v2 textes & scénars

Voici un sujet d'école.. il fallait créer un séquence d'une journée d'un agent secret, type James Bond, en lui changeant le nom, donner un titre provisoire à la bd, écrire le découpage de facon normalisé


Séquence d’une journée d’un agent secret

La tueuse qui m’aimait

Planche 1 :

Case 1 :
Large case bande complète
Dans une chambre d’hôtel. Vu en légère plongée sur le lit.
On y voit Logan et une femme blonde en train de dormir.

Case 2 :
Petite case 1/3 de bande
Gros plan sur Logan. Il ouvre grand les yeux, comme choqué.

Case 3 :
Case sur les 2/3 restant de la bande
Plan légèrement plus éloigné que la case 2
On y voit les visages des 2 protagonistes. La femme dort la bouche ouverte devant le nez de Logan.
Logan en pensée : « Oh c’est infecte !»
La femme dort toujours.

Case 4 :
Case haute, utiliser la hauteur restante de la page.
On y voit Logan de dos sous la douche en plan américain.
Logan en pensée : « Sympa cette petite. Penser à lui laisser une rose sur le lit »

Case 5 :
La case est la moitié de la hauteur de la précédente. Des notes de musiques survolent la case.
On y voit Logan qui répond au téléphone sous la douche : « Logan ! »

Case 6 :
Même taille que la case 5. On voit le visage de Z dans son bureau.
Z : « Logan c’est Z. Venez vite au bureau »
Logan : « Je fais au plus vite. »













Planche 2 :

Case 1 :
Case moitié de bande. Vu de face. On voit Logan dans un costard décontract sortir de l’hôtel.
Logan : « un petit café… »

Case 2 :
Même taille de case. On voit Logan un journal à la main et le café fumant.
Logan : « Une femme blonde, recherchée. Meurtre en série dans des hôtels de ville… Eh beh, on est plus à l’abri. »

Case 3 :
Case large, tout une bande. C’est le bureau de Money Money.
Money : « Bonne soirée Monsieur Logan ? »
Logan : « Un jour viendra où se sera la votre ! »
Money : « Monsieur Logan… vous me faites rougir.. »

Case 4 :
Z dans son bureau, Logan vient d’y entrer. Vu du fond du bureau vers la baie vitrée. On aperçoit un bout du bureau de Z et les deux protagonistes.
Z : « Logan, une menace d’ordre international, se débarrasse depuis quelques jours de nos meilleurs agents. Je préfère vous garder en vie, vous êtes relevé de vos fonctions ! »
Logan : « Non mais ça va pas ? J’ai bravé tous les dangers dans tous les pays du monde. Serait ce l’histoire de cette femme dont parlent tous les journaux ? »
Z : « Oui »
Logan : « Je m’en charge Z. Les femmes, ma plus grande spécialité ! »
Z : « Ne vous faites pas avoir Logan, vous êtes le meilleur... »

Case 5 :
Logan de dos, la tête vers le lecteur. Le sourire aux lèvres.
Logan : « Je sais »

Il façon de parler très "Jamesbondienne" ton Logan.

je suis pas fana du pseudo Z

Cartman a écrit:Il façon de parler très "Jamesbondienne" ton Logan.

normal ! as tu lu la phrase que j'ai écrite juste avant le scénar ?? c'est un agent secret type James Bond..

papybic a écrit:je suis pas fana du pseudo Z

Mon boulot n'était pas de trouver un nouveau nom à chaque perso.. par contre Z est bien dans les James Bond..

en résumé..
Avez vous lu le texte ? ou vous êtes vous arrêté à tout sauf au texte ?

ormal ! as tu lu la phrase que j'ai écrite juste avant le scénar ?? c'est un agent secret type James Bond..

