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Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
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Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Pour être moins fleur bleue! lol. je poste également en lecture seule. ms vous pouvez tjs laisser des comms ici! ;) bonne lecture les jeunes!
"La nuit n’avait jamais été aussi noire et aussi froide.
Les branches des arbres s’agitaient sous l’emprise du vent, ce vent qui vous transperce le corps.
Elle avançait serrant son châle contre sa poitrine. Une mèche de ses cheveux s’était échappée de sa prison et fouettait son visage blanc, tranché par un fin filet de sang s’écoulant de sa lèvre inférieur.
Son regard était vide, gris, comme absent.
Ce quelle venait de vivre aurait détruit n’importe quelle âme, même la plus solide…
Ils étaient arrivé dans l’après midi du septième jour du quatrième mois, de la deux milles cent septante et unième année.
C’était un petit garçon du nom de Albert qui Les avait vu entrer dans le petit village. Ils avaient de grands sacs à leur dos, portaient des uniformes militaires verts à bandes jaunes et tenaient dans leurs mains une arme à tir long.
La guerre était terminée depuis trois ans, mais il n’était pas rare de voir encore Ces hommes faire le tour des villes et villages pour s’assurer qu’aucun envahisseur n’avait retrouvé le chemin des habitations.
Personne n’était inquiété de leur visite. Aucun envahisseur n’avait été vu depuis plus d’une année terrestre, et aucune attaque d’aucune sorte n’avait plus jamais eu lieu à des km à la ronde.
Leur première victime était un vieil homme, Joseph, qui vivait seul dans la maison qu’il avait héritée de son père, trente années auparavant. Il faisait sa toilette quand Ils ont commencé à piller son jardin. L’un d’entre Eux était entré dans la maison pour y prendre ce qu’il y avait de plus précieux. Les objets rares étaient pris dans de grands sacs, tandis que les babioles, objets de famille ou non, étaient jetées contre les murs.
Le fracas avait attiré Joseph, qui était descendu prudemment dans son salon pour se retrouver nez à nez avec le voleur. La vaisselle ne ressemblait plus qu’à un tas de plâtres brisés, Il avait entendu les pas de Joseph dans l’escalier et s’était préparé à l’accueillir avec son arme.
Le vieil homme avait voulu lui parler, le supplier, mais c’était trop tard. Déjà un trou trônait au milieu de son front. Le sang s’écoulait tant par l’avant que par l’arrière. Le sol était déjà recouvert d’une marre avant même que le son n’arrive aux oreilles des voisins du vieil homme.
Betsy, une femme d’un âge incertain travaillait dans son potager quand elle avait entendu la détonation…. Et au lieu de fuir comme n’importe qui l’aurait fait, elle avait voulu jouer les héros ; armée de sa fourche. En quelques secondes, le plan qu’elle venait de faire en tête tombait à l’eau…. La tête avec…. Tranché par la lame d’un militaire.
La tuerie ne faisait que commencer…
Les plus jeunes n’avaient pas le temps de fuir qu’il avait déjà le ventre ouvert, la tête tranchée, les membres brisés et bien d’autres atrocités.
Les plus âgés connaissaient le même et terrible avenir… qui n’en était plus vraiment un… les plus chanceux vivaient, ou survivaient, encore quelques minutes, dix grand maximum.
Les villageois âgés de plu de 12 ans et de moins de quarante ans partaient à la défense du village, les plus courageux tout au moins. Ils prenaient ce qu’ils avaient sous la main pour arme : un plateau en étain pour les assommer tout comme le gourdin, des couteaux de cuisine pour leur trancher la gorge et les éventrer, une bougie pour leur crever les yeux, une outre pour étouffer l’ennemi en lui fourrant dans la bouche.
Malheureusement pour eux, ils n’avaient pas la condition physique des militaires. Ils étaient plus fort, plus rapide, plus souple et arrivaient à esquiver presque toutes les attaques.
C’est alors que celle à qui personne ne pensait faisait son entrée en scène. Elle portait une longue cape en peau de chèvre qui lui cachait le visage et lui arrivait jusqu’aux chevilles. Dans sa main droite elle tenait un bout de bois, une brindille insignifiante, de la longueur de son avant bras. Son extrémité était simplement décoré d’un fin point lumineux, comme si la baguette était traversée par un fil de cuivre… ce qui, en fait, était certainement le cas…
Ils ne l’avaient pas encore repérée… étrangement, sa présence était comme invisible, même pour Eux…
Elle était déjà à moins de deux mètres quand le premier remarquait seulement sa présence. Sans aucune concertation, tous étaient face à elle, le viseur dans sa direction. Ils allaient tirer… leurs doigts étaient sur la gâchette, leurs regards figés glaçaient le sang… et en une fraction de seconde tous étaient dans les airs, leurs sur le sol. Tous, sauf un, le plus fort et le plus âgé. Il restait figé, mais au lieu d’avoir une arme à tir long, il tenait une longue lame travaillée dans un métal qui n’était plus utilisé à cause de sa fragilité à l’air.
