ignore la raison.
Le même espoir pour deux personnes ;
Espoir dont on ose à peine entrevoir la finalité ;
Chacun garde son secret, espérant silencieusement le révéler ;
Le révéler à l’autre qui le partage ;
Mais on ignore qu’il le partage.
Ouvrir son cœur et dire ce que l’on a écrit ;
Attendre une réaction de chaleur faute de bonheur ;
Craindre une rébellion de l’autre ;
Avoir peur d’avoir mal compris.
Parler et oser dire que ce l’on a écrit ;
S’apercevoir que l’on avait mal compris :
Se renfermer et ne plus jamais rêver :
Ne vivre que pour s’exprimer."
"Chemin de vie
Un amour éphémère qui fait naître un nouveau monde ;
Un espoir partagé gardé dans le même silence ;
Ce même espoir dont on ignore la raison.
Le même espoir pour deux personnes ;
Espoir dont on ose à peine entrevoir la finalité ;
Chacun garde son secret, espérant silencieusement le révéler ;
Le révéler à l’autre qui le partage ;
Mais on ignore qu’il le partage.
Ouvrir son cœur et dire ce que l’on a écrit ;
Attendre une réaction de chaleur faute de bonheur ;
Craindre une rébellion de l’autre ;
Avoir peur d’avoir mal compris.
Parler et oser dire que ce l’on a écrit ;
S’apercevoir que l’on avait mal compris :
Se renfermer et ne plus jamais rêver :
Ne vivre que pour s’exprimer."
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
7 juin 2005
"Improbable rencontre
Improbable rencontre
Les secrets se libèrent
L’avenir change
Les rêves se mélangent
Les espoirs se partagent
Sans nuage ni grimage
La même lucidité
La même continuité
Les cœurs se trouvent
Les portes s’ouvrent
Dame Nature fait son travail
Et organise ces retrouvailles
Les esprits se touchent
Les mots sortent de leurs bouches
Les yeux trouvent un reflet
De tout ce qu’ils cherchaient
Les mains se tiennent
Jusqu’à ce que la mort vienne"
Bon, j'en ai encore bcp, mais je m'arrête ici pour aujourd'hui, histoire de ne pas vous rendre trop malade! ;)
"Improbable rencontre
Improbable rencontre
Les secrets se libèrent
L’avenir change
Les rêves se mélangent
Les espoirs se partagent
Sans nuage ni grimage
La même lucidité
La même continuité
Les cœurs se trouvent
Les portes s’ouvrent
Dame Nature fait son travail
Et organise ces retrouvailles
Les esprits se touchent
Les mots sortent de leurs bouches
Les yeux trouvent un reflet
De tout ce qu’ils cherchaient
Les mains se tiennent
Jusqu’à ce que la mort vienne"
Bon, j'en ai encore bcp, mais je m'arrête ici pour aujourd'hui, histoire de ne pas vous rendre trop malade! ;)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Pas mal le texte avec pour contrainte l'alphabet.
Faire quelque chose avec une telle obligation est légèrement impossible...
Sinon il est vrai que tes textes sont plutôt gentil, personnellement j'avais cru que le texte de Mandragore aurait mal finit.
Mais c'est sans doute moi ai un style différent... :mrgreen:
Faire quelque chose avec une telle obligation est légèrement impossible...
Sinon il est vrai que tes textes sont plutôt gentil, personnellement j'avais cru que le texte de Mandragore aurait mal finit.
Mais c'est sans doute moi ai un style différent... :mrgreen:
Page 1 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Sujets similaires
» Le grimoire du n'importe quoi !
» Sorti du placard
» la galerie du vieux crayon
» l' atelier du vieux crayon
» la seconde pasion du vieux crayon
» Sorti du placard
» la galerie du vieux crayon
» l' atelier du vieux crayon
» la seconde pasion du vieux crayon
Page 1 sur 6
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum