Ceci est une prévisualisation d'un thème de Hitskin.com
Installer le thème • Retourner sur la fiche du thème
Concours texte
+9
Marix
michamacha
rejah
Kulgrim
v2
beulette
Rackaël
PIL451
Adrenaline
13 participants
Page 4 sur 4
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Re: Concours texte
Ca se lit plutot bien en effet, moi je suis un peu génée par le fait que tu utilises tres souvent "finir par" (conjugué ssous differentes formes mais trop souvent)....Sinon d'accord avec Rack, quelques fautes et ta "sorte de" :D
Sinon t'as voulu nous faire pleurer toi aussi c'est ca hein ???
Sinon t'as voulu nous faire pleurer toi aussi c'est ca hein ???
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
euhhhh si des fois ....
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Récap'
Posté par Adrenaline
Posté par Rackael
Posté par Adrenaline
- Spoiler:
- Une princesse en terre étrangère
Une petite fille courait en riant aux éclats le long des nombreux couloirs d’un palais aux milles reflets. Ces cheveux noir ébène s’emmêlaient et s’entortillaient au fil de sa course. Elle était terriblement gai, et plus encore quand elle entendait la voix de sa nourrice Süheyla l’appeler à tue tête, désespérant de l’attraper avant le bain du soir.
« - Aslihan, mademoiselle, où êtes-vous ? Revenez. Aslihan, il est l’heure de votre toilette, soyez raisonnable. Aslihannnnnn. »
Süheyla avait une patience d’ange avec la jeune princesse qui n’en faisait toujours qu’à sa tête. Elle était douce et tendre avec elle. Elle lui faisait faire des promenades interminables dans les jardins du palais, en lui racontant une histoire sur chacune des fleurs et chacun des animaux rencontrés. Elle passait de longs moments à lui brosser ces superbes cheveux dignes d’une princesse turque.
Süheyla était la nourrice de la princesse, mais aussi un peu une seconde mère, la sienne était bien trop prise par les tâches demandées par le sultan Reshat son père. Aslihan considérait aussi sa nourrice comme sa compagne de jeu, elles ne se quittaient jamais. Mais aujourd’hui Aslihan avait envie de jouer à un autre jeu : faire enrager Süheylan.
Elle courait toujours quand elle percuta quelqu’un.
« - Süheyla ? Comment tu as fait nourrice ?
- Jeune princesse, il est l’heure de votre toilette et ce soir je ne serai pas votre conteuse.
- Qui donc si ce n’est pas toi, nourrice ?
- Vous verrez, c’est une surprise. »
Aslihan soupira et suivi sa nourrice jusqu’au haremlik (1). Une fois la toilette faite avec les eunuques, la sultane vint rejoindre sa fille dans sa chambre. Aslihan trépignât de joie en voyant sa mère passer la porte de sa chambre.
« - Annedjim (2), comme je suis heureuse de vous voir, comme vous me manquez tous les jours. » ,fit la jeune princesse ravie de sa surprise.
«- Ce sera donc vous qui me ferez la lecture ?
- Oui ma belle Aslihan, ce soir je vous fais la lecture. »
La lecture fut douce et agréable à souhait, la jeune princesse adorait être en compagnie de la sultane, c’était comme passer un moment magique, un moment de délices ultimes. Le bonheur pour une petite fille de 9 ans qui ne voyait que très rarement son père ou sa mère.
Le sultan fût mis en place au pouvoir à la suite de la chute de son frère le sultan Abdul Hamid par les Jeunes Turcs. Toutefois le pays restait agité et le sultan avait fort à faire. La sultane le soutenait et l’accompagnait sans cesse et ne pouvait que peu s’occuper de cette jeune princesse.
« - Il est maintenant l’heure de vous endormir, Djijim (3). Que la nuit vous soit douce !
- Merci, la votre aussi, Annedjim. Demain vous me ferez à nouveau la lecture ?
- Pas demain, Djijim, peut être une prochaine fois. »
Aslihan fit la moue malgré le fait que son rang et son âge ne l’y autorisait plus depuis longtemps.
Annedjim lui déposa un baiser sur le front et sortit de la chambre avec la grâce qui la caractérisait dans tout le royaume.
Aslihan ne mit pas longtemps à s’endormir, la petite fille avait tellement couru au travers du palais qu’elle était maintenant épuisée. Elle s’évapora dans de doux rêves baignés dans le souvenir du visage de sa mère.
Au petit matin la princesse fut tirée de son sommeil par une mélodie jouée par une kalfa (4). Une coutume orientale veut que l’on se préserve d’un réveil brutal, car pendant le sommeil l’âme part errer dans d’autres mondes et il est bon de lui laisser le temps de revenir en douceur dans le corps.
La jeune Aslihan se réveillait donc tout en douceur, en ce début de matinée de fin d’hiver. Süheyla vint comme à l’accoutumé pour l’aider à se préparer avant de se rendre dans la grande salle de repas, pour le petit déjeuner.