Elle restait là, immobile, la baguette dressée contre lui. Son regard le dévisageait, le transperçait, il lui était douloureux, comme s’Il était réellement transpercé par une lame chauffée…
Ils étaient maintenant à quelques centimètres l’un de l’autre, leurs souffles se mélangeaient en une étrange fragrance, celle du souffre que l’on aurait chauffer dans un bain d’essence de lavande.
Le premier coup porté venait de sa lame qu’il venait d’enfoncer dans l’estomac de la jeune fille. Le second arrivait en riposte à ce coup, elle venait de lui enfoncer sa baguette dans son œil, ce qui avait comme conséquence l’écoulement par les yeux, le nez, les oreilles et la bouche du militaire d’une étrange solution jaunâtre, puante et collante. Le point du militaire s’écrasait contre le nez de la jeune fille quand celle-ci soignait sa plaie avec l’aide de sa baguette. Sa lèvre était fendue et le sang coulait, sa cape, arrachée par la violence des coups du militaire.
Les coups tombaient tels des flocons en plein hiver blanc. Le moindre spectateur aurait dit qu’elle allait mourir, et qu’Il allait remporter la victoire et libérer ses collègues de ce ciel qui les emprisonnait.
Et pourtant… en un simple geste, un simple mouvement de poignet, en deux mots prononcés tels un murmure, l’homme se retrouvait au sol, le cœur figé, écrasé dans sa poitrine. Le sang se répandait dans ses poumons et ressortait par la bouche pour finir sur le sol en une marre de sang aux reflets dorés.
Les militaires qui étaient encore dans les airs venaient tout juste de tomber sur le sol, provoquant un lourd fracas. Tous étaient morts, sans raison apparente.
Le village était dévasté, il ne restait plus rien, ni villageois, ni maison, ni bête, plus âme qui vive… rien…
Elle était la seule à être encore en vie, ses dons de sorcière lui avait laissé la vie sauve, mais son cœur était maintenant brisé d’avoir perdu tout ceux qu’elle avait toujours aimé, et qui n’avaient jamais rie mérité d’aussi horrible.
Le corps du petit Albert gisait au pied du grand chêne qui annonçait l’entrée du village. Elle lui faisait un dernier adieu, un dernier baiser sur son front couvert de sang et d’herbe collée. Elle lui faisait une dernière étreinte en repensant encore une dernière fois à ce frère qu’elle aimait tant…"
"La nuit n’avait jamais été aussi noire et aussi froide.
Les branches des arbres s’agitaient sous l’emprise du vent, ce vent qui vous transperce le corps.
Elle avançait serrant son châle contre sa poitrine. Une mèche de ses cheveux s’était échappée de sa prison et fouettait son visage blanc, tranché par un fin filet de sang s’écoulant de sa lèvre inférieur.
Son regard était vide, gris, comme absent.
Ce quelle venait de vivre aurait détruit n’importe quelle âme, même la plus solide…
Ils étaient arrivé dans l’après midi du septième jour du quatrième mois, de la deux milles cent septante et unième année.
C’était un petit garçon du nom de Albert qui Les avait vu entrer dans le petit village. Ils avaient de grands sacs à leur dos, portaient des uniformes militaires verts à bandes jaunes et tenaient dans leurs mains une arme à tir long.
La guerre était terminée depuis trois ans, mais il n’était pas rare de voir encore Ces hommes faire le tour des villes et villages pour s’assurer qu’aucun envahisseur n’avait retrouvé le chemin des habitations.
Personne n’était inquiété de leur visite. Aucun envahisseur n’avait été vu depuis plus d’une année terrestre, et aucune attaque d’aucune sorte n’avait plus jamais eu lieu à des km à la ronde.
Leur première victime était un vieil homme, Joseph, qui vivait seul dans la maison qu’il avait héritée de son père, trente années auparavant. Il faisait sa toilette quand Ils ont commencé à piller son jardin. L’un d’entre Eux était entré dans la maison pour y prendre ce qu’il y avait de plus précieux. Les objets rares étaient pris dans de grands sacs, tandis que les babioles, objets de famille ou non, étaient jetées contre les murs.