Je sais mais trop c'est trop. lol

ok,mais t'aurais quand même pu faire un effort^^

Nan mais le truc même si t'avais prévenue, là c'était tellement "too much" que j'étais plié en 4.

vous avez aussi lu le règlement ?

interdit de se foutre de la gueule de quelqu'un sur le forum..

dernier avertissment.. désolé..

si ca ne vous plait pas n'intervenez pas, ce sera le plus simple..

cloture de la discussio.. tout post supplémentaire n'ayant pas rapport avec le sujet de la galerie sera effacé..

j pense pas qu ils se foutent de ta gueule tu t embrouille pour rien je trouve :/
cela mis a part je pense qu a la place de vous etes le meilleur tu pourrai mettre meilleur element ca rappelle sa fonction et fait un peu moins leche ... le debut avec la bouche ouverte cole pas trop avec son attention de lui deposer une rose sinon ben pour un taf de cours c pas trop mal reflechi bien a tes plans si c pour un story pense bien a tes mouvements de camera c un peu trop figé je trouve manque de traveling, zoom in out bref si c un truc d agent secret j accenturai le dynamisme voilou ^

larian a écrit:cela mis a part je pense qu a la place de vous etes le meilleur

vous êtes le meilleur est mis volontairement pour accentuer le "Je sais" qui suit..

larian a écrit:jsi c pour un story pense bien a tes mouvements de camera c un peu trop figé je trouve manque de traveling,

c'est pas faux..

quel nom me suggérez vous pour l'agent secret ?

Moi Logan j'aime bien, ça me fait penser à Gab Logan de Syphon Filter.

ca ne fait pas très agent british "Logan"..

Pas faux, mon héros british préféré est Sean Dillon si peut t'inspirer.

CURTIS DEMPSEY...

j'ai eu 15/20

Coooool !
bonne note ça !

et tu as retenu quel nom finalement ?

j'avais déjà envoyé.. mais c'est au cas où y aune suite sur ce devoir il est possible que je change le nom..

Biographie

René Goscinny, l’homme à l’humour sans limite, l’homme qui ne connaît pas le syndrome de la page blanche. Le révolutionnaire de la bd humoristique a créé un nouveau genre, un de ceux qui n’est pas prêt de s’éteindre.
Il est né en 1926 en France et s’exile en Argentine avant ses deux ans pour suivre son père qui part travailler dans ce pays d’Amérique du Sud. Son destin vient de commencer, car quand lui part dans ce pays éloigné, toute sa famille périt dans les feux de la guerre aux juifs.
En 1938, sa « carrière » artistique commence, il recopie entièrement l’album des Pieds-Nickelés, puis deux ans plus tard il exécute les dictateurs du moment dans un petit carnet à dessin ; René G. n’a pas commencé comme scénariste mais bien comme dessinateur. Ensuite, en 1944, il sera aide-comptable puis assistant dessinateur. Il publiera pour la première fois dans le journal du lycée de Buenos Aires. Cette même année, il part pour New York où il trouve un petit boulot de traducteur. A la fin de la guerre, il part faire son service militaire en France, à Aubagne (13), où il prend rapidement du grade et devient dessinateur attitré du régiment. En 1947, il illustre un roman de Balzac et n’obtient aucun succès auprès des studios de création. 1948, le début ! Il travaille dans la publicité où il rencontre de jeunes dessinateurs avec lesquels en 1952, il fondera la revue MAD et plus tard Pilote. Il rencontre Morris en 1949 mais collaborera avec lui que quelques années plus tard. En 1950, il scénarise et dessine sa première BD « Dick Dicks ». Il se fait embaucher cette même année à Bruxelles dans une agence de presse où il a pour mission de récupérer les planches d’un certain Uderzo. Divers petits projets pour les années qui suivent. 1955, il abandonne le dessin pour se consacrer à son Art de prédilection, le scénario. 1956, il rédige une charte sur les droits d’auteurs avec ceux qui seront les plus grands. Résultat, ils seront tous licenciés, mais c’est sans compter sur leur motivation, ils créeront leur propre agence de presse et d’édition. René G. est embauché au Journal de Tintin et bosse pour Vaillant, Radiotélé et réalise quelques publicités. Suivent la naissance d’Astérix dans le journal Pilote, un travail à Jours de France où il rencontre le grand Dassault, puis le journal Record chez Dargaud, et une participation au long métrage de Tintin. 1963, il rencontre la jeune Gilberte qui deviendra sa femme le 26 avril 1967. Il crée par la suite une comédie dramatique qui sera diffusée en Belgique, puis un téléfilm avec Pierre Tchernia. Il relance le journal Pilote qui n’est pas loin de l’effondrement. 1964, il co-écrit le deuxième long métrage de Tintin de façon anonyme. 1966, une parution très rare de René G. est éditée, un texte non illustré chez Denoël. La naissance de sa fille unique le 19 mai 1968. Les 70’s, il scénarise avec Morris et Tchernia le premier long métrage de Lucky Luke , et le viager. Par la suite, il devient directeur du journal Pilote. Il collabore une fois de plus avec Tchernia sur un autre film. Tout en s’éloignant peu à peu du journal Pilote, il crée avec ses amis Uderzo et Dargaud les studios Idefix. Il perd sa mère en 1974. C’est en 1975 qu’il devient directeur du mensuel Lucky Luke qui ne durera que 12 numéros. Il co-écrit un opéra, qui sera l’année suivante adapté et diffusé à la télévision. 1976, il présentera 13 quotidienne à la télévision. 1977, il part au pays de ses origines, en Israël à Jérusalem. Le dernier Voyage. Cette même année, un simple test d’effort dans une clinique de Paris l’emportera pour toujours laissant derrière lui sa femme, 35 ans, et sa fille de 9ans.