Une fois prête, elles sortirent toutes les deux et Aslihan racontait avec quel bonheur elle avait écouté l’histoire de la Sultane, la veille.
Un énorme vacarme interrompit son discours. Süheyla regarda par l’une des fenêtres d’où provenait le bruit, la cour intérieure était envahie par les Jeunes Turcs, l’une des ailes du palais était en feu, le bruit se faisait lourd et inquiétant. Süheyla tira la princesse par la manche de son vêtement et la ramena dans le haremlik pour la confier aux eunuques. La nourrice donna quelques ordres à ces derniers afin de protéger la princesse de la révolution qui avait désormais atteint le palais.
« - Nourrice, où pars tu ? Ne me laisse pas. J’ai peur, expliques moi, qui sont ces gens ? Que veulent-ils ?…nourrice … »
Süheyla était déjà partie à la recherche de la sultane, elle devait veiller sur elles deux. Elle avait eu pour ordre du sultan d’emmener la sultane et la princesse en lieux surs dès les premières attaques. Le sultan les redoutait depuis déjà plusieurs semaines. Elles étaient devenues inévitables, et il devrait sans doute mourir.
Süheyla ne tarda pas à arriver devant la pièce qu’affectionnait le plus la sultane, là où elle aimait à penser, à écrire ou lire. La sultane ne s’y trouvait pas.
Pendant que la nourrice de Aslihan continuait ses recherches, les eunuques avaient entreprit de cacher la princesse, mais le groupe des Jeunes Turcs avaient déjà atteint le haremlik et mettaient le feu à tous les rideaux et tissus qu’ils trouvaient, les gens du palais fuyaient en hurlant, les cris et le feu faisaient un bruit atroce. Les murs eux-mêmes tremblaient. Aslihan était terrifiée, emportée par la panique elle échappa à la surveillance des eunuques et s’enfuit par les portes cachées du palais. En très peu de temps la princesse était suffisamment loin du palais pour ne plus entendre le bruit de cette guerre qu’elle ne comprenait pas. Elle se cacha dans un fourré pour essayer de réfléchir à la situation. Que faire ? Où aller ? Elle resta cachée longtemps ne sachant que faire, puis quand la fumée qui s’envolait du palais sembla s’être atténuée, elle repartit en direction de sa demeure, avec comme seule idée en tête : retrouver Annedjim.
Quand elle arriva devant les portes du désastre, l’air sentait mauvais, le silence était revenu mais était encore plus douloureux que le bruit qu’elle avait fuit. Son cœur battait à tout rompre. Elle entra et les sanglots qu’elle retenait depuis son départ finirent par couler sur ses joues. Elle fouilla le palais de fond en comble, ce palais qu’elle connaissait si bien, elle ne reconnaissait plus rien, tout était brulé, saccagé, effondré…les larmes continuaient de glisser le long de son visage dans le plus grand silence.
Elle ne retrouva ni Annedjim, ni Süheyla. Elle erra dans les couloirs pendant des heures, ou peut être bien des jours et fini par le quitter sans savoir où aller. Elle était devenue une étrangère dans son propre pays, plus rien n’y était normal, rien, ni personne……
…
…
…
Une musique douce tira Aslihan de son sommeil.
…
…
…
Encore une nuit à revivre ce cauchemar. Encore une nuit pour ne pas oublier. Encore une nuit où elle ne connaissait ni la paix, ni le repos. Aslihan se réveillait en terre étrangère encore une fois, comme tous les matins depuis 17 ans, depuis cette révolution des Jeunes Turcs qui lui avait volé sa vie, sa famille, son bonheur. Aslihan avait dû fuir Istanbul et avait gagné le Liban. Elle se trouvait aujourd’hui en France. Sa vie était calme et sereine, mais uniquement en journée. Toutes les nuits elle revivait la chute de l’empire Ottoman. Elle avait trouvé refuge ici, sur la terre d’asile, mais resterait toujours une étrangère où qu’elle décide d’aller.
(1) Haremlik : Appartements des femmes, gardés par des eunuques.
(2) Annedjim : Chère et respectée maman
(3) Djijim : « chérie » employé pour les enfants
(4) Kalfas : Dames attachées au service du palais.
Posté par Rackael
- Spoiler:
- Mais que fait la police ?
« - Allez-y, montez ma p’tite dame, restez pas dehors comme ça, sous cette pluie !
- Merci bien, monsieur, je pensais que personne n’allait s’arrêter, les gens n’ont vraiment pas de cœur aujourd’hui.
- Vous pensez bien, la gentillesse est chose rare de nos jours »
Stanislas observait d’un œil discret la superbe rouquine qui s’installait sur le siège passager de sa Chevrolet Camaro. La belle, trempée de la tête aux pieds, venait de déposer sur le siège arrière un petit sac à dos contenant ses effets personnels. Elle n’était vêtue que d’une jupe courte et d’un débardeur léger laissant deviner ses formes généreuses.
« - Oh, merci encore mon bon monsieur, je n’y croyais plus.
- Je m’appelle Stanislas, appelez moi Stan, monsieur ça fait un peu pompeux !