Le fracas avait attiré Joseph, qui était descendu prudemment dans son salon pour se retrouver nez à nez avec le voleur. La vaisselle ne ressemblait plus qu’à un tas de plâtres brisés, Il avait entendu les pas de Joseph dans l’escalier et s’était préparé à l’accueillir avec son arme.
Le vieil homme avait voulu lui parler, le supplier, mais c’était trop tard. Déjà un trou trônait au milieu de son front. Le sang s’écoulait tant par l’avant que par l’arrière. Le sol était déjà recouvert d’une marre avant même que le son n’arrive aux oreilles des voisins du vieil homme.
Betsy, une femme d’un âge incertain travaillait dans son potager quand elle avait entendu la détonation…. Et au lieu de fuir comme n’importe qui l’aurait fait, elle avait voulu jouer les héros ; armée de sa fourche. En quelques secondes, le plan qu’elle venait de faire en tête tombait à l’eau…. La tête avec…. Tranché par la lame d’un militaire.
La tuerie ne faisait que commencer…
Les plus jeunes n’avaient pas le temps de fuir qu’il avait déjà le ventre ouvert, la tête tranchée, les membres brisés et bien d’autres atrocités.
Les plus âgés connaissaient le même et terrible avenir… qui n’en était plus vraiment un… les plus chanceux vivaient, ou survivaient, encore quelques minutes, dix grand maximum.
Les villageois âgés de plu de 12 ans et de moins de quarante ans partaient à la défense du village, les plus courageux tout au moins. Ils prenaient ce qu’ils avaient sous la main pour arme : un plateau en étain pour les assommer tout comme le gourdin, des couteaux de cuisine pour leur trancher la gorge et les éventrer, une bougie pour leur crever les yeux, une outre pour étouffer l’ennemi en lui fourrant dans la bouche.
Malheureusement pour eux, ils n’avaient pas la condition physique des militaires. Ils étaient plus fort, plus rapide, plus souple et arrivaient à esquiver presque toutes les attaques.
C’est alors que celle à qui personne ne pensait faisait son entrée en scène. Elle portait une longue cape en peau de chèvre qui lui cachait le visage et lui arrivait jusqu’aux chevilles. Dans sa main droite elle tenait un bout de bois, une brindille insignifiante, de la longueur de son avant bras. Son extrémité était simplement décoré d’un fin point lumineux, comme si la baguette était traversée par un fil de cuivre… ce qui, en fait, était certainement le cas…
Ils ne l’avaient pas encore repérée… étrangement, sa présence était comme invisible, même pour Eux…
Elle était déjà à moins de deux mètres quand le premier remarquait seulement sa présence. Sans aucune concertation, tous étaient face à elle, le viseur dans sa direction. Ils allaient tirer… leurs doigts étaient sur la gâchette, leurs regards figés glaçaient le sang… et en une fraction de seconde tous étaient dans les airs, leurs sur le sol. Tous, sauf un, le plus fort et le plus âgé. Il restait figé, mais au lieu d’avoir une arme à tir long, il tenait une longue lame travaillée dans un métal qui n’était plus utilisé à cause de sa fragilité à l’air.
Elle restait là, immobile, la baguette dressée contre lui. Son regard le dévisageait, le transperçait, il lui était douloureux, comme s’Il était réellement transpercé par une lame chauffée…
Ils étaient maintenant à quelques centimètres l’un de l’autre, leurs souffles se mélangeaient en une étrange fragrance, celle du souffre que l’on aurait chauffer dans un bain d’essence de lavande.
Le premier coup porté venait de sa lame qu’il venait d’enfoncer dans l’estomac de la jeune fille. Le second arrivait en riposte à ce coup, elle venait de lui enfoncer sa baguette dans son œil, ce qui avait comme conséquence l’écoulement par les yeux, le nez, les oreilles et la bouche du militaire d’une étrange solution jaunâtre, puante et collante. Le point du militaire s’écrasait contre le nez de la jeune fille quand celle-ci soignait sa plaie avec l’aide de sa baguette. Sa lèvre était fendue et le sang coulait, sa cape, arrachée par la violence des coups du militaire.
Les coups tombaient tels des flocons en plein hiver blanc. Le moindre spectateur aurait dit qu’elle allait mourir, et qu’Il allait remporter la victoire et libérer ses collègues de ce ciel qui les emprisonnait.
Et pourtant… en un simple geste, un simple mouvement de poignet, en deux mots prononcés tels un murmure, l’homme se retrouvait au sol, le cœur figé, écrasé dans sa poitrine. Le sang se répandait dans ses poumons et ressortait par la bouche pour finir sur le sol en une marre de sang aux reflets dorés.