Le 5 novembre 1977, Adieu René.

Dessinateurs ayant collaboré avec René G.

Alexis
Angenot Jo
Attanasio Dino
Berck
Bissot Noël
Bussemey Roger
Cabu
Coq
Coutant Paul
Craenhals Francois
Dagues Jacques
Delinx Mic
Domenech Jorge (Jordom)
Dupuis Pierre
El Azara Jo
Franquin André
Gillain Joseph (Jijé)
Gir
Godard Christian
Gotlib Marcel
Greg
Guyot
Hubinon (Hugues) Victor
Jay Roger
Macherot Raymond
Maréchal Maurice
Martial
Moor Bob de
Morris
Paape Eddy
Pouzet Daniel
Reiser
Rol
Sempé
Tabary Jean
Tibet
Uderzo Albert
Weinberg Albert
Will

Magazines auxquels a collaboré R. Goscinny

Notre voix (magazine du lycée)
Quartier Latin (magazine du lycée)
Mad
Kunen publishers
International Press - World press
La wallonie
Bonnes soirées
TV family
La libre junior
Le moustique
Spirou
Pistolin
Edi France / Edi presse
Clairon
Jeannot
Supplément illustré
Benjamin et Benjamine
Le hérisson
Journal tintin
Vaillant
Radio-télé
Paris flirt
Pilote
Jours de France
Le journal d’astérix et obélix (anciennement pilote)
Pariscope
Super pocket pilote
Paris match
Le journal du dimanche
France soir
Lucky luke
Le figaro littéraire
Luxembourg sélection

Bibliographie

Astérix & Obélix
Benjamin & Benjamine
Les cahiers de la BD
Chick bill
Corinne et Jeannot
DBD
Dingodossiers
Divagations de Mr Sait-Tout
Le Giphar présente
Idéfix
Iznogoud
Jehan Pistolet
Jerry Spring
Junior
Luc junior
Lucky Luke
Modeste et Pompon
Mouminet et Alphonse
Oumpah-pah
Petit Nicolas
Sapristi
Spaghetti
Strapontin
Tromblon et Bottaclou
Valentin le vagabond

René Goscinny est un devoir pour l'école..

j'ai eu 18/20

Ca va tu gère.

Bel hommage