- D’accord Stan, moi c’est Juliette, mais appelez moi Julie.
- C’est pas un prénom américain ça ?
- C’est vrai, ma famille est originaire de France, mais Stanislas non plus je crois ? »
Ils se mirent à rire tous les deux alors que Stan enclenchait la première et se remit en route.
« -Alors Julie, dites-moi un petit peu ce qu’une charmante personne comme vous va faire à Louisville, en pleine nuit sous une pluie battante ?
- Je ne vous ai pas encore dit que j’allais à Louisville !
- Ben vous savez, au départ de Lexington, c’est la seule ville qu’on rencontrera sur cette satanée route avant au moins 70 miles !
- Pourquoi satanée route ?
- Vous n’écoutez donc pas les infos ?
- Vous parlez de ce tueur en série qui a déjà assassiné 18 auto-stoppeurs ?
- C’est tout à fait ça ma p’tite dame !
- Je suis pas trop effrayée, il semble qu’il ne s’en prenne qu’aux hommes, et puis ça m’a toujours excité ces histoires de tueurs en série. »
Stan ne pouvait plus s’empêcher de fixer l’entrejambes de sa passagère et d’imaginer sa main glisser sous le léger tissu de sa jupe. Il sentait monter en lui les mêmes pulsions qui plusieurs fois déjà lui avaient attiré pas mal d’ennuis. Les gouttes de sueur commençaient à perler sur son front, il espérait que sa passagère mettrait ça sur le compte de l’humidité ambiante.
Julie relança le sujet : « - Il paraît même qu’il tranche le sexe de ses victimes avec un couteau de guerre américain, un Camillus je crois.
- C’est exact, vous avez raison ma p’tite dame, pour tout sauf pour ses victimes.
- Ah bon ? A quel niveau ?
- Il ne s’en prend pas qu’aux hommes ma jolie, il a égorgé quelques femmes aussi.
- Mouais, j’ai entendu ça, mais j’y crois pas trop, un tueur en série applique toujours les mêmes méthodes, il a un message à faire passer !
- Vous pensez ? Vous croyez qu’il arrache les couilles de tous ceux qui en ont une plus grosse que lui et qu’il fait taire toutes les femmes qui parlent trop? ».
La remarque de Stanislas ne fît rire que lui. Il avait maintenant une envie incontrôlable de tripoter la belle rouquine, il voulait la posséder, lui faire mal. Depuis plusieurs mois il profitait des actes de ce fameux tueur en série pour laisser libre cour à ses pulsions. Il avait pris soin de s’acheter un poignard identique à celui du tueur, grâce aux médias qui diffusaient l’information en boucle. Il s’en servait pour violer et égorger ses victimes, il se débarrassait ensuite des corps le long de la route de Louisville, à proximité des endroits où la police avait retrouvé les cadavres des autres auto-stoppeurs.. Il était devenu pour sa plus grande satisfaction un copy-cat.
Il repérera au loin un petit sentier qu’il n’avait pas encore fréquenté. La pluie tombait de plus belle et il profita de l’occasion pour glisser à sa future victime : «
- Bon, je crois qu’on va s’arrêter quelques minutes le temps que la pluie se calme, ça devient impossible là !
- Bon ben je vais me fumer une cigarette si ça vous ennuie pas Stan, je crois que j’ai mis le paquet dans mon sac ».
Sur ce, la belle rouquine se retourna pour s’agenouiller sur son siège et attraper ses affaires sur la banquette arrière. La position offrait une vue imprenable sur ses sous-vêtements, une véritable provocation pensa Stan.
Il attrapa sa passagère par la taille et souleva d’un trait le peu de tissus qui voilait encore un peu sa cambrure.
« - Qu’est-ce que vous faites ? Lâchez-moi tout de suite ! » lui hurla Julie.
D’un bond son agresseur se retrouva à genoux derrière elle et tandis qu’il la maintenait par la nuque d’une main, de l’autre il entreprit de dégrafer son pantalon.
Il lui souffla doucement à l’oreille : «
- C’est pas ton jour de chance ma beauté, t’avais raison, c’est moi qui m’occupe des p’tites salopes dans ton genre, les auto-stoppeurs je les laisse pour l’autre *couillon* ! »
Julie tourna péniblement le visage dans sa direction et avec un étrange sourire de satisfaction lui répondit : »
- Qui t’as dit que « l’autre *couillon* » était un mec ? »
D’un geste rapide elle sortit de son sac un magnifique Camillus, fleuron de l’armée américaine pour sa lame teintée de noir anti-reflets. Elle l’enfonça avec violence dans le flanc de Stan. Ce dernier s’écroula sur le siège arborant un regard d’incompréhension. Le coup avait été précis et fatal, Stan sentait le sang jaillir de la plaie et la vie lui glisser entre les doigts.