Les militaires qui étaient encore dans les airs venaient tout juste de tomber sur le sol, provoquant un lourd fracas. Tous étaient morts, sans raison apparente.
Le village était dévasté, il ne restait plus rien, ni villageois, ni maison, ni bête, plus âme qui vive… rien…
Elle était la seule à être encore en vie, ses dons de sorcière lui avait laissé la vie sauve, mais son cœur était maintenant brisé d’avoir perdu tout ceux qu’elle avait toujours aimé, et qui n’avaient jamais rie mérité d’aussi horrible.
Le corps du petit Albert gisait au pied du grand chêne qui annonçait l’entrée du village. Elle lui faisait un dernier adieu, un dernier baiser sur son front couvert de sang et d’herbe collée. Elle lui faisait une dernière étreinte en repensant encore une dernière fois à ce frère qu’elle aimait tant…"
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Je repasse un peu plus tard....... et je critique!
Rackaël- Thor
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Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Ouah t'as respecté ta parole.
Alors le thème je l'aime bien (va savoir pourquoi ?).
Ton style d'écriture me plait aussi.
Comment te démonter ???
Le seul truc que me manque c'est qu'on ne ressent pas les personnages.
On ne voit que ce qu'il se passe...
Alors le thème je l'aime bien (va savoir pourquoi ?).
Ton style d'écriture me plait aussi.
Comment te démonter ???
Le seul truc que me manque c'est qu'on ne ressent pas les personnages.
On ne voit que ce qu'il se passe...
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Merci merci
Ce travail m'a plu!! (hein! vs voyez que je ne fais pas que ds le fleur bleue! lol)
L'errant> en fait, je voulais plus développer, ms g eu peur de trop en faire... lol! je dois encore travailler sur ce genre d'écriture, pr l'améliorer! merci de ta remarque! ;)
Merci à vous tous!
Ce travail m'a plu!! (hein! vs voyez que je ne fais pas que ds le fleur bleue! lol)
L'errant> en fait, je voulais plus développer, ms g eu peur de trop en faire... lol! je dois encore travailler sur ce genre d'écriture, pr l'améliorer! merci de ta remarque! ;)
Merci à vous tous!
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Bon, les jeunes... je viens de poster un lllloooonnng texte en Lecture Seule, ms vous pouvez me laisser vos comms ici! ;) pour m'aider ds mon écriture... et me dire si je dois terminer l'histoire
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
M'en veux po si je met un loooooooooong moment à poster ma critique, mais là t'es partie fort il semblerait!
Rackaël- Thor
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Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
tout pareil, j'ai pas encore lu mais je vais le faire promis !!
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Critique: "La conquête inespérée" ( texte posté dans la partie " lecture seule")
Chapitre 1 à 9:
Alors tout d'abord, je dois préciser que je deteste les fims ou histoires ou les gens se pavannent avec des noms américains à la " Amour , Gloire et Beauté". Ceci étant dit, j'ai eu enormément de mal ( forcément) à accrocher au premier chapitre ( mais bon..... les gouts, les couleurs...).
Etonnement, j'ai englouti les 8 autres chapitres sans remuer la queue avec un filet de bave qui coulait le long de mon menton ( pour plus de précisions, se referer à l'avatar de V2). L'écriture est très agréable, tu ne te noies pas dans des descriptions interminables, tu arrives avec facilité à faire passer des émotions, etc....).
Avec un style pas très éloigné de Barbara Cartland? Des personnages entiers et hormonalement perturbés à la Gerard de Villiers ( dixit Malko Linge.... S.A.S.), tu arrives à faire un mélange inattendu et fort agréable à la lecture.
J'espère donc que tu es parti pour nous pondre un roman sinon je vais pas être content de rester sur mes fins.
Un dernier conseil... vu le soin que tu as pris pour décrire la scène "d'amour" entre deux protagonistes qui ne sont pas les persosnnages principaux, tu as interet à exceller quand tu vas aborder le même genre de scène entre Henry et Elisabeth!!!!
Chapitre 1 à 9:
Alors tout d'abord, je dois préciser que je deteste les fims ou histoires ou les gens se pavannent avec des noms américains à la " Amour , Gloire et Beauté". Ceci étant dit, j'ai eu enormément de mal ( forcément) à accrocher au premier chapitre ( mais bon..... les gouts, les couleurs...).
Etonnement, j'ai englouti les 8 autres chapitres sans remuer la queue avec un filet de bave qui coulait le long de mon menton ( pour plus de précisions, se referer à l'avatar de V2). L'écriture est très agréable, tu ne te noies pas dans des descriptions interminables, tu arrives avec facilité à faire passer des émotions, etc....).