Julie sortit le corps de sa victime à l’agonie et le traîna sur le bas côté de la route. Elle baissa son caleçon et regarda de nouveau Stan : «
- Ca fait trois mois que j’te cherche grosse *oula ça pue*, t’en as pas marre de saloper tout mon boulot ? », d’une geste sûr elle trancha net la virilité de Stan qui poussa son dernier hurlement.
Après avoir rapidement nettoyé les traces de sang sur le siège, elle alluma une cigarette et tourna le contact de la Chevrolet.
Au bout d’une vingtaine de miles elle aperçu un auto-stoppeur qui lui faisait de grand signes de désespoir pour échapper à la pluie. Elle s’arrêta à sa hauteur et ouvrit la porte passager : «
-Allez y, grimpez, moi c’est Juliette, mais vous pouvez m’appeler Julie ».
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Posté par Menthe
- Spoiler:
- L’Etranger est une espèce fascinante.
Elle ne peut pas être définie objectivement, puisque ce qui est Etranger pour quelqu’un peut être connu pour quelqu’un d’autre. C’est d’ailleurs pour cette raison que chaque personne, chaque être, chaque plante peuplant cette planète est un Etranger pour au moins un individu.
Mais trêve de philosophie géographique; voyons plutôt comment fonctionne cette drôle d’espèce insaisissable.
Tout d’abord, qu’est-ce que l’Etranger?
Le dictionnaire nous révèle qu’il s’agit de « ce qui n’est pas connu ».
Voilà qui a l’avantage de nous plonger tout de suite dans le bain: un Etranger n’est pas connu.
Je tiens à ajouter une précision (il ne faut jamais faire confiance aux dictionnaires, c’est bien connu): dire qu’un Etranger n’est pas connu, c’est faux. Comme dit plus haut, il est tout à fait envisageable qu’une personne que vous-même ne connaîtriez pas (et qui fait donc partie, à vos yeux, de l’espèce des Etrangers), soit connue par d’autres personnes. Un Etranger n’est donc en fait que partiellement un inconnu, puisque quelque part dans le monde, une personne au moins le connaît. Mais j’ai comme l’impression que tout ceci ne nous mène nulle part; continuons donc l’analyse sociologique de cette espèce magnifique qu’est l’Etranger.
Présentation de l’Etranger
Question difficile!
Dans quelle catégorie se classe l’Etranger? Comment le reconnaît-on?
Je précise avant tout que dans toute l’analyse qui va suivre, nous n’envisagerons l’Etranger que sous son aspect strictement humain; les animaux et les plantes n’ont qu’à aller se rhabiller.
Bon, donc: il faut tout d’abord savoir que l’Etranger est un mammifère domestique vertébré dont il existe un grand nombre d’individus aux caractéristiques très variées.
L’Etranger est omnivore, c’est-à-dire qu’il mange de tout; cependant, nous verrons plus loin que certaines sortes d’Etrangers ont adopté des mœurs alimentaires particulières; plusieurs plats sont ainsi devenus de véritables ennemis pour certains Etrangers, qui les regardent d'un oeil suspicieux. Mais ce sujet sera abordé plus tard (à moins que, dans votre infinie patience, vous vous disiez que ce gros pâté de texte est embêtant à lire et que vous sautiez directement au paragraphe qui traite de l'alimentation...)
Mais je m’étale, je m’étale, ce n’est pas sérieux. Continuons.
Chiffres
On compte plus de 6 Milliards d’Etrangers sur Terre.
Ne vous étonnez pas de ce chiffre mirobolant, il est bel et bien véridique, puisque comme je vous l’ai déjà dit plus haut, on est toujours l’Etranger de quelqu’un!
Donc il y a autant d’Etrangers que d’êtres humains. Et vous en faites partie! Oui vous, vous qui vous connaissez si bien, qui vivez avec vous-même jour et nuit, vous êtes aussi un Etranger pour au moins une personne sur Terre. Dur à croire, hein? Eh ben si.
Donc, reprenons; plus de 6 Milliards d’Etrangers sur Terre, installés à peu près partout du moment qu’il y a un endroit où planter la tente. Le froid hivernal et la chaleur étouffante qu’on connaît à certains points du globe ne les effraient pas, les Etrangers ont la peau dure!
Caractéristiques physiques
Ah,voilà un paragraphe intéressant! Comment diable reconnaît-on un Etranger?
Eh bien, voici les principales caractéristiques physiques de cette espèce bizarroïde: tout d’abord, il faut savoir que l’Etranger passe par trois stades de vie; l’enfance/adolescence de 0 à 18 ans, l’adultère… euh, le stade adulte de 18 à 60 ans; et l’âge d’or à partir de 60 ans.
Ce panel d’âges est une généralisation, et bien entendu, ne s’applique pas à tous les Etrangers.
Ensuite, nous pouvons dire que l’Etranger a 32 dents à l’âge adulte (s’il n’en a pas perdu quelques-unes dans une bagarre, un match de rugby ou une gamelle digne de Diveo Gag).
L’Etranger a (en moyenne) 10 doigts, 5 pour chaque main (oui, parce que de façon générale, l’Etranger a deux mains). L’Etranger a également 10 orteils, 5 pour chaque pied (donc deux pieds au total, suivez un peu, nordel de bouille!)
L’Etranger possède un tronc, deux jambes, deux bras, un cou et une tête (ici encore, il s’agit d’une généralisation).
Là où cette espèce devient intéressante, c’est sur le fait que la forme, la taille, la couleur et l’odeur de tout ce que nous venons de décrire (les mains, les pieds, etc.) varient en fonction de chaque individu!
Cela donne un nombre de combinaisons affolant, à côté duquel le Rubik’s Cube n’est qu’une immonde petite larve insignifiante.
Elevage
L’Etranger a tendance à ne pas supporter la promiscuité; il n’aime pas qu’on le mette en cage, même lorsqu’il l’a mérité; il n’aime pas non plus se retrouver dans un transport en commun plein à craquer, et développe dans cette situation son caractère sadique en s’amusant à écraser un maximum de pieds tout en regardant innocemment en l’air pour ne pas être accusé. Un vrai chiant.
L’Etranger déteste vraiment être collé à d’autres Etrangers (bizarre, cette espèce qui ne se supporte pas elle-même). Ainsi, quand il se retrouve piégé au milieu d’une grande foule agressive, l’Etranger sort son arme de défense: les coudes. Donnant des coups de tous les côtés, enfonçant ses coudes dans les côtes qui se trouvent à côté de lui,balançant des coups de pieds quand il en a l’occasion, l’Etranger finit toujours par sortir à peu près intact de la foule, qui elle par contre, est à présent pleine de bleus, de bosses et de nez qui saignent. Le monde sauvage des Etrangers est décidément sans pitié.
Ce qu’il faut connaître également, c’est le caractère complètement masochiste de l’Etranger; en effet, nous venons de voir qu’en cas d’agglutination, l’Etranger pouvait devenir agressif (surtout si l’un de ses voisins pue de sous les bras, comme on en rencontre souvent dans le métro); et cependant, malgré cela, l’Etranger adore se coller au maximum contre son voisin (allant presque jusqu’à l’étouffer) dans les queues de supermarchés!
Que peut-il donc bien se passer dans la tête de l’Etranger pour qu’il prenne tant de plaisir à avoir un caractère presque suicidaire..?
Et dernier point de ce paragraphe, mais non des moindres: l’Etranger ne supporte pas les guili-guili sous les pieds. Il y réagit très, très mal.
Alimentation
L’Etranger a des habitudes alimentaires diversifiées, mais cependant on retrouve quelques points communs entre elles.
Certains Etrangers ne mangent jamais de porc, d’autres ne mangent que kascher, d’autres ne mangent jamais aucune viande (quelle qu’elle soit), certains ne mangent absolument que des légumes et végétaux… Bref, tout cela est très diversifié.
Cependant, on retrouve quelques points communs entre les habitudes alimentaires des Etrangers en général: un dégoût profond pour l’horrible choucroute par exemple. Certains emploient même des arguments choc pour expliquer leur dégoût: « Ca fait péter ».
Il y a également une certaine répugnance envers les choux de Bruxelles et des haricots verts (notamment chez les Etrangers enfants).
L’Etranger est de nature assez fière, et aura tendance à aimer manger des petits plats qui viennent de chez lui. Ainsi, un Etranger Français préférera plutôt un bon cassoulet qu’une bonne choucroute (même si les deux font péter), et un Etranger Espagnol choisira plutôt une paëlla qu’un plat d’escargots.
Besoins
L’Etranger éprouve des besoins spécifiques tout au long de la vie. Quotidiennement, il demande à satisfaire ses envies pipi-popo sur des WC, propres si possible. La douche quotidienne est également importante, mais pas vitale.
L’Etranger éprouvera aussi le besoin, au fil du temps, d’éprouver des sentiments particuliers: l’amitié, l’amour et le bonheur. Un vrai petit idéaliste!
De façon générale, l’Etranger arrive à assembler ces trois sentiments. Il arrive cependant que l’un des trois manque, ou bien que deux manquent, ou bien que l’Etranger n’en cumule aucun des trois. Mais dans ce dernier cas, l’explication doit sûrement venir que ledit Etranger est en fait un gros couillon égoïste (Quoique dans certains cas, même les gros couillons égoïstes trouvent leur bonheur).
Reproduction
L’Etranger se reproduit. Une véritable horreur.
La gestation de l’Etranger femelle (appelée couramment Etrangère) dure 9 mois en moyenne.
On peut constater différents cas de figure lors de l’arrivée de la cigogne après les neuf mois: en effet, il peut arriver que l’animal amène plus d’un seul bébé Etranger!
On assiste alors à l’arrivé de deux bébés (des jumeaux), trois (triplés), quatre (quadruplés), cinq (quintuplés), six (sextuplés), sept (des nains)… Impossible d’aller plus loin que sept: au-delà, la cigogne finit toujours par s’écraser lamentablement juste après le décollage, car le colis est trop lourd.