Avec un style pas très éloigné de Barbara Cartland? Des personnages entiers et hormonalement perturbés à la Gerard de Villiers ( dixit Malko Linge.... S.A.S.), tu arrives à faire un mélange inattendu et fort agréable à la lecture.
J'espère donc que tu es parti pour nous pondre un roman sinon je vais pas être content de rester sur mes fins.
Un dernier conseil... vu le soin que tu as pris pour décrire la scène "d'amour" entre deux protagonistes qui ne sont pas les persosnnages principaux, tu as interet à exceller quand tu vas aborder le même genre de scène entre Henry et Elisabeth!!!!
Rackaël- Thor
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Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!
Je suis heureuse de voir que Rack est du même avis que moi ;)
Et je suis entiérement d'accord avec lui en ce qui concerne la fin de l'histoire ,surtout entre Henry et Beth ..........
mais ça tu le savais déjà.
Alors au travail ma p'tite Dame, j'attend la suite :thumright:
Je suis heureuse de voir que Rack est du même avis que moi ;)
Et je suis entiérement d'accord avec lui en ce qui concerne la fin de l'histoire ,surtout entre Henry et Beth ..........
mais ça tu le savais déjà.
Alors au travail ma p'tite Dame, j'attend la suite :thumright:
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Disons que pour augmenter l'intensité des rapports entre ces deux zebres, y'a deux solutions...... soit la description est à la hauteur de ce qu'attends le lecteur ( pour la raison que j'ai cité plus haut), soit tu fais monter la pression entre eux à un point qu'aucune description ne comblera l'attente du lecteur et donc il faudra trouver le moyen de laisser tout le monde sur ses fins!
Rackaël- Thor
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Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Merci merci pour tant de compliments!!! vraiment!!! je ne m'y attendais pas!!! vraiment pas!...
Quant à Barbara Cartland... je n'ai jamais lu aucune ligne écrite de sa main! :D hem...je ne saurais donc dire si cela a un rapport... ms si tu le dis... (hm, j'espère que c pas une insulte! :p)
Quelle pression pour écrire la suite... my god! je ne vais plus en dormir de la nuit!!!! bon, divine, j'aurais peut être besoin de ton aide pour la scène d'amour! mdrrrrrr
La suite au prochain épisode! ;)
ps: rack, il n'y a plus qu'un dernier chapitre... dc, si tu rêves d'un roman... c mal bar! :D
Et encore....
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
pour barbra cartland j'ai quelques bouquin d'elle .. tu les veux ?
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Heu....... hem..... c'est gentil chef....... oui oui.......mais........heu........ mdr
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Aïe...... j'ai peur que deux scènes érotiques aussi rapprochées fasse perdre bcp d'intensité à la seconde!!Mélusine a écrit:
ps: rack, il n'y a plus qu'un dernier chapitre... dc, si tu rêves d'un roman... c mal bar!
Mais bon, la pro du roman chez nous, c'est celle qui ne se prononce pas...... Reveanne?
Rackaël- Thor
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Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Je trouve aussi que c'est foireux! mais je te rassure, le chapitre dix risque d'être long!!! très long!! et peut être que sur ma lancée je vais en ajouter un ou deux... à la base ca ne devait pas prendre une telle longueur!
Donc... normalement, ça ne devrait pas être trop trop proche!
zen!
Vi, Reveanne... ton avis? (les autres aussi donnez le! tous les avis comptent!)
Donc... normalement, ça ne devrait pas être trop trop proche!
zen!
Vi, Reveanne... ton avis? (les autres aussi donnez le! tous les avis comptent!)
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Petites news... 10ème chapitre fini... 11ème chapitre presque fini....
Nouveau personnage... charmant quadra... :D
Je cherche encore la place qu'il doit avoir dans l'histoire... j'ai mon idée mais....lol, je vais y travailler!
Nouveau personnage... charmant quadra... :D
Je cherche encore la place qu'il doit avoir dans l'histoire... j'ai mon idée mais....lol, je vais y travailler!
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Moi aussi j'ai une idée.......... entre Henry et Elisabeth!
Rackaël- Thor
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Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
Rackaël a écrit:Moi aussi j'ai une idée.......... entre Henry et Elisabeth!
Pourquoi pas, histoire de pimenter un peu leur histoire ....mdrrrrrr
Re: Au fond d’un placard… dans un vieux grimoire…
N'oubliez pas de voter pour la suite de l'histoire! vous en êtes aussi les héros! ;)
Rackaël- Thor
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