Conclusion
L’Etranger est décidément une espèce fascinante, composée d’une multitude d’individus tous aussi différents les uns des autres. On trouve tout de même quelques rares cas où à peu près tous les individus sont d’accord (pour dire que le forum Vikings est le plus meilleur des forums de dessineux, par exemple). Autrement, les loisirs, passe-temps et autres occupations diffèrent de l’un à l’autre des Etrangers.
Une espèce à protéger !
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Posté par Kulgrim
- Spoiler:
- Eternelle étrangère
Elle entra dans le village dès les premières lueurs du jour. Le cœur léger elle progressait entre les huttes de bois, heureuse de retrouver un semblant de civilisation. La cité s’éveillait doucement, les autochtones vaquaient déjà à leurs occupations matinales.
Malgré ses réticences, elle avait fini par apprécier ce peuple, si différent du sien, du moins en apparence, avec sa couleur anormale, ses langues aux sonorités étranges et contrastées, composées d’un mélange de grognements, de claquements mais aussi de syllabes fluides et douces. Ses compatriotes les jugeaient sous développés, après tout ils n’avaient même pas inventé la poudre, ni même la roue. Elle par contre avait discerné tout le savoir et toutes les richesses de leur culture. Ils étaient en harmonie avec leur environnement. Après tout qui a besoin de roues quand il vit dans une forêt si dense qu’il est impossible d’y frayer des chemins? En les observant, elle avait fini par être convaincu qu’ils étaient aussi évolués que son peuple, si ce n’est plus. C’est d’ailleurs parce qu’elle avait osé déclarer cet état de fait qu’elle avait été bannie par les siens.
Tu parles d’une civilisation évoluée ! Chassée juste pour avoir exprimé une idée contraire au diktat et avoir tenter d’empêcher un acte que ma conscience n’aurait pas supporté.
Depuis quelques mois elle travaillait comme cuisinière dans un camp de colons à la lisère de la forêt. Tout allait pour le mieux dans sa vie, elle s’entendait bien avec les autres membres de sa brigade, le travail n’était pas trop pénible et quelques-uns des jeunes soldats lui faisaient la cour avec plus ou moins de finesse et d’élégance. Mais tout avait changé l’avant-veille, quand les gardes de la patrouille avaient capturé un indigène aux alentours du campement. Voyant qu’il allait être exécuté sans autre forme de procès elle s’était jetée devant lui pour le défendre.
Encore une brillante idée … lui il est quand même mort et toi tu te retrouves à la rue. Tu ne pouvais pas rester sagement en arrière comme tout le monde non ?
Depuis lors elle avait erré dans la forêt en cherchant à retrouver le lieu de vie des indigènes qui peuplaient le cœur de la forêt. Et visiblement elle avait réussi.
Alors que ses pensées défilaient dans sa tête, elle continuait d’avancer dans l’enceinte du village… qui finalement n’était pas tant un village qu’une cité aux proportions démesurées. La ville était construite dans la forêt elle-même ce qui l’empêchait d’avoir une vision d’ensemble. Elle progressait tranquillement au travers de différents espaces successifs séparés par d’épaisses frondaisons broussailleuses et arbustives. Au fur et à mesure qu’elle cheminait dans la ville, le paysage architectural se modifia, passant de la simple cabane en bois à de magnifiques constructions en pierres taillées.
Soudain des indigènes portant des tenues étrangement colorées se postèrent devant elle, lui barrant le passage. Un rapide coup d’œil à ces nouveaux venus suffit à lui faire comprendre la raison de leur présence. Elle était chez eux et elle n’avait rien à y faire. Il faut dire aussi que leurs armes et leurs regards inquisiteurs facilitaient grandement l’accès à cette conclusion. Le plus bariolé du groupe s’avança vers elle et commença à débiter un flot de paroles incompréhensibles. Devant son air hagard il finit par se taire et lui fit signe de les suivre. Encadrée par sa nouvelle escorte, elle chemina à travers la ville-nature. Malgré sa situation somme toute peu enviable, elle continuait de s’émerveiller devant les talents d’architecte de ce peuple. Le style des bâtiments ne ressemblait à rien de ce qu’elle avait pu rencontrer chez elle.
Ils finirent par entrer dans un grand bâtiment en pierre grise. Les gardes la menèrent au travers de larges couloirs régulièrement éclairés par des ouvertures donnant sur une sorte de place. Elle essaya de garder en mémoire le parcours depuis l’entrée mais elle perdit vite le fil à force de détours. Ils s’immobilisèrent devant une porte et le chef des gardes frappa. En réponse une voix stridente retentit de l’autre coté. Elle fut conduite sans ménagement à l’intérieur de la pièce. Au centre se tenait un homme d’un certain âge, assis derrière une sorte bureau, bureau qui était le seul meuble de la salle. Elle resta debout à l’écart pendant que les guerriers discutaient avec le vieil homme. Bien qu’elle ne comprit rien à ce qui se disait, le sujet de discussion n’était pas très dur à deviner. L’homme n’arrêtait pas de lui jeter des coups d’œil en coin, ce qui ne fit qu’accélérer la montée du malaise qui sommeillait en elle jusque là. Toutes les histoires horribles qu’elle avait entendues sur les indigènes lui revinrent en mémoire. Des histoires de viol, de massacre, de cannibalisme, de sacrifice humain, … La peur la dévora alors, jusqu'à se transformer en terreur. Malgré tous les efforts qu’elle faisait pour garder un minimum de dignité, elle ne put retenir une larme qui coula le long de sa joue ; détail qui n’échappa pas au vieillard. Il se leva et s’approcha doucement d’elle, une main dans sa longue robe blanche. Refusant d’avouer sa faiblesse elle garda la tête haute et ne le lâcha pas du regard, ses yeux plongés dans les siens. Elle aurait voulu effacer la trace de sa défaillance qui mouillait encore sa joue mais ses bras refusèrent de lui obéir et de bouger. Lorsqu’il ne fut plus qu’a un mètre d’elle, il sortit un objet de sa toge. Ne sachant à quoi s’attendre et redoutant le pire elle ferma les yeux, se préparant à recevoir un coup de couteau. Malgré elle, elle ne put s’empêcher de jouer la scène dans sa tête, le vieillard se rapprochant d’elle, sortant une lame acérée et lui enfonçant dans le ventre. Mais une sensation inattendue de douceur sur sa joue la ramena à la réalité. L’homme avait juste sorti un mouchoir pour essuyer ses larmes. Elle ressentit d’un coup tout le ridicule et toute la honte de la situation. Elle le remercia de façon presque inaudible en se disant que de toute façon il ne comprendrait rien à ce qu’elle pourrait raconter. Le vieil homme lui rendit quand même un sourire avant de retourner s'asseoir à son bureau. Il finit de s’entretenir avec les soldats puis ceux-ci revinrent vers elle et l’amenèrent hors de la pièce. Ils traversèrent une nouvelle fois le gigantesque bâtiment. A sa grande surprise ils commencèrent à monter l’escalier de pierres qui faisaient face au Hall d’entrée. Elle prit ça comme un bon signe, généralement on descend pour se rendre dans les cachots et les prisons. En effet ils n’entrèrent pas dans une cellule sordide mais dans une grande chambre luxueusement équipée. Un grand lit occupait l’espace à droite, deux tables étaient disposées sur la gauche. Une porte entrouverte se trouvait en face de l’entrée principale. Les gardes la laissèrent là et s’en allèrent, refermant la porte derrière eux. Elle fixa l’ouverture en face d’elle, se demandant à qui appartenait cette chambre, et surtout pourquoi elle avait été amenée ici. Enfin … elle avait bien une idée du pourquoi. La sensation de malaise revint aussitôt s’emparer de son esprit. Certes elle ne croupissait pas dans un trou humide, mais sa situation n’avait rien de plus enviable … devenir l’amante d’une personne qu’elle ne connaissait pas. Le temps passa et aucun signe d’une activité quelconque dans la deuxième partie de la chambre, à part un bruit d’eau. Elle décida d’aller voir de quoi il retournait. Elle entra dans une salle en pierre blanche, à ciel ouvert, tapissée de végétation, avec une fontaine surplombant un bassin central.
On frappa alors à la porte. Un jeune homme avec un plateau couvert. Il le déposa sur l’une des tables avant de repartir, le tout sans un mot. Intriguée, elle s’approcha et ôta le couvercle du plateau. Elle découvrit ainsi une abondance de fruits variés aussi intrigants les uns que les autres. Son ventre se rappela alors à son bon souvenir et elle dévora l'ensemble du contenu du plateau.
Ensuite elle décida qu'une sieste ne lui ferait pas de mal. Au moins dans ses rêves peut être qu'elle oublierait qu'elle était loin de chez elle, captive d'un peuple dont elle ne connaissait rien de la langue et sans doute vouée à finir comme nouvelle femme d'un notable. A peine fut-elle allongée qu'elle s'assoupit, accablée par le contre coup des émotions qu'elle avait endurées les deux derniers jours.
Lorsqu'elle émergea de son sommeil la nuit commençait à s'étendre au-dessus d'elle. Elle refit le tour de la chambre, désespérément vide de toute activité. Après avoir traversé la jungle seule, elle ressentait désormais une puissante envie de se mêler à autres, de se sentir entourée, ne serait ce que par des inconnus.
La nuit passa sans que personne ne la rejoigne dans la chambre. Personne non plus les jours et les soirs suivants, mis à part le serviteur qui lui apportait régulièrement de quoi se nourrir et se vêtir. Au bout de quatre jours elle décida d'aller à la porte pour essayer d'appeler un garde un serviteur ou n'importe qui d'autre. Finalement, à force de s'époumoner et de taper sur les battants, elle entendit quelqu'un faire jouer le mécanisme d'ouverture. C'était le vieillard qui l'avait reçu dans son bureau le premier jour. Son visage était inexpressif mais elle put deviner dans son regard de la gentill…
Une déflagration la tira de ses songes. Ça faisait douze ans maintenant qu'elle vivait au sein du peuple natif. Elle avait eu du mal à s'intégrer au début, surtout à cause de la barrière de la langue. Mais une fois l'apprentissage linguistique effectué, elle avait réussi à gagner le respect de son nouveau peuple. Elle c'était unie avec le chef de la garde de la cité, celui là même qui l'avait arrêtée. Elle avait fondé une famille et sa vie avait trouvé un sens parmi ces gens. Une deuxième déflagration. Elle regarda autour d'elle. La nuit rougeoyait à présent. Mais l'aube était encore loin. La forêt flambait autour et dans la cité. La fumée rampait dans les rues, étendant son emprise. Les gens couraient dans tous les sens. Les corps s'étendaient par dizaines sur la place. Elle regarda ses mains, couvertes de son propre sang. Allongée sur les pavés elle pouvait voir les colons progresser fusil à la main. Elle n'avait pas su les empêcher de venir, ni même préparer son peuple adoptif à les repousser. Maintenant elle se vidait de son sang, tout comme le reste de la garde. Sa seule satisfaction est d'avoir réussi à convaincre les anciens de faire partir les enfants et les nourrices au cœur de la forêt. Mais ça n'était qu'une demi-victoire, elle savait qu'ils ne survivraient pas tous. Les colons allaient les suivre, la forêt regorgeait de prédateurs, les provisions allaient vite manquer,... Au final elle n'avait fait que retarder l'inévitable. Mais au moins ils auraient une chance. Le sang battait de moins en moins fort dans ses oreilles. La douleur la quittait désormais. Le silence se fit au milieu de l'enfer et elle mourut assassinée par la civilisation qui l'avait exclue.
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Je rappele aux ecriveux qu'ils doivent choisir leur dessineux pour la suite du concours......
Merci de faire part de votre choix ci dessous .....
Merci de faire part de votre choix ci dessous .....
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Erratum.
Petit Edit sur le sondage mis en place, en fait le sondage ne débutera qu'une fois les dessins postés, je vous rappelle que c'est un travail de binome. Je vous invite à contacter par MP les dessineux que vous aimeriez voir illutrer votre texte histoire de mettre un peu de suspens. Si un Viking lettré ne trouve aucun barbare qui fait des dessins qu'il le dise directement ici, on trouvera bien une solution.
Petit Edit sur le sondage mis en place, en fait le sondage ne débutera qu'une fois les dessins postés, je vous rappelle que c'est un travail de binome. Je vous invite à contacter par MP les dessineux que vous aimeriez voir illutrer votre texte histoire de mettre un peu de suspens. Si un Viking lettré ne trouve aucun barbare qui fait des dessins qu'il le dise directement ici, on trouvera bien une solution.
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Concours texte
Premier binome: Texte Rack, Illust Pil .
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Concours texte
wouéééé c'est mon premier binome...j'suis tout emoustillé...alors j'emmenage quand chez vous ?
Re: Concours texte
deuxieme binome : Texte Adré , Illu Lunaway
Adrenaline- Boucs sacrés
-
Nombre de messages : 1515
Age : 51
Localisation : Jamais tres loin
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: Concours texte
Ca sent la partie à 4.
Reste Kulgrim et son binome et Menthe et le sien.
Reste Kulgrim et son binome et Menthe et le sien.
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Concours texte
Petit rappel:
On attends toujours le nom du binome de Kulgrim et Menthe, et les participations Illustration de Pil ( ouais, je sais c'est en cours) et de Lunaway en binome avec Adré.
Allez Barbares.... on se motive.
On attends toujours le nom du binome de Kulgrim et Menthe, et les participations Illustration de Pil ( ouais, je sais c'est en cours) et de Lunaway en binome avec Adré.
Allez Barbares.... on se motive.
Rackaël- Thor
-
Nombre de messages : 4518
Age : 51
Localisation : Dans la nuit...... je veille!
Art de prédilection : Esclave
Loisirs : Tuer des gens, violer des animaux et cueillir des fleurs.
Date d'inscription : 08/10/2006
Re: Concours texte
Mesdames et messieurs,
Ladies & gentlemen,
meine Herren und damen...
...j'ai l'honneur de vous poster ma première illustration d'après un texte que je n'ai pas écris... (voui...en fait c'est Rackael qui l'a écrit)...
Voici donc : Mais que fait la police ?
Ladies & gentlemen,
meine Herren und damen...
...j'ai l'honneur de vous poster ma première illustration d'après un texte que je n'ai pas écris... (voui...en fait c'est Rackael qui l'a écrit)...
Voici donc : Mais que fait la police ?
Re: Concours texte
Ah oui tiens j'ai oublié de dire que j'ai proposé à Nanou d'illustrer mon texte et qu'a priori elle est d'accord...
Voilà, sauf événement de dernier moment j'ai trouvé mon binôme =D
Voilà, sauf événement de dernier moment j'ai trouvé mon binôme =D
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Page 4 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum